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dimanche 24 janvier 2016

La Lumière Primordiale


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La Lumière primordiale ou  l’Unité de la Création



Rav Mordékhaï CHRIQUI 
Institut Ramhal, Jérusalem


                         "Et  D.ieu dit: Que la lumière soit!  et la lumière fut."


« Et D.ieu dit : que la lumière soit! et la lumière fut » (Béréchit, 1, 3).
Le Ramban (Nahmanide) s’étonne que la Torah n’ait pas utilisé la formule qui reviendra chaque jour pour toutes  les autres créations : « et il en fut ainsi (va yehi ken) ».


Et Nahmanide d’expliquer que cette lumière est d’une essence radicalement différente de toutes les autres créations. La lumière primordiale est une émanation directe du Divin, elle exprime l'Unité fondamentale dans la nature.
Mais cette lumière primordiale n’est pas destinée à durer, c’est pour cela que le texte n’a pas utilisé la formule consacrée « il en fut ainsi », celle-ci connotant une notion de stabilité et de durée dans le temps.
Pourquoi cette lumière est-elle appelée à disparaître ? Parce que, nous dit le Midrach, elle est entièrement bonne et pourrait être utilisée par des hommes aux intentions impures ; il faut donc la préserver pour la fin des temps, lorsqu’on sera sûr que la faculté cognitive humaine a été complètement réparée, et qu’elle ne sera utilisée que par des Sages.


Cette lumière restera donc cachée tout le temps de l’histoire : c’est le «or haganouz »
.
Le Sforno ajoute une dimension supplémentaire : il nous dit que cette lumière est destinée  à une époque où il n’y aura plus besoin d’ensemencer pour engendrer, comme il est écrit dans la Guémara Ketoubot  où la terre produira directement des gâteaux, c’est-à-dire que tous les intermédiaires entre l’ensemencement des germes de blé jusqu’ à la fabrication de gâteaux seront éliminés : de la terre même sortiront des gâteaux.
Cet apologue veut nous signifier qu’à la fin des temps, lorsque les hommes auront atteint un haut degré de spiritualité en répararant la dualité, le temps n’aura plus prise sur eux ; ils pourront profiter directement de la terre. Il n’y aura plus besoin d’ensemencement pour engendrer, car directement après la conception naîtra un individu.
On sera passé du temps, qui sépare le passé le présent et le futur, à l’éternité.

C’est ce que signifie cette lumière cachée. Elle ne pourra réapparaître qu’à la fin des temps, lorsque l’humanité sera dans l’éternité, car elle aura dépassé, du fait de sa réussite morale et spirituelle, les limites du temps. Or, qui est éternel aujourd’hui, si ce n’est Dieu Lui-même? Cette lumière cachée est en fait une expansion (hitpachtout) de la Divinité, car elle relève directement de l’Unité, antérieure à toute bipolarité qui sera la marque de toute la création future, après le premier jour.


Et lorsqu’elle réapparaîtra, elle fera connaître à l’homme l’éternité, celle-ci étant le corollaire « temporel » de l’unité divine, cette dernière étant inscrite dans la dimension « ontologique ».

Pour engendrer, il est nécessaire que le principe masculin, celui qui donne, s’associe au principe féminin, celui qui reçoit.
En langage cabbalistique, il s’agit de l’union de deux configurations divines, appelées par le Arizal « le Petit Visage » (Zaïr Anepine, principe masculin) et le « Féminin » (Noukeba). Leur union s’inscrit dans le monde de la réparation (Tikoun), c’est –à-dire le monde apparu après la Brisure des Vases , la Brisure de l'harmonie, la Brisure de l'unité.
En effet on peut faire remonter le principe de l’union du masculin et du féminin à un niveau encore plus premier, celui du monde de l’émanation (Atzilout) où deux lumières, appelées Mah et Ben, s’unissent pour engendrer le début  du monde de la réparation. Cependant, la lumière cachée, elle, procède d’une autre dynamique : non celle de la dualité  propre à toute création, mais celle de l’unité, du monisme fondamental lié directement à l’émanation divine (correspondant dans la Cabale lourianique à la notion de Adam Kadmon).


C’est pour cela qu’elle ne peut rester dans le monde de la temporalité (et de la dualité) qui est le nôtre, mais doit s’éclipser dès sa première apparition, pour ne resurgir qu’à la fin des temps.
Nos Sages ont exprimé cette idée dans une formule  qui paraît énigmatique de prime abord : « la lumière que Dieu a créée le premier jour était telle qu’Adam pouvait contempler le monde d’un bout à l’autre » (Haguiga 12b).
Cette lumière était au-delà des limites de l’espace et du temps, à tel point qu’on pouvait « englober » le monde entier dans une seule vision, ou comprendre les événements au-delà de la rupture imposée par la scansion du temps. On était même au-delà de la division entre ciel et terre.


En effet ciel se dit en hébreu shamayim, c’est-à-dire pluriel de sham, là-bas. Le ciel serait donc les deux extrêmités rassemblées, là-bas et là-bas, sham et sham. La lumière cachée originelle, c’est ne plus avoir de pluriel possible, c’est ne plus avoir deux extrêmes, mais être partout et en un seul point en même temps, c’est trouver l’ubiquité qui, a priori, ne peut être que le lot de Dieu. Mais par un resourcement radical, produit de l’effort spirituel exigé des Justes, on peut remonter à l’origine de tout, qui se trouve dans cette lumière primordiale, expansion elle-même du Divin.

C’est pourquoi, comme le fait remarquer Rachi, la Torah dit après la création du premier jour: «Il fut soir, il fut matin – jour un » (Béréchit, 1, 5) : «  jour un et non le premier jour , la symétrie du texte aurait exigé qu’on dise: jour premier (et non jour un). Pourquoi a-t-on écrit un ? Parce que Dieu était Un et Unique » (Rachi sur Béréchit 1, 5).


Il y a donc homothétie, parallélisme entre ce jour Un et ce qui y est créé (à savoir la lumière primordiale), et l’unité et l’unicité de Dieu. Car ce jour qui voit l’avènement de cette lumière cachée est et restera unique en son genre. Elle ne peut qu’être unique car elle est l’émanation directe du Dieu Unique.
Cette lumière, bien que cachée, n’en reste pas moins la cause et le fondement de toute l’histoire de l’homme, comme Dieu est la cause et le fondement de tout ce qui se passe dans le monde, comme l’atteste le Zohar :


« Rabbi Yéhuda a dit, en citant les Psaumes (31) : Quel est tout ce bien que tu as caché ! C’est la  grande lumière qui s’appelle bien (tov), comme il est écrit : Et Dieu vit la lumière qui était bonne : il s’agit de la lumière cachée. Et de cette lumière Il inonde le monde et l’en fait profiter chaque jour. C’est grâce à elle que le monde tient. Mais Dieu a décidé de la cacher pour que seuls les justes puissent  l’utiliser dans le monde à venir, et non les méchants dans ce monde. Et c’est cette lumière qui éclaire le monde d’un bout à l’autre (bien que cachée) » (Zohar Emor, p 88 a).

Cette lumière va d’un bout à l’autre du monde,  tant dans la dimension spatiale que temporelle : elle englobe le monde entier dans une vision unitaire de la création, car elle est la source primordiale d’où va émerger tout ce que Dieu va créer pendant six jours ; c’est aussi la lumière qui nous permettra de comprendre le monde  dans sa temporalité , d’un bout à l’autre du temps de l’histoire.
Dans la langue du Ramhal : « Recha et Sefa, ou le début et la fin du temps ». C’est le secret du  nom de Dieu, du Tétragramme, qui indique que tous les temps se conjuguent en lui, à savoir, le passé (haya), le présent (hové) et le futur (yihyé).


Dans les quatre lettres du Tétragramme se trouvent réunis tous les temps ; c’est l’Etre éternel, transcendant le temps, mais qui en même temps s’y inscrit harmonieusement pour nous signifier l’espace à conquérir, grâce au travail de sanctification du temps et de l’espace. Et c’est parce que la lumière cachée, émanation directe de l’Unique, est présente en arrière-plan dans le monde, que ce travail s’avère possible, malgré toutes les difficultés.
Car il y a a priori opposition entre l’histoire chaotique des hommes et la sanctification du monde voulue par Dieu dans le projet de création. L’homme est un être contradictoire, tiraillé par sa dualité ontologique formée de ciel et de terre à la fois : il possède une âme (néchama), parcelle de divin directement implantée par Dieu lors de la conception d’un homme, mais aussi un corps d’origine tellurique qui sera le lieu de tous les désirs.
Ce que l’homme fera de ses désirs conditionnera l’avenir du monde. S’il ne sait pas les dominer, l’histoire sera une succession de souffrances et de violences, le désir de domination supplantant tous les autres pour faire abdiquer l’autre sous sa coupe.


