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dimanche 24 janvier 2016

Les Codes dans les sons et la géométrie sacrée

Les Codes dans les sons et la géométrie sacrée 

Une vision nouvelle de l’évolution

Par Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques, Thérapeute psycho-corporel, Enseignant.

Résumé : Les corps énergétiques de l’être humain sont régis par des champs d’information qui englobent l’organisme. Ces champs transmettent des schémas directeurs inscrits dans des plans supérieurs de réalité, qui se manifestent sous forme géométrique ou sonore. Mais ceux-ci ont été faussés par le passé. L’humanité est dans le processus délicat où elle retrouve ses codes d’origine. Cela ne va pas sans heurts et sans épreuves, qui sont autant d’incitations à retrouver de nouvelles formes de responsabilité et de sagesse.

Observez le déroulement de votre vie. Observez comment vous avez évolué, comment vous avez gagné en expérience. Il semble que nous soyons programmés pour croitre, apprendre à subvenir à nos besoins, gagner en maturité émotionnelle, élever notre conscience, donner un sens à notre vie, même si parfois nous ne le percevons pas (voir article Le sens de la vie). Pendant ce temps, notre corps grandit lui-aussi, et assure son entretien. Lorsqu’il a été blessé, il se répare. Lorsqu’il ne reçoit pas suffisamment de soins, il nous le dit par des douleurs et des maladies.

Si nous contemplons tous ces processus, ils paraissent merveilleux et d’une grande ingéniosité. Mais qu’est-ce qui est à l’origine de cette merveille? Qu’est-ce qui assure ce fonctionnement, maintient l’intégrité du corps et guide l’enfant vers la conscience de l’adulte avisé? Quelle est cette intelligence? De quelle nature est-elle?

Selon les scientifiques, l’intelligence qui gouverne notre corps s’identifie “simplement” au code génétique de l’ADN. Ce code piloterait tous les aspects de la vie.
Mais même si nous admettons la toute puissance de ce code génétique, comment, par qui ce code se serait-il établi ? N’est-ce pas retomber sur la même question de l’existence d’une intelligence ? Non, répondent les scientifiques. Ce sont les rencontres aléatoires et les phénomènes de sélection qui ont peu à peu laissé émerger des molécules d’ADN. Puis, selon les mêmes lois du hasard, ces molécules se seraient répliquées, auraient constitué des cellules, inventé les bactéries, puis les plantes et les animaux.
L’ADN aurait trouvé le moyen d’inscrire tous les bénéfices de ces nouvelles constructions en terme de code génétique. Et enfin, de ces rencontres hasardeuses, aurait émergé l’être humain, la conscience de soi, et l’impulsion à devenir plus fort et plus sage (voir les détails dans l’article Les origines de la vie).

Beaucoup de personnes ne peuvent se contenter d’une telle explication et ont le sentiment prégnant d’un plan, d’une intention, qui ne doit rien au hasard.
Cherchant une réponse à ce dilemme, elles se tournent vers les religions. Mais la seule réponse des religions est que tout a été créé par Dieu. Aucune description n’en est donné, aucune explication sur le phénomène de croissance et reproduction.
Pourquoi, si tout est créé par Dieu, les formes de vie ne seraient-elles pas immortelles et immuables?
Les enseignements religieux sont peut-être des images simplifiées données à l’humanité par le passé en fonction de ce qu’elle était capable de percevoir. De plus ces connaissances auraient été dégradées, on en aurait perdu le sens.

Mais les temps changent et l’humanité aussi. Nous avons abandonné l’idée que nous étions des éléments séparés les uns des autres. Nous avons intégré le fait que nous sommes des parties de systèmes qui fonctionnent de façon globale et que toute action d’un élément réagit sur l’ensemble de la communauté et de l’univers.

Nous disposons de nouvelles approches scientifiques en électromagnétisme avec la notion de champs qui remplissent l’espace, en thermodynamique avec sa théorie de l’ordre, en physique quantique avec les particules corrélées (voir article Les fondements de la physique quantique), en informatique avec la notion de programmes, en télécommunications et transferts d’information, en astrophysique avec la vision de mondes en perpétuels mouvements.

En conséquence, il est grandement temps de restituer une interprétation du fonctionnement de la vie qui s’appuie sur ces connaissances scientifiques, mais aussi sur les textes anciens qui décrivaient ces fonctionnements avec leurs propres terminologies que nous pouvons relire avec une nouvelle conscience et une nouvelle compréhension.
Nous découvrons que la création est gouvernée par des lois complexes, une sorte de science supérieure qui procède par des codes d’information.
On peut en avoir une image rudimentaire en les comparant à des programmes informatiques qui seraient activés à certains moments adéquats. Mais contrairement à ceux-ci, les codes supérieurs de la création n’ont rien de rigide. Ce sont des codes vivants et divins.

Un survol des connaissances scientifiques et spirituelles à ce sujet va nous en convaincre.
Les champs d’information qui pilotent les organismes
Nous sommes conditionnés par nos enseignements scolaire, périscolaire et médiatique à considérer que notre corps fonctionne comme un récipient plein d’eau et de substances chimiques qui réagissent et s’auto-organisent en fonction des influences de l’environnement. Les émotions et les pensées seraient aussi le fruit de ces réactions chimiques, par le biais des hormones. Bien que les découvertes scientifiques à ce sujet nous apportent des éléments intéressants, elles restent interprétées dans un cadre limité où le corps et l’esprit sont réduits à un jeu de molécules, donc de substance matérielle, qui se rencontrent et se transforment.

Pourtant, même dans le cadre de la physique classique, les physiciens savent depuis longtemps que les molécules sont constituées de particules électriques en mouvement, qui, selon les lois classiques de l’électromagnétisme, émettent des champs électromagnétiques. Pour comprendre notre corps et notre développement, il est nécessaire de prendre ces champs en compte.
C’est ce qu’ont fait une lignée de chercheurs principalement allemands et russes(Gurwitsch, Kaznacheev, Gariaev, Inaba, Popp, et d’autres).
Ils ont mis en évidence l’existence d’un champ photonique qui baigne le corps des organismes vivants.
Un photon est une particule d’une onde électromagnétique, par exemple une particule de lumière. Ils ont aussi déterminé que ce champ transporte des informations qui sont distribuées à l’ensemble des cellules.
En effet, pour se développer de façon contrôlée et non anarchique, les cellules doivent recevoir des instructions. Ainsi, au cours du processus de croissance de l’embryon dans l’utérus, les premières cellules issues de la fécondation se multiplient, puis elles se différencient en cellules de peau, d’œil, d’os ou de cœur.
Alors comment savent-elles à quel organe ou tissu elles appartiennent? Comment sont-elles averties qu’il est temps de cesser de se multiplier lorsque l’organe est complètement formé? Comment sont-elles synchronisées et coordonnées avec les autres cellules partout dans le corps?
La réponse se trouve dans le champ photonique.
Il véhicule les instructions qui doivent être délivrées aux cellules. La transmission est immédiate et simultanée pour l’ensemble des cellules concernées, car le champ a la propriété d’être un hologramme.

Le chercheur russe Peter Gariaev a montré que le code génétique des organismes n’est pas localisé sur la molécule d’ADN dans son aspect physique. Les codes sont inscrits dans le champ électromagnétique qui l’entoure et qui est en étroite association avec la molécule.
Il en a fait la preuve en réalisant l’expérience époustouflante de lire le code génétique électromagnétique d’un œuf de grenouille avec un rayon laser spécial et de le transmettre à un autre œuf, celui d’une salamandre. Les œufs de salamandre ont donné naissance à des grenouilles !!!
Bien que ce genre de résultats suscite des interrogations sur l’usage qui peut être fait de cette technologie, ils démontrent clairement que dans les organismes vivants et dans l’être humain en particulier, les codes directeurs de leur développement et de leur fonctionnement sont inscrits dans les champs électromagnétiques associés à l’ADN. Ces codes sont véhiculés par le champ biophotonique global de l’organisme.