C’est là la raison pour laquelle Dieu décide d’occulter cette lumière primordiale : Il sait que le Bien contenu dans l’essence même de la création sera dévoyé vers des buts purement intéressés, l’homme n’étant pas capable, au niveau collectif, de dompter ses penchants violents.


Face à cette situation, il n’y avait que deux possibilités : soit ne pas créer le monde, soit l’engendrer mais mettre en place une dynamique de l’histoire qui ne  permettra le déploiement du  Bien que de façon progressive, a posteriori  et a contrario, c’est–à-dire après que l’homme ait expérimenté le mal et compris qu’il faut s’orienter vers la voie du Bien, de la volonté divine, pour faire advenir l’histoire à sa vraie finalité.


Le Ramhal explique que depuis la faute d’Adam, l’homme ne peut comprendre une chose que par son contraire. En choisissant de goûter à l’arbre de la connaissance du Bien et du mal avant de prendre celui de la vie, Adam pose comme principe directeur la voie de l’expérimentation, du doute par laquelle on ne peut comprendre si une chose est vraie ou fausse qu’après avoir remis en cause toutes les composantes de cette chose. Cette voie n’est pas à rejeter, car elle octroie à l’homme une capacité d’analyse indispensable, vectrice de progrès scientifique et social.
 Mais l’erreur d’Adam aura été de dissocier cette connaissance de l’Arbre de la Vie, qui est synonyme de spiritualité, d’adhésion à la foi de Dieu. Du fait de la dichotomie entre science  et spiritualité engendrée par la faute d’Adam, l’homme devra tout au long des 6000 ans de son histoire expérimenter par lui-même ce qui est bien et ce qui est mal, et réorienter ses actions après qu’il en ait vu l’échec.


C’est pour cela que l’histoire est parsemée de guerres et de souffrances : autant d’erreurs morales de l’homme qui, à chaque génération, choisit de retomber dans la faute d’Adam et de passer par les échecs moraux que représentent les violences de toutes sortes, conséquences du besoin de l’homme d’expérimenter par lui-même ce qui doit être bien et ce qui ne l’est pas : c’est lorsqu’on aura vu la souffrance qu’on pourra opter pour le bonheur.


C’est le mouvement chaotique de l’histoire qui permet malheureusement à l’homme de comprendre, a posteriori et a contrario, ce que doit être la voie d’une éthique divine dont la finalité est le bien et le bonheur universel. Mais même si ce désir de bien n’apparaît pas en plein dans l’histoire, il est à l’œuvre de façon souterraine chaque jour, chaque instant, en chaque personne et en chaque nation.  C’est cela la signification profonde de la lumière cachée : le potentiel de bien contenu dans la création, dès son début, qui ne se manifeste pas ouvertement, mais qui néanmoins oriente secrètement l’histoire vers le Bien divin, qui n'est autre que l'Unité de la création.

 Rabbi Akiva sera celui qui saura le mieux formuler ce monisme de l’origine du monde et de son histoire. En décrétant que tout ce qui nous arrive dans ce monde est pour le bien, il fait rentrer dans l’histoire la dimension de la lumière cachée, prolongement de l’unité divine, lumière cachée, dirigeant le monde. C’est ce que le Ramhal appellera la Direction de l’Unité (Hanhagat Hayihoud), à l’opposé de la Direction de la récompense et de la punition (Hanhagat hamichpat), qui est le principe caché mais conducteur de toute l’histoire de l’humanité, celle-ci devant aboutir inéluctablement vers le règne absolu du Bien, après que le mal se soit transformé et inclus dans ce Bien.


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L'énergie est elle aussi pensées et imagination



Pensées et imagination sont de l’énergie.


Faire naitre une image en soi est un phénomène psychique qui met en jeu une énergie psychique.

Il est important de se rendre compte que les phénomènes de l’esprit, tels que les pensées, ne sont pas purement abstraits. Ils ne peuvent fonctionner qu’avec une énergie. C’est pourquoi lorsque nous sommes fatigués, il nous est plus difficile de réfléchir, de nous concentrer, d’être à l’écoute d’une conversation. De même, c’est une énergie qui fait apparaître et anime les images en nous.
C’est lorsque des émotions surviennent que l’on peut le mieux ressentir l’existence de cette énergie.
L’enthousiasme nous donne des ailes, la colère nous remplit de force tandis que la tristesse nous en enlève. Avec un peu d’attention, on peut même sentir ces courants d’énergie, lors d’une colère ou d’une contrariété par exemple. D’ailleurs le mot émotion signifie que quelque chose est en mouvement car la racine -motion est de la famille étymologique de mouvement, moteur (qui déclenche un mouvement), locomotion, promotion (mouvement en avant).

Empreintes énergétiques évolutives

Les images qui se présentent lorsqu’on explore en rêve éveillé des zones angoissantes ou conflictuelles sont la résurgence de souvenirs douloureux de l’enfance ou autres périodes de la vie, inscrits dans l’inconscient. Ils sont inscrits sous forme d’empreintes énergétiques, ce qui signifie en premier lieu que les images et impressions se sont imprimées (impression signifie d’ailleurs qui s’imprime) dans les corps physiques et subtils sous l’effet de l’énergie mise en jeu au moment du vécu.
En second lieu que l’empreinte elle-même détient cette énergie stockée.
Généralement, ce n’est pas une seule scène qui contribue à l’empreinte. Plusieurs événements porteurs des mêmes émotions ont été vécus à des moments successifs et ont contribué à renforcer l’empreinte énergétique.
Ainsi l’empreinte énergétique évolue dans le temps, dans un sens ou dans un autre. Elle peut se renforcer, ou se distorsionner. Elle peut aussi bien s’atténuer, par exemple sous l’effet d’une augmentation de l’estime de soi, de pardons véritablement ressentis, ou d’une évolution de la conscience, etc.
Ainsi par exemple, si le processus thérapeutique nous amène à revivre une naissance, nous ne la revivons pas comme la réalité historique, mais sous la forme de la mémoire énergétique actuelle, renforcée ou atténuée par rapport au vécu historique réel.
Il est aisé de constater que la mémoire énergétique évolue également lorsqu’on entreprend un travail thérapeutique. Si au cours de la thérapie, on revit une naissance, cela libère l’empreinte énergétique de certaines charges émotionnelles et la modifie. Si on est amené à vivre cette naissance une seconde fois au cours du travail thérapeutique, c’est la mémoire modifiée qui s’exprimera, non celle conforme à la réalité historique. Elle se révèle transformée. Les images expriment donc l’état énergétique présent, même si ses racines sont dans le passé.
En fait, la réalité historique n’est pas vraiment intéressante. Ce qui est intéressant, ce sont les forces actuelles qui sont agissantes dans la personne, qui sont à l’oeuvre dans l’être vivant aujourd’hui. Il est donc inutile de palabrer et de critiquer à propos de la réalité historique du fait revécu, tel que la résurgence de vies antérieures. Historique ou non, le matériau de l’inconscient se présente de façon réelle afin de permettre à la personne de travailler à son évolution.

Le pouvoir énergétique de l’image et des symboles

Ainsi donc, si on agit sur une charge émotionnelle, son énergie change et les images associées évoluent. De la même façon (ou inversement), une image construite en visualisation exerce une énergie opérante Cette énergie est comme un signal qui vient déclencher un réservoir énergétique disponible en nous et dans l’univers. Ce réservoir est également une machine inconsciente puissante qui se met en oeuvre lorsqu’elle reçoit les signaux. C’est ainsi que les images et la pensée sont capables de modifier, déprogrammer, et donner une nouvelle trajectoire aux forces inconscientes. La pensée est agissante, créatrice.
Les images symboliques semblent être particulièrement efficaces, comme si elles interviennent dans des couches plus profondes de cette machine. Les symboles ne sont pas, comme certains le pensent, des artifices mentaux, des représentations abstraites d’un phénomène concret, telles un logo représentant une entreprise. Les symboles sont vivants, ce sont des forces concrètes.