Le champ électromagnétique qui pilote l’assemblage de l’ADN
Une autre preuve scientifique de la réalité de ces champs nous est fournie par les expériences du professeur Luc Montagnier sur l’ADN.
Au moment de la synthèse de l’ADN dans les cellules, les morceaux élémentaires de l’ADN, les bases azotées, s’assemblent les uns derrière les autres selon un plan précis. Cela se passe de la façon suivante: dans la molécule d’ADN, faite de 2 brins enroulés en hélice l’un autour de l’autre, les deux brins se séparent, et chacun d’eux devient le moule pour l’assemblage d’un autre brin.
Luc Montagnier a montré qu’il existe une autre façon de guider l’assemblage sans passer par le moule. La synthèse peut être pilotée par un champ d’information électromagnétique, qui est spécifique de l’ADN en question.

L. Montagnier est connu pour avoir découvert le virus responsable du SIDA en 1983. Il a reçu pour cela le prix Nobel de médecine en 2008. Dans ses nouvelles expériences sur les champs d’information, il a d’abord constaté que des cellules et des virus pouvaient dans certaines conditions émettre des signaux électromagnétiques. C’est ce qu’avait déjà conclu bien avant lui le professeur Jacques Benveniste (médecin et immunologiste français, 1935 – 2004), dont il a repris les techniques en les améliorant.

Avec son équipe, Montagnier a mesuré et enregistré les signaux électromagnétiques émis par l’ADN de cellules bactériennes ou de virus mis en solution. Les résultats montrent que les signaux sont présents pour des dilutions élevées des molécules d’ADN dans l’eau.
Puis, il a transféré le signal de l’ADN dans un second tube placé à côté du premier. Si dans le deuxième tube, il a auparavant ajouté les constituants de l’ADN selon un protocole adéquat, des molécules d’ADN sont reconstituées au bout de quelques heures, reproduisant à 98% l’ADN initial.
Dans cette expérience, le plan d’assemblage de l’ADN a été fourni par sa signature électromagnétique, sans qu’on ait fait appel à un moule moléculaire. Malgré l’absence de moule, les réactions chimiques ne se sont pas faites au hasard des rencontres. Elles ont été pilotées par des codes électromagnétiques. Dans ce cas, la théorie du hasard s’effondre.

Alors pourquoi ce qui est valable pour l’ADN ne serait-il pas à l’œuvre également dans d’autres réactions chimiques de la vie? Celles-ci pourraient être guidées par des informations codées inscrites dans des champs d’information.
Cela donnerait des perspectives nouvelles sur notre façon d’envisager les mécanismes chimiques de la vie, en particulier sur les scénarios d’apparition de la vie sur Terre (voir aussi Les origines de la vie).
Les champs d’information appartiennent à des niveaux supérieurs de réalité
Les codes directeurs de la synthèse de l’ADN appartiennent à la réalité des champs électromagnétiques, située à un niveau supérieur à celle des molécules organiques qu’ils pilotent.
Pour mieux comprendre le lien entre ces deux niveaux, comparons-le au lien existant entre les plans de construction d’une maison et la réalisation concrète de la maison.
Le plan de la maison constitue le schéma directeur de la construction. Sans l’existence de ce schéma abstrait qui les organise, les matériaux (briques, poutres, carrelage, fils électriques…) ne seraient qu’amoncelés. Le plan leur donne une structure et une hiérarchie interne. Le plan n’est pas seulement dessiné sur un papier, il transparait et vit dans la structure de la maison.

On peut aller plus loin dans cet exemple en observant qu’il y a toute une hiérarchie de plans superposés. Pour élaborer son plan, l’architecte l’affiche sur l’écran d’un ordinateur. Mais cette figure affichée sur l’écran a été calculée par l’ordinateur au moyen de programmes. Nous pouvons donc distinguer le niveau abstrait de ces programmes qui résident dans l’ordinateur, et le niveau plus concret, car perceptible par nos sens, de la manifestation sur l’écran.On a donc 3 niveaux: programmes, dessin, et maison réelle.
Ce n’est pas tout. Les programmes constituent un logiciel qui a été élaboré par un fabriquant en fonction de règles d’architecture précises qui s’appliquent à toutes les constructions. Le plan de la maison destinée à la famille F obéit à des principes valables pour toutes les maisons. Le sol est en bas et le toit en haut, par exemple, selon les lois de la gravité. Toutes les maisons ont des fenêtres qui laissent pénétrer la lumière. Le toit est étanche pour protéger de la pluie. Une porte permet les mouvements des habitants pour entrer et sortir, etc.
Ainsi, au-dessus du niveau du plan de la maison personnalisée se situe un ensemble de principes directeurs plus généraux, plus abstraits, de protection, lumière, mouvement, alimentation, hygiène, etc. Il existe donc plusieurs niveaux échelonnés selon une hiérarchie, dont le plus dense est la manifestation matérielle, la maison.
Il en est de même pour les corps de la nature, de l’univers et pour le corps humain. Ils sont la manifestation concrète de plans à des niveaux plus abstraits.
Le plan immédiatement supérieur se laisse deviner dans les trames géométriques et structurelles de ces corps.
Il reçoit lui-même les impulsions de niveaux supérieurs où sont inscrits les principes et les lois générales.
Ces principes sont les archétypes de la création.
Ils ne sont pas détectables par les appareils scientifiques ordinaires, mais plusieurs traditions décrivent ces archétypes et comment ils dirigent les manifestations matérielles dans les niveaux plus denses.

Selon la philosophie indienne du Samkhya, les manifestations matérielles ou effets réels préexistent sous forme de cause potentielle. La cause potentielle, nommée Purusha, est le principe premier du Samkhya. Elle n’est pas traduite directement dans la matière. Elle se différencie auparavant dans un niveau intermédiaire sous la forme de Prakriti. La prakriti contient les schémas directeurs sur lesquels se calque la matière. Ces schémas sont individualisés par leur mélange en proportions variables de 3 principes, les gunas. Les gunas sont en mouvement perpétuel, de sorte que les objets physiques qu’elles produisent sont en perpétuelle transformation.

L’idée de niveaux supérieurs où seraient déposés les principes directeurs du monde est aussi défendue par certains scientifiques. Dans son ouvrage Science, order and creativity en collaboration avec D. Peat, le physicien David Bohm (physicien étasunien, 1917 – 1992) introduit la notion d’opération créative de niveaux de réalité sous-jacents. Il énonce que des plans de création plus profonds détiennent le canevas de ce qui se passe dans le monde.

Le monde physique serait issu de ces niveaux subtils.
Les schémas directeurs donnent un sens à la création. Ils ne sont pas quelconques. Ils sont l’expression d’une intention. De même que la structure d’une maison exprime le style de vie de ses habitants et leur relation avec l’environnement, de même la trame directrice des créations de l’univers leur donne une orientation de vie spécifique, qu’elles soient un minéral, une plante, un humain, une planète ou une galaxie. C’est le principe de “vie” de cette forme (le mot principe signifie qui vient en premier).
Si nous revenons à l’ADN humain, les archétypes de l’être humain sont transmis par ses codes électromagnétiques à un premier niveau, qui eux-mêmes sont l’expression de codes de niveaux plus élevés. Nous allons explorer cette notion, en commençant par donner une vision plus imagée de ce que sont ces niveaux supérieurs. Certaines personnes clairvoyantes ont la faculté de voyager en conscience dans ces niveaux. Les récits de leurs rencontres avec ces réalités nous ouvrent de nouveaux espaces de compréhension.