L’être multidimensionnel

Le mot imaginaire est communément employé dans le sens d’illusion, d’irréalité. Reconnaissons qu’en effet, il ne s’agit pas d’une réalité matérielle, tangible comme la matière. Toutefois, il désigne bien une réalité, mais sous une autre forme. Le mot rêve lui-aussi est souvent synonyme d’illusion. « Tu rêves! ». Pourtant, le phénomène lui-même est bien réel.
Lorsque vous racontez votre rêve, vous ne l’inventez pas, il a bien eu lieu réellement, c’est une réalité que vous avez vraiment traversée. Tout le monde rêve en dormant. C’est une fonction de l’esprit nécessaire à l’équilibre psychique et physique, qui se manifeste elle-aussi par des images. C’est l’expression de l’imaginaire, un espace intérieur essentiel de l’être humain.
Le rêve et l’imaginaire sont tout simplement une autre dimension de la réalité humaine.
On peut donc dire qu’il existe différents niveaux de réalité. Il y a la réalité matérielle, et il y a d’autres réalités, de nature plus subtile, dont tout le monde peut faire l’expérience.
Ceux qui s’adonnent aux drogues voyagent artificiellement dans certains plans de cette réalité, souvent des plans de bas niveau qui les détruisent. A l’inverse, il est possible par l’exploration consciente, de voyager dans divers plans de réalité bénéfiques, pour nourrir et faire croitre notre personnalité ordinaire. C’est une façon de se développer dans les dimensions émotionnelle et mentale et, au-delà, sur des plans de niveau spirituel .
Déjà Desoilles, créateur de la méthode du rêve éveillé dirigé (RED), distinguait plusieurs niveaux dans le RED: le niveau banal du quotidien, le niveau mythologique et le niveau mystique. Mais le langage de cette époque laissait supposer que l’imaginaire était un mode d’expression primitif, celui des enfants qui ne savent pas encore s’exprimer avec un langage construit.
La conception actuelle est que le monde de l’imaginaire, loin d’être primitif, est une capacité fondamentale de l’être humain, bien plus vaste et plus puissante que la réalité physique ordinaire.
Il s’étend des niveaux émotionnels les plus sombres aux plus hautes réalisations spirituelles. Il révèle que l’être humain est un être multidimensionnel.
Autrement dit, l’être humain n’est pas qu’un être matériel, il vit dans plusieurs dimensions de façon simultanée.
L’imaginaire, qu’on l’aborde au travers du rêve éveillé, de la visualisation, de techniques proches telles que Samsarah, ou par l’intermédiaire de l’art, est la porte qui ouvre et conduit dans les autres dimensions de l’être.
Votre esprit recèle des portes sur différentes dimensions que le rêve nous permet d’explorer. Lorsque notre âme quitte notre corps chaque soir, elle passe par un vortex qui se crée lors de l’endormissement. L’âme passe a travers ce tunnel de lumière pour se retrouver dans l’astral… Ainsi, nous vivons une véritable experience que nous nommons rêve, mais ce n’est juste qu’une autre réalité : celles des âmes .
http://www.spirit-science.fr/doc_psycho/imaginaire.html#mozTocId216220
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Réconcilier la Spiritualité et la Science

Réconcilier la Spiritualité et la Science

Il se pourrait bien que l’espèce globale que nous sommes soit au beau milieu d’une transition vers un état de conscience différent.
Ce dernier se caractériserait par des propriétés quantiques telles que la cohérence et le champ d’information non-local.
Un tel « champ de conscience » transformerait notre relation à autrui, à notre environnement, et élargirait notre réalité de perception. Cette évolution témoignerait de l’intégration d’un autre niveau : depuis des formes d’évolution biologique et socioculturelle vers une évolution neurogénétique.
Dans cet article, j’examine comment les dernières découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques ont démontré qu’une forme de conscience connectée et non-locale est fondée scientifiquement et physiquement.
Cela prouve que certains états spirituels et transcendantaux reposent sur des principes valables au sein du nouveau paradigme scientifique.
MOTS-CLES : biophysique, cohérence, communication, ADN, évolution, futur, intelligence du vivant, conscience quantique, science, spiritualité.
Il est vain de toujours regarder vers l’avenir sans ne jamais agir pour l’avenir. John Frederick Boyes, essayiste anglais (1811-1879)
L’être humain doit devenir ce qu’il se pense être. Rudolf Steiner
La pensée humaine a besoin d’un nouveau modèle incluant l’être humain et sa conscience au sein d’un univers énergétique et qui soit également compatible avec la science moderne et les enseignements spirituels.
Toutefois, ce besoin n’exige pas de notre part que nous rejetions le savoir accumulé jusqu’ici. Au contraire, il est question de travailler non seulement à partir de nos connaissances actuelles mais également de les élargir pour faciliter notre passage vers d’autres paradigmes de pensée en termes de conscience et de processus internes à l’être humain.
En cette ère d’avancées scientifiques et technologiques, nous pouvons compter sur des découvertes et des études toujours plus exhaustives pour changer notre mode de pensée. Il est possible que les sciences humaines s’intéressent prochainement à notre compréhension de la conscience et à l’intime connexion qui nous unit les uns aux autres et, plus généralement, à notre environnement énergétique.
ScienceSpiritualite12Récemment, la science a découvert que chacun d’entre nous « se promène » avec un ordinateur bioélectrique de 100 milliards de cellules, responsable du filtrage et de l’interprétation de ce que nous percevons et considérons comme notre « réalité ».
La presque totalité de ces 100 milliards de neurones était déjà présente le jour de notre naissance ; avec environ 250 000 neurones créés chaque minute tandis que notre corps prend forme dans l’utérus. Pourtant, ce « décodeur » extraordinaire a subi d’importantes modifications perceptives au cours de notre évolution. Si l’on compare les squelettes des hommes préhistoriques, on ne note aucun changement dans l’anatomie pendant au moins 100 000 ans.
En revanche, l’esprit humain, lui, a fait des bonds depuis les premières fresques rupestres. Cela montre que nous sommes passés d’une évolution biologique à culturelle puis neuroscientifique ; mais aussi que la suite requiert le développement de notre système nerveux et de notre conscience.
Ce tournant significatif exige à nouveau de stimuler un changement de conscience.
La prochaine étape consistera vraisemblablement à basculer vers une évolution neurogénétique. Cela sera nécessaire au dépassement de l’obstacle que nous rencontrons actuellement face au développement.
Les civilisations précédentes (connues et peut-être même bien inconnues) se sont effondrées une fois atteintes leurs limites en termes de ressources matérielles, sans avoir cultivé en parallèle la conscience humaine.
En temps de transition, il est fondamental qu’une « force d’énergie » consciente soit introduite dans le flot de la vie afin d’activer le prochain pic d’évolution. Sans une telle énergie, les systèmes matériels risquent de devenir incontrôlables (comme c’est le cas actuellement) et/ou de tomber en panne – ce qui pourrait bien arriver prochainement.
Cette « force d’énergie » doit servir de tremplin pour aider la civilisation humaine à activer de nouveaux modes de compréhension et de connaissance de soi, souvent évoqués par Maslow comme l’actualisation de soi.
Un activateur de ce type pourrait voir le jour, comme tend à démontrer cet article, des découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques.
Je soutiens que les nouvelles recherches en physique quantique font la lumière sur les travaux relatifs à la conscience, l’esprit et le cerveau humains ainsi que notre système nerveux et matériel génétique (ADN). Ces recherches, sujets de cet article, donnent une vue d’ensemble sur la cohérence existant entre notre biologie, notre physiologie et un champ énergétique de conscience.
Nous pouvons en déduire que nous sommes au bord d’une possible évolution quantique de l’espèce humaine.
Il est également raisonnable de penser qu’il y a d’ores et déjà de nouvelles générations qui, en tant qu’agents de changement de l’évolution, présentent les symptômes desdites transformations. Comme pour tout passage évolutif, les prémisses d’une telle métamorphose sont déjà présentes au sein de l’espèce avant que le changement ne se généralise. Nous reviendrons plus tard sur ces spéculations.
Il est légitime de déclarer que notre civilisation globale se trouve désormais à un carrefour de développement en termes de ressources physiques et modes de pensée. Il est par conséquent impératif que nous orientions nos facultés de perception vers une potentielle transformation de l’évolution de la conscience. Ces dernières années, au moins chez les sociétés occidentales, la croissance s’est réalisée au détriment d’une évolution consciente.
C’est l’une des principales raisons des échecs culturels de ces temps fondamentaux ; il y a eu peu de préparation, de discussion et de recherche sur la façon dont l’humanité pourrait gérer, physiquement et mentalement, un changement important qui bouleverserait les systèmes de croyance religieuse et scientifique.
Cette ère matérialiste a tendance à reléguer les préoccupations spirituelles au rang de fantaisies. De la même manière, les personnes spirituelles considèrent souvent que la science n’est pas à même de nous guider vers le futur. Par conséquent, une grande quantité d’énergie a été investie dans la création d’un monde instable et radicalement divisé.
Cependant, une réconciliation entre scientifiques et humanistes (Les deux cultures de C.P. Snow) ; et une fusion des recherches et des énergies s’avèrent nécessaires pour encourager une compréhension progressive de la trajectoire évolutive de notre espèce.
Dans le pire des cas, nous pourrions faire face à un processus de dévolution. Quoi qu’il en soit, j’affirme que ce ne sera pas le cas. Cependant, une partie de notre dilemme réside dans notre aveuglement quant au fonctionnement de nos facultés mentales et perceptives.
ScienceSpiritualite13Le cerveau humain, en tant que regroupement de cellules nerveuses, se comporte comme un récepteur de fréquence à plusieurs couches. Dû à un conditionnement initial en début de vie, chaque récepteur est configuré pour capter une certaine fréquence d’onde.
Lorsque ces récepteurs s’accordent sur une forme d’ondes de fréquences spécifique, une réponse de « reconnaissance des formes » est envoyée au cerveau et interprétée en fonction des perceptions correspondant à cette fréquence.
En d’autres termes, le fait de « s’accorder » implique l’interception de formes de fréquence familières dans l’océan de fréquences qui nous entourent constamment. En s’accordant sur ces mêmes formes, encore et encore, nous renforçons une certaine image de la réalité. Nous nous accordons sans le savoir sur une forme de réalité consensuelle à partir de laquelle nous construisons constamment notre perception.
Les formes de fréquences « étrangères » sont souvent ignorées car elles ne tombent pas dans notre plage de réception.
La perception se crée donc de façon dynamique et continue, le cerveau balayant constamment les bandes de fréquences autour de nous. Cependant, si ce comportement de reconnaissance des formes n’évolue pas au fil du temps notre développement perceptif risque de stagner. Résultat : nous nous retrouvons piégés dans une certaine réalité.
C’est pourquoi le développement humain demande que nous changions plusieurs fois de paradigmes afin de faire évoluer nos schémas collectifs de perception et de pensée.
Autrement dit, notre développement repose sur des processus à la fois biologiques et psychiques. Selon Gopi Krishna, chercheur renommé dans le domaine de la conscience, la « maturation du système nerveux et du cerveau est un processus biologique, dépendant d’une foule de facteurs matériels et psychiques » (1999, 56).
Le point faible de ce processus réside dans notre habitude à ne percevoir que certaines formes et à ignorer les autres informations ou influences sensorielles. Egalement, l’espèce humaine n’a pas été collectivement informée des moyens à sa disposition pour passer d’une bande ou d’une forme de fréquences à une autre.
Ce savoir a été détenu par plusieurs traditions de sagesse (ex : chamanisme, écoles mystérieuses et occultes) mais gardé hors du domaine publique.
Au final, nous devenons figés et sectaires dans nos « croyances » sensorielles ; nous nous accrochons à une petite partie de la réalité, la percevant comme la totalité. Cependant, le cerveau humain et le système nerveux sont assez « agiles » pour basculer entre plusieurs formes de fréquences et interpréter des « réalités » au-delà du modèle consensuel.
Beaucoup d’écoles ésotériques considéraient que le genre humain était trop immature pour endurer une telle préparation, d’où le recours à des rituels d’initiation et des examens de passage strictes et rigoureux.
Cet embargo sur le « savoir-faire » a contribué à la domination de la science matérialiste ; au point d’apprendre à écarter toute expérience, ou pulsion, intuitive et subjective.
Cependant, il est aujourd’hui nécessaire pour évoluer que notre grande dépendance en termes de recherche de satisfaction matérielle soit compensée par une augmentation des travaux sur la conscience confirmant le rôle clé d’un « esprit commun ». A mon avis, la prochaine étape du développement humain sera de nature neurogénétique, ce qui d’après la terminologie actuelle correspond à une forme de conscience quantique.