Les pensées humaines ont des contreparties dans des plans supérieurs
Des clairvoyants rapportent que toute manifestation physique ou émotionnelle comporte une contrepartie dans des niveaux supérieurs, sous forme d’archétypes abstraits.
Certes, tout ce qu’ils rapportent n’est pas vérité absolue. Les mondes supérieurs sont multiples et nos visions médiumniques sont fréquemment en rapport avec nos états émotionnels. Toutefois, ceux qui ont dépassé les peurs et leurs besoins de pouvoir et de reconnaissance (il est donné à chacun d’entre nous d’évoluer vers cet état) peuvent pénétrer plus loin dans l’expérience en développant une vision spirituelle et rapporter des éléments forts intéressants sur les mondes supérieurs ou suprasensibles.
Voici par exemple ce qu’écrit le philosophe et visionnaire autrichien Rudolf Steiner (1861 – 1925) dans Théosophie (plusieurs éditions entre 1910 et 1922).

Le milieu où se trouve l’homme qui apprend à se servir de son œil spirituel lui apparait comme un monde nouveau rempli de pensées vivantes ou d’êtres spirituels. Dans ce monde on trouve en premier lieu les archétypes de tous les objets et de tous les êtres qui sont dans le monde physique et dans le monde psychique… Qu’on se représente l’œuvre d’un peintre telle qu’elle est présente dans son esprit avant qu’il la peigne, et l’on se fera une idée de ce que nous entendons ici par archétype. Peu importe qu’il ne la conçoive complètement qu’au fur et à mesure de sa réalisation. Dans le véritable “monde de l’esprit”, il existe de semblables archétypes de tous les objets; les êtres et les choses physiques ne sont que les répliques de ces originaux… Chaque archétype a la possibilité de revêtir d’innombrables formes particulières. Celles-ci jaillissent de lui en quelque sorte; et dès que l’une a été engendrée, l’archétype se met à en créer une nouvelle.
Steiner explique très clairement que les archétypes peuvent se manifester à la perception spirituelle sous forme d’images ou sous forme de sons :
Dès que le clairvoyant s’élève du monde des âmes à celui de l’esprit, les archétypes visibles deviennent en même temps sonores. Ce “son” dont il s’agit ici est un phénomène purement spirituel. L’observateur se sent baigné dans une mer de sonorités dans lesquelles s’expriment les entités du monde spirituel. Dans leurs consonances, harmonies, rythmes, mélodies, s’expriment les lois originelles de l’existence de ces entités, leurs rapports réciproques, leurs affinités. Tout ce que l’entendement humain perçoit sous forme de loi, d’idée, se révèle à l’ “oreille spirituelle” comme une musique spirituelle.

Les sons et les musiques existent à différents niveaux. À des niveaux élevés, ils sont transformés en langage spirituel.
Les Noms divins et les lettres sacrées y dévoilent leurs vibrations propres, sources de création dans les plans plus matériels.
Les géométries des corps subtils
Pour les clair-voyants, les archétypes des êtres humains sont perceptibles dans leurs corps subtils appelés aussi corps énergétiques.
Ces corps enveloppent le corps physique et s’y imbriquent. Ils sont trop subtils pour être détectés par les appareils scientifiques faits de matière dense, mais il est donné à chacun d’apprendre à les ressentir.
Les textes traditionnels des civilisations anciennes fournissent des renseignements détaillés à leur sujet, particulièrement les traditions védiques et hébraïques. Cette connaissance était répandue également à des degrés divers dans d’autres civilisations, par exemple la civilisation maya et même la tradition chrétienne des origines.
Les corps subtils sont parcourus par un réseau de circuits énergétiques, bien connu des praticiens holistic, magnétiseur ou acuponcteurs et des experts en médecine chinoise.
Ces circuits subtils constituent les armatures internes vivantes du corps humain. C’est dans la texture de ces réseaux que sont logés des schémas géométriques complexes, qui contiennent les codes de création et de développement de l’être humain dans toutes ses dimensions: physiques, psychologiques, mentales et spirituelles.

Le caducée
Selon la tradition védique, le réseau énergétique du corps humain est charpenté par un canal central appelé la sushumna. Il traverse et relie les centres d’énergie (ou chakras) majeurs. La sushumna est accompagnée de deux autres canaux (pingala et ida) qui montent autour d’elle en s’enroulant en spirale (la Kundalini). À eux trois, ces canaux forment une figure caractéristique qui ressemble à un bâton sur lequel s’enroule deux serpents, qui était l’emblème du dieu Hermès.
Lorsque l’individu développe sa puissance spirituelle, l’énergie monte le long de la colonne vertébrale et s’épanouit au sommet de la tête en deux ailes.
Cette figure qui représente l’être couronné dans sa splendeur est le symbole connu sous le nom de caducée.
L’arbre de vie
L’arbre de vie a été décrit dans les traités kabbalistiques Hekhalot (traite de paix qui correspondant à plusieurs niveaux de conscience) des 5e et 6e siècles, issus du livre d’Ézéchiel. Sa géométrie est plus complexe que celle du caducée avec lequel il partage l’axe central. Il est constitué de 10 centres énergétiques nommés des séphiroth (au singulier séphira), de sorte qu’on le désigne aussi par arbre des séphiroth.
Les séphiroth sont reliées par 3 lignes verticales qui les regroupent en 3 colonnes ou piliers. Les deux piliers latéraux, représentant le Jugement et la Miséricorde, sont équilibrés par le pilier central représentant la Compassion. Les lignes horizontales regroupent les séphiroth en trois régions qui épousent les parties du corps humain (tête, thorax et bassin).
Bien que figuré graphiquement sur un plan frontal étalé en haut et en bas ainsi qu’à gauche et à droite, l’arbre se déploie aussi en volume devant et derrière.

L’Adam Kadmon
L’arbre de Vie contient le programme archétypal du plan d’existence de l’être humain et de son évolution spirituelle.
Le prototype de l’être humain est appelé l’Adam Kadmon, ou encore en hébreu Adam Ha-Ḳadmoni ou Adam Kadmon le-khol ha-kedumim, ce qui signifie être primordial, être originel. C’est l’être humain tel qu’il a été conçu par la divinité dans sa pureté d’origine.
Dans ses écrits visionnaires, l’abbesse bénédictine rhénane Hildegarde von Bingen (1098-1179) a décrit l’Adam Kadmon, qui est à la fois l’homme d’origine et aussi l’homme accompli en lien direct avec le divin. Les miniatures qui illustrent ses textes représentent cet homme imbriqué géométriquement dans des cercles et des rectangles.
L’enseignement concernant la signification de l’Adam Kadmon figure aussi dans un traité kabbalistique du 13e siècle, le Sod Yedi’at ha-Meẓi’ut.
L’Adam Kadmon y est figuré par une forme d’apparence humaine, structurée par l’arbre de vie. Le traité dit que le corps d’Adam Kadmon fut créé quand la lumière supérieure ou Ain-Soph émit un jet de lumière qui devint la série de sphères concentriques que sont les Sephiroth. Il était constitué à l’image et la similitude de Dieu.
Adam Kadmon représente la géométrie sacrée divine, fondatrice du corps de tous les hommes et de toutes les femmes.
Dans notre état de vie ordinaire, l’Adam Kadmon est atrophié, ratatiné, et réduit à l’état deAdam Ha Rishon (le premier homme). Il retrouve sa nature intégrale tel qu’il a été émané de l’Ain Soph quand l’arbre de vie est à nouveau pleinement actif et rayonnant comme résultat d’une intense évolution spirituelle.
La Merkabah
Selon les traités kabbalistes Hekhalot (L’œuvre du Char ou Ma’aseh Merkabah), l’arbre de vie arrivé à sa pleine maturation se transforme en un corps de lumière, la merkabah.
La merkabah se présente sous forme d’une géométrie de polyèdres étoilés, qui comporte des pointes en nombre variable. La géométrie la plus connue est le double tétraèdre composé d’un tétraèdre pointé vers le bas, lié à la Terre, au féminin, et d’un autre pointé vers le haut, lié au ciel et au masculin.
La présence de la merkabah est la marque et le fruit de la réalisation spirituelle. Elle entoure, illumine et transforme l’âme de la personne. Par ce véhicule céleste, la personne accède à la Vérité et à la splendeur divine.

Programmes géométriques et sonores
Pour préciser comment des géométries peuvent être encodées dans des niveaux supérieurs, donnons l’image d’un téléviseur qui diffuse des images et des sons.
Ces images et ces sons sont encodés, souvent sous forme numérique, dans les ondes électromagnétiques reçues par le téléviseur.
Comprenons que les codes ne sont pas eux-mêmes de nature électromagnétique, l’onde n’est que la “substance” qui les porte.
Par exemple, si nous traçons un nom dans du sable avec des lettres, les lettres sont indépendantes du sable. Nous pourrions les lire de la même façon si elle étaient gravées dans du bois. Le sable ou le bois ne sont que le support qui les rend manifestes. De la même façon, les codes du téléviseur ne sont ni des images ni des sons, mais des signaux abstraits encodés dans l’onde. Ils se manifestent en images et sons lorsqu’ils sont décodés sur un niveau plus matériel.
Les codes directeurs humains fonctionnent selon le même principe. Ils existent de façon abstraite à des niveaux supérieurs et prennent l’aspect de géométrie dans les plans qui nous sont perceptibles.
De la même façon que des lettres peuvent apparaitre dans du sable, du bois, sur du papier ou en projections lumineuses, de même les codes abstraits humains peuvent tout aussi bien s’exprimer avec différents supports. Ce sont des géométries ou bien des sons.
Dans l’article Aspects géométriques et sonores de l’univers, nous avons montré comment les sons peuvent créer des formes. Sons et formes sont deux manifestations possibles de schémas qui sont codés de façon indifférenciée à des niveaux supérieurs.
Plus généralement, les plans supérieurs comportent plusieurs niveaux de différentiation. Au niveau le plus élevé, se trouvent les principes généraux, les lois universelles; dans les niveaux intermédiaires, les finalités et les impulsions; dans les niveaux les plus bas, proches de la manifestation physique, les archétypes des forces de vie, des émotions, des formes.
Les codes de notre développement sont inscrits dans les niveaux supérieurs de nos corps subtils, où ils agissent comme un programme potentiel.
Les différentes étapes de ce programme se manifestent au moment voulu.
Nous pourrions penser que nous sommes arrivés à la fin de notre étude. Pas du tout, car le plus important reste à venir. Une histoire théâtrale s’y greffe, et à cause de cette histoire, nous devons comprendre que la pleine réalisation de notre potentiel ne peut être activée qu’à la suite d’un travail spirituel personnel.

C’est notre histoire, celle de la perte et de la restauration de nos codes divins. Comprendre cette histoire, c’est comme allumer un phare dans les turbulences actuelles de l’humanité.
Histoire des codes divins de l’humanité La perte des codes d’origine
Pourquoi sommes-nous astreints à effectuer un travail spirituel important pour nous épanouir dans l’intégrité originelle de l’Adam Kadmon ?
Pourquoi n’en bénéficions-nous pas directement dès notre naissance ? Pourquoi vivons-nous à l’état de handicapé visuel à la recherche de lumière dans le brouillard ? Pourquoi sommes-nous astreints à passer par l’inconfort, la souffrance et l’ignorance ?
Le modèle originel de l’Adam Kadmon a été mis en veilleuse.
Depuis lors, l’être humain n’est plus la réplique de l’Adam Kadmon. Il est un Adam atrophié (Adam Ha Rishon).
Les séphiroth ont été partiellement désactivées et le potentiel de l’ADN a été réduit par une sorte de muselage. Comme une machine qui n’est plus alimentée, l’être humain ne bénéficie plus des énergies de paix et d’amour qui assuraient son intégrité.
Cet épisode est relaté dans de nombreux récits et légendes.

Dans la Bible, il est évoqué sous le nom de la Chute, du péché originel et d’Adam et Ève chassés du Paradis. Le péché est le fait de se détourner – de se priver – de refuser – la lumière supérieure. La motivation qui a entrainé les humains et leurs chefs à ce choix est la croyance naïve qu’ils avaient – et qu’ils ont encore – autant ou plus de pouvoir que la lumière supérieure, qu’ils peuvent s’en passer ou la remplacer par d’autres types d’énergie. Ce choix est donc la conséquence de l’ignorance et de l’orgueil.
La chute, la coupure avec la lumière, entrainent l’atténuation de cette lumière et l’infusion d’énergies sombres dans l’humanité. Pas seulement dans l’humanité au niveau physique. Elle affecte également les mondes subtils jusqu’à un certain niveau, ceux qu’on appelle les cieux inférieurs.
Au-dessus de ce niveau, les âmes évoluent dans la lumière pure et infinie et rétablissent leur intégrité.
En-dessous de ce niveau, les cieux sont habités par des consciences altérées (nommées les anges déchus). Les codes d’origine divine y sont faussés.

Mais les codes divins, ceux de l’Adam Kadmon, restent présents intacts au fond des âmes et dans les corps, comme un germe ou une étincelle à l’état latent. Ils sont simplement en attente d’être réactivés. Ils peuvent l’être à tout moment. Et d’ailleurs c’est déjà le cas. Le processus a été mis en route.
Les traditions et les enseignements spirituels affirment que dans un lointain passé, l’humanité s’est éloignée des lois cosmiques divines. À cause de leurs propres sentiments négatifs, les humains ont été pollués et dégradés dans leurs corps et leur âme par la loi de cause à effet, et non comme une punition de la part d’un dieu vengeur. Les maladies du corps, les maladies de l’âme, ont fait leur apparition. La vie a été écourtée.



Le récit de la perte de l’identité divine des hommes et de leur descente dans l’obscurité et la densité ne sont pas l’apanage de la Bible et du Coran, ni des traditions chrétienne, juive et islamique.
On le retrouve dans les multiples légendes et récits mythologiques du monde entier. Cela nous induit à penser qu’il s’agit d’un processus historique réel qui a eu lieu sur toute la Terre. Les populations en ont gardé les traces dans leur mémoire collective, exprimées selon des représentations correspondant à leur niveau de compréhension et à leur cadre culturel de référence.
Les légendes racontent que l’humanité déchue, engagée dans l’erreur et irrémédiablement perdue, a été exterminée par des cataclysmes destructeurs qui ont balayé la Terre. Un nouveau monde a alors été reconstruit sur des bases saines. Mais l’humanité est retombée dans son erreur et a périclité à nouveau. Ce cycle de renaissance, épanouissement, déclin et mort s’est produit à plusieurs reprises, comme pour donner à l’humanité plusieurs chances de se racheter. Toujours soumise aux forces sombres et à la mise en sommeil des codes originels, elle peine à les reconstituer.
Nous vivons dans l’ère de l’ultime tentative de redressement de la civilisation décadente.
Les hindous l’appellent le kali-yuga, les aztèques le cinquième soleil, les hopis le quatrième monde, les algonquins le septième feu, etc.