COHÉRENCE QUANTIQUE, CONSCIENCE QUANTIQUE

ScienceSpiritualite7Le corps humain n’est autre qu’un flux constant de milliers d’interactions et processus biologiques et chimiques reliant entre eux les molécules, les cellules, les organes et les fluides à travers tout le cerveau, le corps et le système nerveux. Encore récemment, on pensait que ces innombrables interactions se produisaient suivant une séquence linéaire, passant l’information comme un coureur passe le relai à son coéquipier.
Cependant, les dernières avancées en biophysique et biologie quantiques suggèrent la présence d’un degré élevé de cohérence entre tous les systèmes vivants.
Grâce à des recherches scientifiques approfondies, on a découvert qu’une forme de cohérence quantique agissait au sein des systèmes biologiques vivants à travers ce que l’on appelle les excitations biologiques et l’émission de biophotons.
Cela signifie que l’énergie métabolique est stockée sous forme d’excitations électromagnétiques et électromécaniques. Ce sont ces mêmes excitations cohérentes qui sont tenues pour responsables de la génération et de la conservation d’ordre à grande distance via la transformation d’énergie et de signaux électromagnétiques très faibles.
Après presque vingt ans de recherches expérimentales, Fritz-Albert Popp a avancé l’hypothèse que les biophotons soient émis à partir d’un champ de cohérence électrodynamique au sein du système vivant (Popp et al. 1988).
En fait, cela signifie que chaque cellule vivante émet ou renvoie un champ biophotonique d’énergie cohérente.
Si chaque cellule émet ce champ alors le système vivant tout entier émet, par conséquent, un champ de résonance – un champ non-local et omniprésent.
Etant donné que c’est par le biais des biophotons que le Vivant communique, alors il y a communication presque instantanée tout le long. Et cela, déclare Popp, est la base d’une organisation biologique cohérente – appeléecohérence quantique.
Cette découverte a mené Popp à affirmer que la capacité à évoluer repose non pas sur une lutte agressive et une rivalité mais plutôt sur l’aptitude à communiquer et coopérer.
Dans ce sens, la capacité intégrée de l’espèce à évoluer n’est pas fondée sur l’individu mais sur les systèmes vivants qui sont inter-reliés au sein d’un tout cohérent :
Les systèmes vivants ne sont donc ni les sujets seuls, ni des objets isolés, mais à la fois sujets et objets au sein d’un univers de signification en communication réciproque… Tout comme les cellules d’un organisme assument différentes tâches pour l’ensemble, différentes populations détiennent des informations non seulement pour eux-mêmes mais également pour tous les autres organismes, élargissant la conscience de la totalité, tout en s’éveillant de plus en plus à cette conscience collective. (Ho and Popp 1989)
Le biophysicien Mae Wan Ho décrit comment l’organisme vivant, notamment le corps humain, est coordonné tout du long et reste « cohérent au-delà nos rêves les plus fous ».
Il s’avère que chaque partie de notre corps est « en communication avec le reste par le biais d’un milieu liquide cristallin, réactif, harmonisable et dynamique qui pénètre tout notre corps, depuis les organes et les tissus jusqu’à l’intérieur de chaque cellule » (Ho 1998, 82).
ScienceSpiritualite3Cela signifie que ce « milieu » dans notre corps est une sorte de cristal liquide, donc un transmetteur idéal pour la communication, la résonance et la cohérence.
Ces développements relativement récents en biophysique ont démontré que tous les organismes biologiques sont constitués d’un milieu à cristaux liquides. De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides (que certains appellent gel-cristal liquide) où les cellules sont impliquées dans une communication holographique instantanée via l’émission de biophotons (une source de lumière).
Cela implique que tous les organismes biologiques vivants émettent continuellement des rayonnements lumineux qui forment un champ de cohérence et de communication. Par ailleurs, les biophysiciens ont découvert que les organismes vivants sont pénétrés par des formes d’ondes quantiques. Ho nous apprend que :
… le corps visible se trouve être juste à l’endroit où la fonction d’onde de l’organisme est la plus dense. Des ondes quantiques invisibles se déploient à partir de chacun d’entre nous et pénètrent tous les autres organismes.
Par conséquent, chacun reçoit simultanément les ondes de tous les autres organismes, qui se fondent avec sa propre composition…
Nous participons donc au théâtre de la création, en permanente représentation. Nous sommes constamment en co-création et en re-création, nous-mêmes et les autres organismes de l’univers… (Ho 1998, 116)
Cette information incroyable place en réalité chaque être vivant au sein d’un champ quantique non-local composé d’interférences d’ondes (où les corps s’emmêlent). Chez les systèmes vivants, c’est également la structure à cristaux liquides qui génère le champ électromagnétique de courant continu (C.C.) traversant le corps de tous les animaux.
Il a également été remarqué que ce champ de courant continu possède un mode de semi-conduction bien plus rapide que le système nerveux (Becker 1988). Si les systèmes biologiques vivants agissent au sein d’un champ d’intrication non-local d’énergie de résonance, alors peut-être est-il possible d’en voir la manifestation dans le comportement physique ?
Mae-Wan Ho décrit en quoi les excitations cohérentes de chaque système vivant fonctionnent de la même manière qu’une régate : les rameurs doivent avancer par étape afin de créer une « phase de transition ».
Cela indique qu’il y a une tendance inhérente dans la nature, et dans les systèmes vivants, à résonner ensemble (« en synchronisation ») de façon à maintenir l’ordre et la cohérence.
Ce type de comportement sert à appuyer la relation entre l’individu et le collectif qui auparavant été considérée comme aléatoire.
Cette découverte est importante car elle confère une certaine crédibilité au paradigme naissant d’un « cerveau planétaire » et d’une hausse de l’empathie planétaire.
Ervin Laslo, philosophe à système, définit l’intelligence collective comme étant:
« le réseau de traitement d’information et d’énergie quasi neuronales créé par les 7 milliards et demi d’humains sur la planète. Ces derniers interagissent de bien des façons, publiques ou privées ; à bien des niveaux, locaux et mondiaux » (Laszlo 2008 : intro).
Toujours au niveau physique, un bon nombre d’informations s’échangent déjà de plus en plus rapidement. Les principaux réseaux sociaux (tels que Facebook et MySpace) favorisent également l’empathie à distance entre les utilisateurs dans le monde entier.
Dans ce cadre, une transformation des relations entre un nombre important de personnes dans le monde est déjà en cours. La science exacte va encore plus loin et avance que non seulement les relations empathiques mais également l’intrication augmentent entre les individus. Cette vision a récemment été corroborée par les neurosciences et la découverte des « neurones miroirs ».
Un « neurone miroir » est activé lorsqu’un être vivant (humains et animaux comme les primates et les mammifères) observe l’action d’autrui.
Autrement dit, si un individu en regarde un autre manger une pomme, alors les mêmes neurones seront activés chez l’observateur ; tout comme s’il exécutait lui-même l’action. Ce comportement neuronal a été observé chez l’Homme dans les cortex pariétal inférieur et prémoteur. Le phénomène des « neurones miroir » a premièrement été découvert par une équipe de chercheurs en Italie dans les années 1990 alors qu’ils étudiaient l’activité neuronale chez les macaques. Cela a conduit beaucoup de neuroscientifiques renommés à déclarer que les neurones miroirs jouent un rôle clé dans le processus d’apprentissage (imitation) comme d’acquisition du langage.
Pour vulgariser, nous pourrions dire que cette capacité est ce qui lie une personne de façon sympathique et empathique aux circonstances d’une autre personne. Cela pourrait également expliquer pourquoi les gens deviennent si sensibles en voyant les événements diffusés à la télévision, et se mettent même à pleurer en réponse à une scène de larmes.
C’est de cette façon que nous sommes émotionnellement pris par l’effet miroir de l’activation neuronale.
Si nous considérons que nos corps sont intriqués dans un champ de biophotons électriques à résonance quantique, on peut expliquer comment nous sommes atteints par les autres – via une interférence ou une perturbation du champ.
Cette information est de taille lorsque l’on envisage d’accroître l’empathie entre des personnes à distance (via les communications numériques) ainsi que le potentiel d’activation des futures aptitudes pour la communication télépathique.
ScienceSpiritualite5Les neurosciences, la biologie et la physique quantiques sont toutes en train de converger et de révéler que nos corps ne sont pas uniquement des systèmes biochimiques mais également un système de résonance quantique sophistiqué.
Cela nous aide à comprendre comment le corps peut être efficacement cohérent, et explique ce sentiment « d’attraction » vers les autres, notamment les expressions : « bonnes vibrations », « bonnes énergies » et « être sur la même longueur d’onde ».
Nos corps donc, tout comme nos cerveaux, s’avèrent fonctionner comme des récepteurs/décodeurs au sein d’un champ énergétique d’afflux d’informations.
Cela justifie comment le corps humain est capable de stocker une vie entière de souvenirs et d’expériences ; étant donné la quantité de données pouvant être emmagasinée dans ce champ informationnel qui inclut le cerveau et le corps tout entier. Cette compréhension nouvelle du champ informationnel quantique chez l’Homme donne également une certaine crédibilité à l’existence des perceptions extra-sensorielles (PES) et des capacités qui en découlent.
La conscience humaine ne se résume pas à de l’empathie, à une relation d’interférences avec d’autres champs de l’esprit ; elle émet et reçoit constamment de l’information. Pourtant, la science matérialiste de nos jours s’est principalement concentrée, jusqu’à récemment, sur les preuves matérielles « solides » et se débat toujours avec les subtilités de la mécanique quantique.
Comme Niels Bohr l’a très bien remarqué : « Si la mécanique quantique ne vous a pas profondément choqué, c’est que vous ne l’avez pas encore saisie ».
Le « doux » royaume abstrait des visions et du sens de l’imagination sont généralement laissés aux artistes marginaux, aux mystiques, aux créateurs et autres inventeurs fous.
La plupart de nos esprits modernes ont été privés du plein fonctionnement de leur cerveau gauche-droite et ont été limités à l’hémisphère gauche (rationnel) qui fonctionne sur un mode mécanique, linéaire, compétitif et restreint. Grosso modo, le cerveau droit (abstrait) et son monde magique de pensées visionnaires et créatrices a été mis à part et laissé pour compte (McGilchrist 2009).
La principale activité de l’hémisphère droit était source de sagesse pour les indigènes, dans les pratiques chamaniques ou autres traditions similaires.
La pensée occidentale et matérialiste a voulu l’occulter depuis tout ce temps. D’ailleurs, notre propre conditionnement intellectuel nous pousse bien souvent à juger ces « pratiques magiques » de primitives, barbares et d’à peine dignes de rééducation et/ou de colonialisme occidental.
Pourtant, ceux d’entre nous résidant dans l’Ouest « civilisé », avec un hémisphère gauche dominant, évoluent quotidiennement dans un monde de biens matériels et d’attractions extérieures. On nous prône une existence en tant que forces séparées, comme des îles dans une mer déchainée, à la merci d’influences naturelles et physiques ; soumises au hasard. Or, nous savons désormais que ce n’est pas le cas.
Pour résumer, la biologie quantique a démontré que le corps jouit d’un niveau incroyable de cohérence et qu’un champ de conscience existe via l’ADN humain, et partant, le système nerveux.
Notre structure biochimique est la rencontre d’énergies complètement intriquées qui se comportent comme un champ non-local à l’intérieur et à l’extérieur du corps humain.
De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides qui émet des biophotons, sources de lumière. Cela nous amène vers une nouvelle considération de l’ADN en tant que générateur de champ quantique.