C’est la fin de la période d’altération des codes.
Elle sera suivie d’un nouveau grand cycle de vie, complètement différent par ses objectifs et ses valeurs, basé sur la restauration de notre connexion divine. (voir en annexe Les grands cycles de l’humanité selon différentes traditions).
Le monde expérimental du libre-arbitre
Nous pouvons être étonnés par ces cycles répétés et nous interroger sur le sens de tout cela. Pourquoi cette dérive a-t-elle été permise?
Si nous sommes régis par des programmes de lumière supérieure, comment ces programmes ont-ils pu être faussés ou déconnectés?
Pourquoi la dérive a-t-elle fait partie des voies possibles pour l’humanité? Pourquoi les capacités et les fonctionnements d’un être humain ne lui assurent-ils pas d’être toujours à son optimum?
Cette interrogation fondamentale reste un grand mystère que les enseignements spirituels traditionnels se sont efforcés d’éclaircir. La réponse qui est habituellement donnée est qu’il s’agit d’un programme expérimental qui se déroule dans une partie de l’univers.
Chaque cycle de vie a pour raison d’être de mettre les êtres humains dans des conditions de vie qui leur permettent d’expérimenter leurs potentialités toujours plus loin. Ils développent des facettes particulières qui viennent augmenter le rayonnement et l’impact de leurs propres codes divins. Ce faisant, ils enrichissent les sphères divines supérieures, un peu comme les connaissances acquises par des explorateurs profitent à toute l’humanité.
Le cycle dans lequel l’humanité est plongée a pour objet d’expérimenter l’ombre et la lumière au travers de son libre arbitre.
Autrement dit, les hommes ont été chargés de la responsabilité de leur propre évolution spirituelle. Ils peuvent endosser les vertus les plus élevées comme les sentiments les plus noirs. Ce n’est pas un ou des dieux qui les incitent à cela, c’est le chemin qu’ils choisissent eux-mêmes. Pour manifester leurs qualités les plus hautes, ils doivent faire le choix conscient d’avancer dans l’intégration de la lumière divine et l’assumer pleinement. Cela implique un effort et de la persévérance.

En conséquence, nous faisons l’expérience quotidienne des polarités, appelées aussi dualités (la séparation et l’union, l’ignorance et la connaissance, l’effort et la détente, la souffrance et la libération). Nous en tirons des leçons de vie conscientes.
Les puranas hindous (textes fondateurs anciens) nous disent q
ue le cycle kali-yuga, malgré ses difficultés et ses vicissitudes, possède un avantage remarquable. Toute action produit des effets beaucoup plus rapides que dans n’importe quelle autre ère. De même qu’un sportif peut acquérir plus de force dans ses muscles s’il doit vaincre des résistances, de même un aspirant spirituel peut avancer très rapidement en triomphant des épreuves, à condition d’utiliser son libre arbitre pour faire les bons choix.

Notre corps de chair est l’outil merveilleux qui collabore pleinement à remplir cet objectif.
Il a la capacité d’enregistrer toutes nos expériences de vie bien au-delà des perceptions de notre conscience.
Par sa capacité à faire naitre des sensations, il nous indique ce qui favorable ou non à l’expression de notre Essence.
Au fur et à mesure que nous accumulons des expériences de vie, nous comprenons un peu plus ce qui nous ratatine et nous déprime et ce qui nous ouvre et nous donne de la joie.

La fin des temps sombres
Le cycle dans lequel nous sommes immergés est probablement la période la plus sombre que l’humanité ait eu à vivre.
Mais ne nous laissons pas décourager ou abattre par les difficultés et la perte de nos repères, car voici une nouvelle porteuse d’espoir: Nous sommes arrivés au terme de la période expérimentale.
Le cycle des vicissitudes, le septième feu, le cinquième soleil, le quatrième monde, s’achèvent. Nous entrons maintenant dans une phase où les énergies inférieures n’auront plus de place et où les énergies supérieures seront pleinement présentes.
Ce moment de grande transition est annoncé dans la plupart des traditions religieuses et spirituelles. C’est l’avènement d’une ère de lumière et de sagesse, qui apporte la pleine conscience que les êtres sont multidimensionnels.
Pour les hindous, c’est la venue du seigneur Maitreya. Les chrétiens, les juifs et les musulmans attendent la venue du Christ ou du Messie. Elle sera marquée par des phénomènes liés à une période transitoire qui est l’apocalypse. Ce terme ne signifie pas un temps de catastrophes – même si des catastrophes naturelles sont à prévoir.

Apocalypse signifie le temps des révélations.
Révélation de qui nous sommes vraiment au sein de l’univers. Révélation des faux pouvoirs qui ont recouvert la planète d’un voile d’obscurantisme et qui ont manigancé des stratégies mensongères.
Ce voile a eu son rôle pour établir les conditions expérimentales du jeu du libre-arbitre.
Ce rôle est terminé, les acteurs se révèlent. Mais beaucoup n’ont pas compris que la pièce est finie et qu’ils doivent abandonner ce rôle de méchant pour profiter pleinement de la nouvelle conscience.
Des signes annoncent ce renouveau. Dans la tradition des amérindiens lakotas, une prophétie dit que le commencement des temps nouveaux serait annoncé par la naissance d’un bébé bison blanc femelle, marquant le retour de la Femme Bison Blanc. Cette femme, un être de lumière venu des Pléiades, était apparue il y a 19 générations, habillée d’une robe de daim blanc, pour apporter un code moral et l’utilisation de la pipe sacrée aux Lakotas. Elle avait promis de revenir en un temps difficile.
Ce temps est venu. La naissance d’un bison blanc nommé Miracle s’est produite chez les Lakotas en 1995. Floyd Hand, un homme-médecine, a écrit dans le magazine américain Spin: Pour nous les Indiens, c’est comme le retour du Christ pour les blancs. D’autres bisons blancs sont nés : Prophétie,née en 2005 dans le centre algonquin Kanatha-Aki au Québec.

Des prophéties analogues sont racontées dans d’autres traditions.
Toutes annoncent que les anciens systèmes s’effondrent pour laisser place à une ère nouvelle fondée sur la paix, la fraternité, l’écoute, la compréhension et l’harmonie. Les conditions sont réunies pour construire une nouvelle humanité.
Nous voici arrivés à la fin de la période expérimentale cosmique où régnaient la séparation et les conflits. Les anciens systèmes qui en profitaient s’effondrent. L’unité, la paix et la splendeur reprennent leur place. Les codes divins d’origine sont en cours de restauration.

Mais il nous reste à répondre aux questions:
Sommes-nous seulement des observateurs passifs des transformations qui s’effectuent sur la Terre, dans notre propre corps et dans notre conscience?
Quelle est notre part de responsabilité dans la construction d’une nouvelle humanité?
Pouvons-nous y contribuer par une participation intentionnelle et active?
Disposons-nous de moyens pour accélérer et faciliter cette transition?
Quelle est la meilleure attitude à adopter pendant cette transition?
Les outils de la restauration des codesCréez vous-mêmes les conditions du renouveau sur Terre
De tout temps, même plongés dans l’obscurité la plus dense, les aspirants à la sagesse ont reçu des enseignements spirituels pour les aider à retrouver leur nature supérieure.
De nombreux instructeurs spirituels ont régulièrement diffusé des enseignements sur toute la Terre, afin de guider ces personnes. Elles ont ainsi eu la possibilité de sortir des limites emprisonnantes de leurs conditionnements et de restaurer leur nature adamique d’origine.
En Orient, en Occident, des hommes et des femmes ont étudié auprès de leurs maitres pour devenir des initiés.
Ils ont compris la racine de leurs souffrances. Ils ont appris à se libérer de leurs émotions négatives, de leurs fausses croyances et de leur charge karmique. Des outils spécifiques leur ont été donnés pour faire place à leur être intérieur. Parmi ceux-ci les techniques de l’auto-observation, de la méditation et de la prière du cœur ont une place prépondérante.
Moïse était l’un de ces instructeurs spirituels.
C’est pour remédier à la déchéance de la population qu’il tenta de lui enseigner les lois cosmiques en lui offrant les tables de la loi. Dix commandements, dix leçons sur les mondes de lumière, y étaient gravés dans la pi

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Réconcilier la Spiritualité et la Science

Réconcilier la Spiritualité et la Science

Il se pourrait bien que l’espèce globale que nous sommes soit au beau milieu d’une transition vers un état de conscience différent.
Ce dernier se caractériserait par des propriétés quantiques telles que la cohérence et le champ d’information non-local.
Un tel « champ de conscience » transformerait notre relation à autrui, à notre environnement, et élargirait notre réalité de perception. Cette évolution témoignerait de l’intégration d’un autre niveau : depuis des formes d’évolution biologique et socioculturelle vers une évolution neurogénétique.
Dans cet article, j’examine comment les dernières découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques ont démontré qu’une forme de conscience connectée et non-locale est fondée scientifiquement et physiquement.
Cela prouve que certains états spirituels et transcendantaux reposent sur des principes valables au sein du nouveau paradigme scientifique.
MOTS-CLES : biophysique, cohérence, communication, ADN, évolution, futur, intelligence du vivant, conscience quantique, science, spiritualité.
Il est vain de toujours regarder vers l’avenir sans ne jamais agir pour l’avenir. John Frederick Boyes, essayiste anglais (1811-1879)
L’être humain doit devenir ce qu’il se pense être. Rudolf Steiner
La pensée humaine a besoin d’un nouveau modèle incluant l’être humain et sa conscience au sein d’un univers énergétique et qui soit également compatible avec la science moderne et les enseignements spirituels.
Toutefois, ce besoin n’exige pas de notre part que nous rejetions le savoir accumulé jusqu’ici. Au contraire, il est question de travailler non seulement à partir de nos connaissances actuelles mais également de les élargir pour faciliter notre passage vers d’autres paradigmes de pensée en termes de conscience et de processus internes à l’être humain.
En cette ère d’avancées scientifiques et technologiques, nous pouvons compter sur des découvertes et des études toujours plus exhaustives pour changer notre mode de pensée. Il est possible que les sciences humaines s’intéressent prochainement à notre compréhension de la conscience et à l’intime connexion qui nous unit les uns aux autres et, plus généralement, à notre environnement énergétique.
ScienceSpiritualite12Récemment, la science a découvert que chacun d’entre nous « se promène » avec un ordinateur bioélectrique de 100 milliards de cellules, responsable du filtrage et de l’interprétation de ce que nous percevons et considérons comme notre « réalité ».
La presque totalité de ces 100 milliards de neurones était déjà présente le jour de notre naissance ; avec environ 250 000 neurones créés chaque minute tandis que notre corps prend forme dans l’utérus. Pourtant, ce « décodeur » extraordinaire a subi d’importantes modifications perceptives au cours de notre évolution. Si l’on compare les squelettes des hommes préhistoriques, on ne note aucun changement dans l’anatomie pendant au moins 100 000 ans.
En revanche, l’esprit humain, lui, a fait des bonds depuis les premières fresques rupestres. Cela montre que nous sommes passés d’une évolution biologique à culturelle puis neuroscientifique ; mais aussi que la suite requiert le développement de notre système nerveux et de notre conscience.
Ce tournant significatif exige à nouveau de stimuler un changement de conscience.
La prochaine étape consistera vraisemblablement à basculer vers une évolution neurogénétique. Cela sera nécessaire au dépassement de l’obstacle que nous rencontrons actuellement face au développement.
Les civilisations précédentes (connues et peut-être même bien inconnues) se sont effondrées une fois atteintes leurs limites en termes de ressources matérielles, sans avoir cultivé en parallèle la conscience humaine.
En temps de transition, il est fondamental qu’une « force d’énergie » consciente soit introduite dans le flot de la vie afin d’activer le prochain pic d’évolution. Sans une telle énergie, les systèmes matériels risquent de devenir incontrôlables (comme c’est le cas actuellement) et/ou de tomber en panne – ce qui pourrait bien arriver prochainement.
Cette « force d’énergie » doit servir de tremplin pour aider la civilisation humaine à activer de nouveaux modes de compréhension et de connaissance de soi, souvent évoqués par Maslow comme l’actualisation de soi.
Un activateur de ce type pourrait voir le jour, comme tend à démontrer cet article, des découvertes en neurosciences, en biologie et physique quantiques.
Je soutiens que les nouvelles recherches en physique quantique font la lumière sur les travaux relatifs à la conscience, l’esprit et le cerveau humains ainsi que notre système nerveux et matériel génétique (ADN). Ces recherches, sujets de cet article, donnent une vue d’ensemble sur la cohérence existant entre notre biologie, notre physiologie et un champ énergétique de conscience.
Nous pouvons en déduire que nous sommes au bord d’une possible évolution quantique de l’espèce humaine.
Il est également raisonnable de penser qu’il y a d’ores et déjà de nouvelles générations qui, en tant qu’agents de changement de l’évolution, présentent les symptômes desdites transformations. Comme pour tout passage évolutif, les prémisses d’une telle métamorphose sont déjà présentes au sein de l’espèce avant que le changement ne se généralise. Nous reviendrons plus tard sur ces spéculations.
Il est légitime de déclarer que notre civilisation globale se trouve désormais à un carrefour de développement en termes de ressources physiques et modes de pensée. Il est par conséquent impératif que nous orientions nos facultés de perception vers une potentielle transformation de l’évolution de la conscience. Ces dernières années, au moins chez les sociétés occidentales, la croissance s’est réalisée au détriment d’une évolution consciente.
C’est l’une des principales raisons des échecs culturels de ces temps fondamentaux ; il y a eu peu de préparation, de discussion et de recherche sur la façon dont l’humanité pourrait gérer, physiquement et mentalement, un changement important qui bouleverserait les systèmes de croyance religieuse et scientifique.
Cette ère matérialiste a tendance à reléguer les préoccupations spirituelles au rang de fantaisies. De la même manière, les personnes spirituelles considèrent souvent que la science n’est pas à même de nous guider vers le futur. Par conséquent, une grande quantité d’énergie a été investie dans la création d’un monde instable et radicalement divisé.
Cependant, une réconciliation entre scientifiques et humanistes (Les deux cultures de C.P. Snow) ; et une fusion des recherches et des énergies s’avèrent nécessaires pour encourager une compréhension progressive de la trajectoire évolutive de notre espèce.
Dans le pire des cas, nous pourrions faire face à un processus de dévolution. Quoi qu’il en soit, j’affirme que ce ne sera pas le cas. Cependant, une partie de notre dilemme réside dans notre aveuglement quant au fonctionnement de nos facultés mentales et perceptives.
ScienceSpiritualite13Le cerveau humain, en tant que regroupement de cellules nerveuses, se comporte comme un récepteur de fréquence à plusieurs couches. Dû à un conditionnement initial en début de vie, chaque récepteur est configuré pour capter une certaine fréquence d’onde.
Lorsque ces récepteurs s’accordent sur une forme d’ondes de fréquences spécifique, une réponse de « reconnaissance des formes » est envoyée au cerveau et interprétée en fonction des perceptions correspondant à cette fréquence.
En d’autres termes, le fait de « s’accorder » implique l’interception de formes de fréquence familières dans l’océan de fréquences qui nous entourent constamment. En s’accordant sur ces mêmes formes, encore et encore, nous renforçons une certaine image de la réalité. Nous nous accordons sans le savoir sur une forme de réalité consensuelle à partir de laquelle nous construisons constamment notre perception.
Les formes de fréquences « étrangères » sont souvent ignorées car elles ne tombent pas dans notre plage de réception.
La perception se crée donc de façon dynamique et continue, le cerveau balayant constamment les bandes de fréquences autour de nous. Cependant, si ce comportement de reconnaissance des formes n’évolue pas au fil du temps notre développement perceptif risque de stagner. Résultat : nous nous retrouvons piégés dans une certaine réalité.
C’est pourquoi le développement humain demande que nous changions plusieurs fois de paradigmes afin de faire évoluer nos schémas collectifs de perception et de pensée.
Autrement dit, notre développement repose sur des processus à la fois biologiques et psychiques. Selon Gopi Krishna, chercheur renommé dans le domaine de la conscience, la « maturation du système nerveux et du cerveau est un processus biologique, dépendant d’une foule de facteurs matériels et psychiques » (1999, 56).
Le point faible de ce processus réside dans notre habitude à ne percevoir que certaines formes et à ignorer les autres informations ou influences sensorielles. Egalement, l’espèce humaine n’a pas été collectivement informée des moyens à sa disposition pour passer d’une bande ou d’une forme de fréquences à une autre.
Ce savoir a été détenu par plusieurs traditions de sagesse (ex : chamanisme, écoles mystérieuses et occultes) mais gardé hors du domaine publique.
Au final, nous devenons figés et sectaires dans nos « croyances » sensorielles ; nous nous accrochons à une petite partie de la réalité, la percevant comme la totalité. Cependant, le cerveau humain et le système nerveux sont assez « agiles » pour basculer entre plusieurs formes de fréquences et interpréter des « réalités » au-delà du modèle consensuel.
Beaucoup d’écoles ésotériques considéraient que le genre humain était trop immature pour endurer une telle préparation, d’où le recours à des rituels d’initiation et des examens de passage strictes et rigoureux.
Cet embargo sur le « savoir-faire » a contribué à la domination de la science matérialiste ; au point d’apprendre à écarter toute expérience, ou pulsion, intuitive et subjective.
Cependant, il est aujourd’hui nécessaire pour évoluer que notre grande dépendance en termes de recherche de satisfaction matérielle soit compensée par une augmentation des travaux sur la conscience confirmant le rôle clé d’un « esprit commun ». A mon avis, la prochaine étape du développement humain sera de nature neurogénétique, ce qui d’après la terminologie actuelle correspond à une forme de conscience quantique.