HYPER-COMMUNICATION ET CHAMP QUANTIQUE

EtatQuantiqueA la lumière de ces dernières découvertes, nous pouvons commencer à parler de l’ADN comme l’ADN quantique.
Cela suggère que les 97 % de l’ADN humain qui n’interviennent pas dans la construction de protéines sont actifs au niveau quantique. Il est tout à fait possible qu’une manifestation future de la conscience quantique se fasse par l’activation partielle de ces 97 % de l’ADN dont la fonction a jusqu’ici dérouté tous les scientifiques.
Cette activation serait liée à l’état de la conscience humaine ; elle serait restée en veille au vu de son manque de préparation pour sa manifestation.
Ce champ de « force vitale » peut s’apparenter à « l’énergie pranique » omniprésente qui, selon Gopi Krishna, constitue le tremplin vers la croissance de l’évolution au sein du système nerveux humain :
Une opportunité omniprésente en tout être humain, en raison du processus évolutif toujours en cours, qui cherche à créer une disposition du cerveau et du système nerveux qui permette à chacun de transcender les barrières de l’esprit et d’atteindre un état de conscience bien au-delà de celui normalement hérité par l’humanité aujourd’hui. (1997, 226)
Cette étape de conscience transcendantale qui est décrite ci-dessus comme faisant partie de notre héritage évolutif naturel dépend du cerveau et du système nerveux humains.
Nous savons désormais que le champ quantique de l’ADN est actif au sein de notre corps. Certains biophysiciens parlent déjà du processus quantique comme d’un possible dénominateur commun pour tous les processus vivants.
En soi, un champ d’information quantique émis par le corps humain déterminerait la cohérence de notre résonance lumineuse (biophotons) en tant que taux vibratoire.
Si la conscience humaine amorce une modification de son taux vibratoire, en réaction aux diverses influences extérieures (cosmiques, environnementales, culturelles), alors il est vraisemblable que l’ADN – en tant que champ quantique – subisse également une modification de sa résonance.
Cela pourrait se traduire par l’activation de capacités, à ce jour inactives, contenues dans les 97 % dits inactifs de l’ADN.
Cela peut être lié (ou pas) à l’intensification des fréquences électromagnétiques influençant notre système solaire dû à la précession des équinoxes. Il s’avère également que cette partie « inactive » de notre ADN pourrait permettre une forme d’hyper-communication.
Le biophysicien et biologiste moléculaire russe Pjotr Garjajev, qui a étudié l’ADN humain avec son équipe de chercheurs à Moscou, a trouvé que les 97 % « inactifs » de l’ADN détiendraient des propriétés complexes.
Garjajev a découvert que l’ADN qui n’est pas utilisé pour la synthèse des protéines sert en réalité à la communication ; ou plus exactement à l’hyper-communication.
Selon lui, l’hyper-communication désigne l’échange de données au niveau de l’ADN via le code génétique. Garjajev et son équipe ont conclu d’après l’analyse de la réponse vibratoire de l’ADN qu’il fonctionnerait comme uneintelligence en réseau ; et qu’il permettrait l’hyper-communication d’informations entre tous les êtres sensibles.
Par exemple, le groupe de recherche de Moscou a prouvé que des chromosomes endommagés (par les rayons x) peuvent être réparés. Leur méthode consistait en la capture des schémas informatifs de l’ADN puis en la transmission de ces mêmes schémas, par modulation des fréquences lumineuses, sur un autre génome afin de reprogrammer les cellules.
C’est ainsi qu’ils ont réussi à transformer des embryons de grenouille en embryons de salamandre simplement en transmettant les schémas d’information de l’ADN. Les travaux de Garjajev montrent que certaines formes de fréquence peuvent être projetées (comme pour un faisceau laser) afin de transmettre l’information génétique, prouvant ainsi comment l’ADN agit via les fréquences vibratoires et la résonance.
Cela signale également que l’ADN humain peut être modifié, ou altéré, par l’impact de fréquences extérieures. Les résultats de ces recherches tendent à prouver l’existence de phénomènes tels que la guérison à distance et autres aptitudes psychiques. Elles suggèrent aussi que l’ADN est un « langage » dynamique, fluide et vivant qui, en tant que champ informationnel quantique, est réceptif aux ondes laser (comme dans l’expérience mentionnée ci-dessus) mais également au son et aux ondes électromagnétiques (EM) – pourvu que les bonnes fréquences sont appliquées.
Le fait que l’ADN humain soit influençable et modifiable par fréquence (son, lumière, langage et pensée) est probablement connu depuis des siècles par les maîtres, les mystiques et les traditions spirituelles.
C’est peut être la raison pour laquelle une quantité d’exercices se fondent sur la concentration de la pensée (prière), les sons (musique, chants), la lumière (exposition à la lumière naturelle ou artificielle comme les verres teintés) et le langage/parole (récitations de mantras ou zikrs). L’ADN s’avère procéder non seulement comme un constructeur de protéines (fonction minoritaire) mais également comme un milieu de stockage, de réception et de communication d’informations.
Le fait que Garjajev et ses collègues russes aient également trouvé des exemples où l’ADN pourrait avoir un comportement perturbateur sous vide – résultant en la production de ce qui semble être des trous de vers magnétisés – est quelque peu plus controversé. Ces trous de vers se sont avérés fonctionner comme des connexions en dehors de nos champs spatio-temporels habituels (ce qui sous-entend une communication inter-dimensionnelle).
Ce phénomène mérite en effet des analyses et des expérimentations plus poussées. Quoi qu’il en soit, il semble possible que l’ADN soit impliqué dans plusieurs formes d’hyper-communication desquelles nous ne savons que très peu de choses présentement.
ScienceSpiritualite15
Afin d’appuyer les propos de Garjajev quant à l’hyper-communication, nous pouvons observer comment des principes similaires sont présents dans la nature.
Par exemple, l’organisation d’une fourmilière se fait selon une forme de communication répartie. Lorsque la reine est séparée de sa colonie, les ouvrières continuent de construire conformément à un certain type de patron. Mais si la reine meurt, alors tout le travail de la colonie cesse comme si le patron avait soudainement été supprimé. Cela sous-entend que la reine n’a pas besoin d’être physiquement présente pour la poursuite des opérations. En revanche, elle doit être en vie sinon la conscience du groupe disparait du champ informationnel d’hyper-communication.
Nous pouvons donc nous référer à ces formes d’hyper-communication comme à un champ de conscience quantique, ou tout simplement, à la conscience quantique (étant donné que « quantique » implique la notion de champ non-local).
De la même manière, des phénomènes à distance tels que la guérison, la détection ou la télépathie peuvent fonctionner selon le même principe.