COHÉRENCE QUANTIQUE, CONSCIENCE QUANTIQUE

ScienceSpiritualite7Le corps humain n’est autre qu’un flux constant de milliers d’interactions et processus biologiques et chimiques reliant entre eux les molécules, les cellules, les organes et les fluides à travers tout le cerveau, le corps et le système nerveux. Encore récemment, on pensait que ces innombrables interactions se produisaient suivant une séquence linéaire, passant l’information comme un coureur passe le relai à son coéquipier.
Cependant, les dernières avancées en biophysique et biologie quantiques suggèrent la présence d’un degré élevé de cohérence entre tous les systèmes vivants.
Grâce à des recherches scientifiques approfondies, on a découvert qu’une forme de cohérence quantique agissait au sein des systèmes biologiques vivants à travers ce que l’on appelle les excitations biologiques et l’émission de biophotons.
Cela signifie que l’énergie métabolique est stockée sous forme d’excitations électromagnétiques et électromécaniques. Ce sont ces mêmes excitations cohérentes qui sont tenues pour responsables de la génération et de la conservation d’ordre à grande distance via la transformation d’énergie et de signaux électromagnétiques très faibles.
Après presque vingt ans de recherches expérimentales, Fritz-Albert Popp a avancé l’hypothèse que les biophotons soient émis à partir d’un champ de cohérence électrodynamique au sein du système vivant (Popp et al. 1988).
En fait, cela signifie que chaque cellule vivante émet ou renvoie un champ biophotonique d’énergie cohérente.
Si chaque cellule émet ce champ alors le système vivant tout entier émet, par conséquent, un champ de résonance – un champ non-local et omniprésent.
Etant donné que c’est par le biais des biophotons que le Vivant communique, alors il y a communication presque instantanée tout le long. Et cela, déclare Popp, est la base d’une organisation biologique cohérente – appeléecohérence quantique.
Cette découverte a mené Popp à affirmer que la capacité à évoluer repose non pas sur une lutte agressive et une rivalité mais plutôt sur l’aptitude à communiquer et coopérer.
Dans ce sens, la capacité intégrée de l’espèce à évoluer n’est pas fondée sur l’individu mais sur les systèmes vivants qui sont inter-reliés au sein d’un tout cohérent :
Les systèmes vivants ne sont donc ni les sujets seuls, ni des objets isolés, mais à la fois sujets et objets au sein d’un univers de signification en communication réciproque… Tout comme les cellules d’un organisme assument différentes tâches pour l’ensemble, différentes populations détiennent des informations non seulement pour eux-mêmes mais également pour tous les autres organismes, élargissant la conscience de la totalité, tout en s’éveillant de plus en plus à cette conscience collective. (Ho and Popp 1989)
Le biophysicien Mae Wan Ho décrit comment l’organisme vivant, notamment le corps humain, est coordonné tout du long et reste « cohérent au-delà nos rêves les plus fous ».
Il s’avère que chaque partie de notre corps est « en communication avec le reste par le biais d’un milieu liquide cristallin, réactif, harmonisable et dynamique qui pénètre tout notre corps, depuis les organes et les tissus jusqu’à l’intérieur de chaque cellule » (Ho 1998, 82).
ScienceSpiritualite3Cela signifie que ce « milieu » dans notre corps est une sorte de cristal liquide, donc un transmetteur idéal pour la communication, la résonance et la cohérence.
Ces développements relativement récents en biophysique ont démontré que tous les organismes biologiques sont constitués d’un milieu à cristaux liquides. De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides (que certains appellent gel-cristal liquide) où les cellules sont impliquées dans une communication holographique instantanée via l’émission de biophotons (une source de lumière).
Cela implique que tous les organismes biologiques vivants émettent continuellement des rayonnements lumineux qui forment un champ de cohérence et de communication. Par ailleurs, les biophysiciens ont découvert que les organismes vivants sont pénétrés par des formes d’ondes quantiques. Ho nous apprend que :
… le corps visible se trouve être juste à l’endroit où la fonction d’onde de l’organisme est la plus dense. Des ondes quantiques invisibles se déploient à partir de chacun d’entre nous et pénètrent tous les autres organismes.
Par conséquent, chacun reçoit simultanément les ondes de tous les autres organismes, qui se fondent avec sa propre composition…
Nous participons donc au théâtre de la création, en permanente représentation. Nous sommes constamment en co-création et en re-création, nous-mêmes et les autres organismes de l’univers… (Ho 1998, 116)
Cette information incroyable place en réalité chaque être vivant au sein d’un champ quantique non-local composé d’interférences d’ondes (où les corps s’emmêlent). Chez les systèmes vivants, c’est également la structure à cristaux liquides qui génère le champ électromagnétique de courant continu (C.C.) traversant le corps de tous les animaux.
Il a également été remarqué que ce champ de courant continu possède un mode de semi-conduction bien plus rapide que le système nerveux (Becker 1988). Si les systèmes biologiques vivants agissent au sein d’un champ d’intrication non-local d’énergie de résonance, alors peut-être est-il possible d’en voir la manifestation dans le comportement physique ?
Mae-Wan Ho décrit en quoi les excitations cohérentes de chaque système vivant fonctionnent de la même manière qu’une régate : les rameurs doivent avancer par étape afin de créer une « phase de transition ».
Cela indique qu’il y a une tendance inhérente dans la nature, et dans les systèmes vivants, à résonner ensemble (« en synchronisation ») de façon à maintenir l’ordre et la cohérence.
Ce type de comportement sert à appuyer la relation entre l’individu et le collectif qui auparavant été considérée comme aléatoire.
Cette découverte est importante car elle confère une certaine crédibilité au paradigme naissant d’un « cerveau planétaire » et d’une hausse de l’empathie planétaire.
Ervin Laslo, philosophe à système, définit l’intelligence collective comme étant:
« le réseau de traitement d’information et d’énergie quasi neuronales créé par les 7 milliards et demi d’humains sur la planète. Ces derniers interagissent de bien des façons, publiques ou privées ; à bien des niveaux, locaux et mondiaux » (Laszlo 2008 : intro).
Toujours au niveau physique, un bon nombre d’informations s’échangent déjà de plus en plus rapidement. Les principaux réseaux sociaux (tels que Facebook et MySpace) favorisent également l’empathie à distance entre les utilisateurs dans le monde entier.
Dans ce cadre, une transformation des relations entre un nombre important de personnes dans le monde est déjà en cours. La science exacte va encore plus loin et avance que non seulement les relations empathiques mais également l’intrication augmentent entre les individus. Cette vision a récemment été corroborée par les neurosciences et la découverte des « neurones miroirs ».
Un « neurone miroir » est activé lorsqu’un être vivant (humains et animaux comme les primates et les mammifères) observe l’action d’autrui.
Autrement dit, si un individu en regarde un autre manger une pomme, alors les mêmes neurones seront activés chez l’observateur ; tout comme s’il exécutait lui-même l’action. Ce comportement neuronal a été observé chez l’Homme dans les cortex pariétal inférieur et prémoteur. Le phénomène des « neurones miroir » a premièrement été découvert par une équipe de chercheurs en Italie dans les années 1990 alors qu’ils étudiaient l’activité neuronale chez les macaques. Cela a conduit beaucoup de neuroscientifiques renommés à déclarer que les neurones miroirs jouent un rôle clé dans le processus d’apprentissage (imitation) comme d’acquisition du langage.
Pour vulgariser, nous pourrions dire que cette capacité est ce qui lie une personne de façon sympathique et empathique aux circonstances d’une autre personne. Cela pourrait également expliquer pourquoi les gens deviennent si sensibles en voyant les événements diffusés à la télévision, et se mettent même à pleurer en réponse à une scène de larmes.
C’est de cette façon que nous sommes émotionnellement pris par l’effet miroir de l’activation neuronale.
Si nous considérons que nos corps sont intriqués dans un champ de biophotons électriques à résonance quantique, on peut expliquer comment nous sommes atteints par les autres – via une interférence ou une perturbation du champ.
Cette information est de taille lorsque l’on envisage d’accroître l’empathie entre des personnes à distance (via les communications numériques) ainsi que le potentiel d’activation des futures aptitudes pour la communication télépathique.
ScienceSpiritualite5Les neurosciences, la biologie et la physique quantiques sont toutes en train de converger et de révéler que nos corps ne sont pas uniquement des systèmes biochimiques mais également un système de résonance quantique sophistiqué.
Cela nous aide à comprendre comment le corps peut être efficacement cohérent, et explique ce sentiment « d’attraction » vers les autres, notamment les expressions : « bonnes vibrations », « bonnes énergies » et « être sur la même longueur d’onde ».
Nos corps donc, tout comme nos cerveaux, s’avèrent fonctionner comme des récepteurs/décodeurs au sein d’un champ énergétique d’afflux d’informations.
Cela justifie comment le corps humain est capable de stocker une vie entière de souvenirs et d’expériences ; étant donné la quantité de données pouvant être emmagasinée dans ce champ informationnel qui inclut le cerveau et le corps tout entier. Cette compréhension nouvelle du champ informationnel quantique chez l’Homme donne également une certaine crédibilité à l’existence des perceptions extra-sensorielles (PES) et des capacités qui en découlent.
La conscience humaine ne se résume pas à de l’empathie, à une relation d’interférences avec d’autres champs de l’esprit ; elle émet et reçoit constamment de l’information. Pourtant, la science matérialiste de nos jours s’est principalement concentrée, jusqu’à récemment, sur les preuves matérielles « solides » et se débat toujours avec les subtilités de la mécanique quantique.
Comme Niels Bohr l’a très bien remarqué : « Si la mécanique quantique ne vous a pas profondément choqué, c’est que vous ne l’avez pas encore saisie ».
Le « doux » royaume abstrait des visions et du sens de l’imagination sont généralement laissés aux artistes marginaux, aux mystiques, aux créateurs et autres inventeurs fous.
La plupart de nos esprits modernes ont été privés du plein fonctionnement de leur cerveau gauche-droite et ont été limités à l’hémisphère gauche (rationnel) qui fonctionne sur un mode mécanique, linéaire, compétitif et restreint. Grosso modo, le cerveau droit (abstrait) et son monde magique de pensées visionnaires et créatrices a été mis à part et laissé pour compte (McGilchrist 2009).
La principale activité de l’hémisphère droit était source de sagesse pour les indigènes, dans les pratiques chamaniques ou autres traditions similaires.
La pensée occidentale et matérialiste a voulu l’occulter depuis tout ce temps. D’ailleurs, notre propre conditionnement intellectuel nous pousse bien souvent à juger ces « pratiques magiques » de primitives, barbares et d’à peine dignes de rééducation et/ou de colonialisme occidental.
Pourtant, ceux d’entre nous résidant dans l’Ouest « civilisé », avec un hémisphère gauche dominant, évoluent quotidiennement dans un monde de biens matériels et d’attractions extérieures. On nous prône une existence en tant que forces séparées, comme des îles dans une mer déchainée, à la merci d’influences naturelles et physiques ; soumises au hasard. Or, nous savons désormais que ce n’est pas le cas.
Pour résumer, la biologie quantique a démontré que le corps jouit d’un niveau incroyable de cohérence et qu’un champ de conscience existe via l’ADN humain, et partant, le système nerveux.
Notre structure biochimique est la rencontre d’énergies complètement intriquées qui se comportent comme un champ non-local à l’intérieur et à l’extérieur du corps humain.
De plus, l’ADN est une structure en réseau à cristaux liquides qui émet des biophotons, sources de lumière. Cela nous amène vers une nouvelle considération de l’ADN en tant que générateur de champ quantique.