Pour simplifier, nous pourrions dire que beaucoup d’entre nous l’ont ressenti sous la forme d’intuition et d’éclair d’inspiration. Nous pourrions même recevoir ces formes d’hyper-communication pendant notre sommeil. Il existe une quantité innombrable de personnes, d’artistes ou de concepteurs… qui ont été inspirés en rêve. Nous pouvons citer en exemple le compositeur italien Giuseppe Tartini qui a rêvé qu’un diable s’asseyait à son chevet pour lui jouer un air de violon. Le lendemain matin, Tartini écrivait la pièce de mémoire et l’intitulait La sonate des trilles du diable.
Ces expériences ont tendance à se généraliser ; à moins que ce ne soit parce que les personnes se sentent davantage prêtes à en parler.
Aussi, certains signes indiquent que la nouvelle génération manifeste une forme plus élevée de clairvoyance et de dons extra-sensoriels.
Cette sensibilité pourrait indiquer qu’une forme plus élevée de conscience collective soit en train d’émerger au sein de l’humanité ; et que ces capacités trouvent désormais plus d’occasions de s’exprimer.
A cet égard, nous ferions bien de revenir aux pratiques recommandées depuis des siècles par les maîtres et les traditions spirituels : méditation, réflexion, observation, attention, etc. Einstein était connu pour avoir la tête « dans les nuages » et il a souvent déclaré que sa plus grande source d’inspiration lui venait lors de cet état de conscience.
Nous pourrions donc encourager une relation plus authentique avec l’humanité en portant notre attention sur notre état et en nous mettant en quête d’harmonie et d’équilibre dans nos vies.

ÉTATS QUANTIQUES ET CHAMP AKASHIQUE

ScienceSpiritualit16Les outils permettant d’améliorer les états dits intérieurs (ou “quantiques”) existent et font partie de beaucoup de traditions, que ce soit au sein des principales religions (christianisme, islam, judaïsme, sikhisme) ; ou des autres courants de sagesse tels que le bouddhisme, le taoïsme et les pratiques méditatives.
Sont également disponibles des documents écrits (livres, contes et poèmes) ayant pour but de stimuler l’activité de l’hémisphère droit. On peut citer le cas des histoires soufies (contes du Mulla Nasrudin) mais aussi d’histoires plus populaires telles que les contes des mille et une nuits et les poèmes de Jalalludin Rumi (classés parmi les meilleures ventes en Occident).
Nombre de ces traditions encouragent ainsi la méditation à plusieurs comme moyen d’encourager la conscience de groupe et la relation quantique. Il a été démontré que les méditants expérimentés peuvent atteindre un niveau très élevé de synchronisation interhémisphérique.
Pareillement, il a été prouvé que les personnes qui méditent ensemble synchronisent leur activité cérébrale. Grâce à un électroencéphalogramme (SPECT), on a pu observer cette synchronisation de l’activité des ondes cérébrales chez les participants.
Nous pouvons désormais avancer que ceci est le résultat de la résonance produite entre les différents champs quantiques, comme l’ont démontré les dernières recherches en biophysique.
Dans une certaine mesure, cela a été reproduit par la vaste gamme de matériel audio à technologie hémisphérique qui est désormais en vente sur le marché (à qualité variable). Ces stimulateurs déclenchent un état modifié de conscience (EMC) ; ce que certains médecins appellent une conscience transpersonnelle.
En ces états, des personnes ont éprouvé des connexions très profondes avec ce qui est généralement appelé la conscience collective. Le philosophe Ervin Laszlo nomme ce champ d’information collectif : champ akashique (2004).
Il est désormais raisonnable de supposer que ce bien nommé champ akashique non-local est en réalité une partie de notre champ de conscience quantique commun (nos champs se chevauchant).
Si tel est le cas, nous pouvons nous demander si l’ADN, qui émet des biophotons et dispose de propriétés inter-dimensionnelles, ne serait pas lui-même le siège de la conscience quantique.
La science moderne a bien longtemps considéré le cerveau humain comme étant le centre de la conscience ; mais cela reviendrait à la pensée matérialiste et linéaire que la conscience est le résultat de la matière complexe.
Le cerveau est en effet la formation neurologique la plus complexe que nous ayons ; elle consiste en un réseau très intriqué de synapses. Pourtant, il est bien plus probable que le cerveau fonctionne comme le récepteur et transcripteur des signaux électriques émis à partir de l’ADN quantique.
De cette façon, les trillions de sections de l’ADN humain agissent comme un champ quantique cohérent pour réguler chacune des parties de notre corps, simultanément et à chaque instant.
Le corps humain est donc un champ quantique qui résonne ; il renfermerait des propriétés inter-dimensionnelles et pourrait être le « dépositaire » de la conscience.
Notre réalité est donc le produit du travail de notre cerveau, qui transcrit les signaux en perceptions, mais c’est bien l’ADN qui est une intelligence vivante.
L’idée que l’ADN soit une intelligence vivante n’est pas nouvelle pour beaucoup de traditions de sagesse indigènes.
ScienceSpiritualite17Par exemple, comme l’anthropologue Jeremy Narby l’a remarqué, les chamanes qui vivent des états de transe semblent souvent entrer en communication avec l’ADN comme moyen d’acquérir des connaissances sur les plantes, la guérison et le monde des esprits (Narby 1999).
Par conséquent, Narby a exploré comment la Nature est également imprégnée de cette forme d’intelligence vivante, qui agit comme modèle de survie pour permettre la croissance de l’évolution (Narby 2006).
Des chamanes, des personnes intuitives et d’autres personnes capables d’accéder à cette intelligence vivante perçoivent un « modèle » ou un patron derrière toutes les structures physiques, ce qui indique qu’un champ quantique d’intelligence vivante agit comme un tremplin évolutif pour tous les systèmes vivants.
Nous pouvons donc supposer que l’ADN humain, agissant comme champ d’énergie quantique, est aussi vraisemblablement le siège de la conscience humaine.
De plus, nous pouvons dire que ce champ de conscience est exactement la même chose que le champ akashique.
Aussi, de récentes recherches suggèrent que l’ADN réagit à certaines influences externes telles que celles suscitées par la prière, la méditation et des sons ou des vibrations spécifiques. Cela offre des possibilités surprenantes quant à notre bien-être et à l’évolution de l’Homme, pourvu que nous nous montrions capables d’une certaine forme de communication avec notre propre intelligence vivante (notre « Moi supérieur » ?).
Nous aurions même le potentiel d’interagir avec notre propre structure cellulaire en focalisant son esprit et en définissant clairement ses intentions.
Cela aurait de profondes répercussions et suggérerait même que l’humanité ait l’opportunité d’entrer en relation – via la conscience quantique – avec son propre ADN et dessein de vie.
Par ailleurs, si la résonance et les vibrations de conscience quantique peuvent se transmettre d’une génération à l’autre, alors il se pourrait que les nouvelles générations présentent des schémas de conscience différents.
Cela pourrait constituer les signes avant-coureurs de l’évolution neurogénétique de l’humanité. Ces nouvelles générations seront les « agents de l’évolution » qui ouvriront la voie de la renaissance et du renouveau socioculturel.

LES AGENTS DE L’ÉVOLUTION – PROCHAIN SAUT QUANTIQUE ?

ScienceSpiritualite8La conscience quantique (intelligence du vivant) pourrait bien correspondre au prochain stade de l’évolution de l’humanité ; c’est-à-dire, l’évolution de l’esprit planétaire de l’humanité.
Bon nombre de mystiques et de spécialistes de la conscience y ont fait allusion sous plusieurs noms : allant de conscience cosmique ou super conscience, jusqu’à conscience transpersonnelle ou encore conscience intégrale…
Toutes ces dénominations ont un point commun, à savoir : une amplification de l’intuition, de l’empathie et une meilleure connexion avec le monde et les autres ; mais également un sentiment de « savoir » ce que chaque situation exige.
De plus, une telle forme de conscience quantique pourrait bien insuffler à chacun le sens du Grand Tout cosmique : la compréhension que l’humanité existe et évolue au sein d’un univers intelligent rempli de signification (peut-être même inter-dimensionnel).
Cela participerait à donner un élan spirituel plus profond et mieux accepté au sein de l’humanité.
Nous pouvons supposer qu’un basculement des forces géomagnétiques de la Terre (comme c’est déjà le cas) ; la variation des rayonnements entre chaque cycle solaire ; les pulsations galactiques émanant du centre de la galaxie ; le passage de notre système solaire par une partie plus « énergisée » de l’espace interstellaire ; pourraient – tous à leur façon – se traduire par des formes d’onde (vibrations) accrues pénétrant le champ quantique de l’ADN et facilitant un changement de la conscience humaine.
Le pont menant à un nouveau degré d’intelligence vivante est par essence un passage vibratoire. Si ce dernier a le potentiel d’activer la conscience quantique, cela pourrait accroitre les facultés intuitives et les phénomènes extra-sensoriels devenant alors non seulement une partie importante de nos vies mais ouvrant également les portes d’une plus grande créativité et des capacités inventives servant les futurs de l’Homme.
L’émergence de ces attributs chez une masse critique pourrait déterminer le prochain « saut quantique ».
Les signes de ces nouvelles formes de conscience commencent à se manifester dans le monde, mais pour l’instant ils ne font pas l’objet de la recherche générale. De tels agents « mutationnels » de l’évolution regroupent des visionnaires, des mystiques, des artistes, des médiums, des personnes intuitives, des maîtres spirituels et ceux qui ont été nommés « enfants indigo » (Atwater 2005).
Ces enfants (appelés « indigo » pour la couleur présumée de leur aura) sont décrits comme possédant une empathie, une créativité, une curiosité et une volonté accrues. Ils sont également censés être davantage enclin à la spiritualité dès leur plus jeune âge ; et avoir de fortes capacités intuitives.
Du fait de leur résistance naturelle à l’autorité, ils sont considérés par le scolaire conventionnel comme étant perturbés, rebelles ou exclus.
ScienceSpiritualite18Pourtant, ce n’est là rien de nouveau : au cours de l’histoire, les acteurs sociaux ont eux aussi ressenti l’appel – et eu l’intuition – de résister à l’autorité et d’instaurer le changement (Billington 1998).
Beaucoup d’individus ayant pris conscience du besoin de semer la graine de l’évolution dans la vie sociale ont été pris par les événements révolutionnaires et/ou impliqués dans les bouleversements socioculturels. Krishna remarque que ces élans évolutionnaires ont germé à partir de cette graine.
Je peux affirmer en toute confiance que les progrès réalisés par l’Homme dans tous les domaines – depuis le stade sous-humain jusqu’à l’actuel – sont bien moins dus à ses propres faits qu’à l’activité des forces évolutionnaires en lui. Chaque inspiration d’invention, de découverte et d’œuvre d’art ; chaque création d’organisations politiques et sociales provient invariablement de l’intérieur, d’entre les profondeurs de sa conscience et par la grâce … d’une force évolutionnaire super intelligente chez l’être humain (1993, 166).
Ces élans témoignent des efforts, tentatives ou mouvements sociaux participant à fertiliser le “sol mental” afin qu’une nouvelle conscience puisse lentement s’enraciner et croître. En effet, les forces sociales, culturelles et matérielles mettent généralement un certain temps à répondre au besoin d’un paradigme de conscience évolutif.
Nous pouvons dire que pour une croissance continue de l’espèce et de la culture, certaines périodes de l’Histoire s’avèrent plus favorables : lorsque l’humanité est prête, voire aspire, à une activation des facultés et/ou des caractéristiques évolutionnaires.
Il se peut que, en cette période culturelle fondamentale, l’humanité s’adapte d’elle-même ou qu’elle soit forcée de développer des aspects de conscience plus créatifs et inspirés.
Cette transition – une partie de ce que j’appelle l’évolution neurogénétique– mettra à mal beaucoup des structures sociales désormais obsolètes qui ont largement divisé la pensée humaine. Cependant, comme dans tout changement de paradigme, les vieilles énergies doivent inévitablement faire place aux nouvelles, et ce n’est qu’une question de temps avant que les nouvelles générations passent à une conscience évolutive et à ses manifestations.
Il est donc essentiel qu’une compréhension des questions spirituelles commence à transparaitre dans notre quotidien, et ce afin de contrebalancer le matérialisme social.
Dans les années à venir, il est important que nous essayions de développer une conscience qui soit réceptive aux influences spirituelles, tout en étant conscients et attentifs aux dernières avancées scientifiques. Il est impératif que nous redonnions vie à notre sens collectif du bien-être et du lien qui nous unit – notre intrication – en tant qu’élément de notre développement à tous.
Il est possible qu’un nouvel état de conscience quantique permette à l’humanité d’accéder à un champ d’information énergétique inimaginable. Cela ouvrirait donc de nouvelles perspectives d’intelligence créative et présagerait la suite sur le chemin de notre ascension.

CONCLUSION

ScienceSpiritualitePour résumer, l’humanité en tant qu’espèce globale pourrait être au milieu d’une transition vers un état de conscience différent.
Ce nouvel état pourrait vraisemblablement être caractérisé par des propriétés quantiques telles que la cohérence et les informations de champ non-local. Pour cette raison, j’ai qualifié ce nouvel état de champ de conscience quantique.
Ce champ de conscience transformera notre relation à autrui, au monde, et étendra nos réalités de perception.
Il pourrait aussi faire naître d’autres facultés, latentes jusqu’à présent, telles qu’une intuition, une télépathie et une pensée visionnaire accrues. Certaines de ces caractéristiques apparaissent déjà chez les nouvelles générations appelées « enfants indigo ». Ce développement évolutionnaire atteste d’une transition depuis des formes d’évolution biologiques et socioculturelles vers l’intégration d’un nouveau niveau : neurogénétique. Je soutiens que cette phase neurogénétique est essentielle pour permettre à l’humanité de grimper un nouvel échelon sur l’échelle de l’évolution.
Comme un penseur l’a récemment remarqué :
« nous vivons une période de changement où l’humanité se transforme. Notre conscience, au vaste potentiel de développement, doit vivre un lâcher-prise des vieilles structures limitatives, et marquer une rupture pour une expansion rapide… Nous avons besoin de comprendre les phénomènes en profondeur, et ne pas simplement accepter ce qu’on nous dit, ou ce qui nous est donné par le biais de circuits et d’institutions sociales bien structurés.
Nous devons apprendre à accepter que notre pensée est une grande force spirituelle et concrète pour instiguer le changement. (Gulbekian 2004, 251)
Si une personne n’était pas suffisamment préparée aux conséquences du changement alors cela pourrait causer déséquilibre et confusion.
La responsabilité personnelle veut que chaque personne recherche l’équilibre des énergies intérieures et extérieures ; et de renforcer son sens de connexion, d’empathie et de vision créative.
Les nouvelles découvertes en neuroscience, biologie et physique quantiques ont montré qu’une forme de conscience connectée non-locale a une base scientifique. Cela démontre que certaines expériences transcendantales ou spirituelles d’une unicité collective ont une base valide au sein d’un nouveau paradigme scientifique.
Nos futurs évolutionnaires n’ont pas à être divisés entre la science et les sciences humaines mais peuvent être – doivent être – une fusion créatrice et un partenariat collaboratif.
Traduction réalisée par Jennifer Dureau (contact :dureau.jennifer@gmail.com)

NOTES

1. Voir The Structure of Scientific Revolutions de Thomas Kuhn pour plus d’informations sur les changements de paradigme.
2. John von Neumann, mathématicien éminent, a calculé que lors d’une durée de vie moyenne de soixante-dix ans nous accumulons quelque 280 milliards de bits d’informations (Wiener 1961).
3. La précession des équinoxes (ou la Grande Année) se réfère au passage graduel de l’orientation de l’axe de rotation de la Terre, qui forme un cône dans un cycle d’environ 26 000 ans.
4. Pour plus d’informations, voir les travaux de Grazyna Fosar et Franz Bludorf.
5. Voir les nombreux rapports au sujet des “Enfants indigo” ou “nouveaux enfants” (Atwater 2003, 2005, Carroll and Tober 2004).
6. Voir le recueil de contes d’Idries Shah.

REFERENCES

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http://la-source-des-sagesses.blogspot.fr/2015/05/la-connaissance-des-energie-vibratoire.html

les coups de coeur

Maître

de Sagesse

Auteur Un-connu

Si tu te contentes de boire l'eau de mon puits, demain tu mourras de soif, soit parce que j'ai fermé la porte, soit parce que je suis en voyage.

Si tu veux étancher ta soif, creuse ton terrain et tu trouveras la source car elle est en toi.

Creuse ton puits, ainsi tu auras toujours de l’eau partout où tu iras.

Le puits est en toi,

la source est en toi.

Cherche et tu trouveras le trésor qui t’enrichira.

N’oublie jamais que celui qui compte sur la richesse d’autrui est semblable à celui qui fait un beau rêve dans lequel il reçoit beaucoup d’argent, et qui constate au réveil que sa poche est vide. Le bien des autres est pour nous comme la fortune d’un rêve.

Cherche en toi et tu trouveras.


CRÉER DE LA LUMIÈRE À PARTIR DE RIEN

A sa manière, Raymond Devos avait eu l’intuition de la nature ambiguë du vide, en expliquant dans un sketch que « rien … ce n’est pas rien. La preuve c’est qu’on peut le soustraire. Exemple : Rien moins rien = moins que rien ! Si l’on peut trouver moins que rien c’est que rien vaut déjà quelque chose ! On peut acheter quelque chose avec rien ! En le multipliant. Une fois rien … c’est rien. Deux fois rien… c’est pas beaucoup ! Mais trois fois...


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LE POINT ZERO ET CHAMP AKASHIQUE

Le champs de Cohérence akashique Les mystiques et les sages nous informent depuis longtemps qu’il existe un champ cosmique reliant tout à tout au plus profond de la réalité, un champ qui conserve et transmet l’information, connu sous le nom de «champ akashique». De récentes découvertes en physique quantique indiquent: celui-ci est réel et il a son équivalent dans le champ du point zéro qui sous-tend l’espace comme


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LES CHAMPS DE TORSION PRODUIT PAR LA CONSCIENCE EST LA CLÉ DE LA « THÉORIE DU TOUT »

Les champs de torsion, la clé de la « Théorie du Tout » incluant la conscience On attribue généralement la première recherche concernant la découverte du « champ de torsion » appellée aussi « 5ème force ou élement », au russe le Pr Mychkine dans les années 1800. C’est un collègue d’Einstein, le Dr Eli Cartan qui a le premier appelé cette force champ de « torsion »

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LA LUMIÈRE D APRÈS L'ARBRE SÉPHIROTIQUE

D’après la tradition Kabbalistique, la lumière est née dans Ain Soph Aur (Lumière illimitée), qui lui-même est né dans Ain Soph (L’infini), qui lui-même est né dans Ain (Vide absolu). Cette lumière illimitée se manifeste comme une étincelle...


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LA MEDECINE LUMIERE -1

La Médecine Lumière Commençons par quelques définitions: Qu'est ce qu'est la médecine: La médecine de type occidentale est la science et la pratique étudiant l'organisation du corps humain (physique, qq fois psychologique), son fonctionnement normal, et cherchant à le restaurer la santé par le traitement,.


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LE LIVRE DE NOE OU LA MEDECINE INDIENNE

Originaire de l'Inde, la médecine Indienne, ou médecine orientale, est un système médical complet et cohérent, tout comme le sont la médecine occidentale ou la Médecine traditionnelle chinoise, par exemple. Il est considéré comme le plus ancien système médical de l'histoire humaine. La tradition indienne fait remonter ses débuts à 5 000 ans, même 10 000 ans. Toutefois, les écrits sur lesquels repose ce savoir médical..

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LA TRADITION PRIMORDIALE -2

Tradition Primordiale et Torah de Sion : Aux source de la Kabbale Originelle. Mission d’un Peuple Élu pour la réaliser Les premières questions que nous poserons dans cet exposé, sont les suivantes: Y a-t-il véritablement une Mission d’Israël parmi les Nations ? La réponse est catégoriquement: Oui! Et elle ait été préfigurée par le Patriarche Abraham, ancêtre du peuple d’Israël, et des Juifs, à qui Dieu promis la Terre d’Israël en Héritage...
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L ÂME HUMAINE, SELON LA PHYSIQUE QUANTIQUE

Boris Iskakov est né le 14 novembre 1934 à Magnitogorsk. En 1957, il a achevé ses études à l’Institut de techniques physiques de Moscou. Auteur de la théorie des réactions en chaîne dans l’économie, il a consacré une série d’ouvrages à l’application des méthodes mathématiques en agriculture. Docteur en économie, Boris Iskakov étudie depuis quelques années les méthodes statistiques et quantiques servant à modéliser les processus qui s’opèrent...
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LE CORPS RÉCEPTEUR DE VIBRATION ELECTROMAGNÉTIQUE

La médecine occidentale est une médecine symptomatique, qui s’intéresse plus aux conséquences qu’aux causes. L’approche réductionniste de la médecine occidentale Les médecins aujourd’hui sont éduqués pour répondre de façon chimique à une extraordinaire diversité de symptômes, dont la plupart procèdent de mécanismes ...




LE TEMPS QUANTIQUE DANS LA KABBALE 2

Lumière Sans Fin (Ohr Ein Sof) et Récipient Primordial : la Vraie Réalité La réalité du 1% Toute cette réalité où, souvent, vous avez l’ impression de marcher sur une route qui ne conduit vers nulle part, où vous faites l’expérience de l’exil intérieur, de la relativité de tout, du manque de points de référence absolus, la Kabbale l’appelle la réalité du 1%. C’est une réalité où justement existent le temps, l’espace, le mouvement, ce qui...

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LUNE DE SANG, LA FIN ET LE DÉBUT DE NOUVEAU TEMPS

Lune de sang Le livre de la Genèse dit que DIEU utilise le soleil, la lune et les étoiles pour des signes et les saisons. De tels exemples peuvent être trouvés dans la Bible, d ailleurs le calendriers juifs et basé à la fois sur le calendrier solaire et lunaire. Or il va apparaitre ces années des Eclipses 2014 et 2015, pendant les fêtes juives appelées les Tetrades, au cours desquelles, à chaque fois, il s’est passé un évènement...

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À la différence de l’espace, le temps est une dimension incontrôlable. Qu’on le veuille ou non, la flèche du temps semble dirigée invariablement vers le futur. « Nous ne nous baignons jamais deux fois dans le même fleuve », précisait Héraclite. Plus de deux millénaires se sont cependant écoulés depuis cette affirmation du philosophe grec. Aujourd’hui, à l’heure de la science atomique et de la conquête spatiale, notre regard sur le cosmos...