HYPER-COMMUNICATION ET CHAMP QUANTIQUE

EtatQuantiqueA la lumière de ces dernières découvertes, nous pouvons commencer à parler de l’ADN comme l’ADN quantique.
Cela suggère que les 97 % de l’ADN humain qui n’interviennent pas dans la construction de protéines sont actifs au niveau quantique. Il est tout à fait possible qu’une manifestation future de la conscience quantique se fasse par l’activation partielle de ces 97 % de l’ADN dont la fonction a jusqu’ici dérouté tous les scientifiques.
Cette activation serait liée à l’état de la conscience humaine ; elle serait restée en veille au vu de son manque de préparation pour sa manifestation.
Ce champ de « force vitale » peut s’apparenter à « l’énergie pranique » omniprésente qui, selon Gopi Krishna, constitue le tremplin vers la croissance de l’évolution au sein du système nerveux humain :
Une opportunité omniprésente en tout être humain, en raison du processus évolutif toujours en cours, qui cherche à créer une disposition du cerveau et du système nerveux qui permette à chacun de transcender les barrières de l’esprit et d’atteindre un état de conscience bien au-delà de celui normalement hérité par l’humanité aujourd’hui. (1997, 226)
Cette étape de conscience transcendantale qui est décrite ci-dessus comme faisant partie de notre héritage évolutif naturel dépend du cerveau et du système nerveux humains.
Nous savons désormais que le champ quantique de l’ADN est actif au sein de notre corps. Certains biophysiciens parlent déjà du processus quantique comme d’un possible dénominateur commun pour tous les processus vivants.
En soi, un champ d’information quantique émis par le corps humain déterminerait la cohérence de notre résonance lumineuse (biophotons) en tant que taux vibratoire.
Si la conscience humaine amorce une modification de son taux vibratoire, en réaction aux diverses influences extérieures (cosmiques, environnementales, culturelles), alors il est vraisemblable que l’ADN – en tant que champ quantique – subisse également une modification de sa résonance.
Cela pourrait se traduire par l’activation de capacités, à ce jour inactives, contenues dans les 97 % dits inactifs de l’ADN.
Cela peut être lié (ou pas) à l’intensification des fréquences électromagnétiques influençant notre système solaire dû à la précession des équinoxes. Il s’avère également que cette partie « inactive » de notre ADN pourrait permettre une forme d’hyper-communication.
Le biophysicien et biologiste moléculaire russe Pjotr Garjajev, qui a étudié l’ADN humain avec son équipe de chercheurs à Moscou, a trouvé que les 97 % « inactifs » de l’ADN détiendraient des propriétés complexes.
Garjajev a découvert que l’ADN qui n’est pas utilisé pour la synthèse des protéines sert en réalité à la communication ; ou plus exactement à l’hyper-communication.
Selon lui, l’hyper-communication désigne l’échange de données au niveau de l’ADN via le code génétique. Garjajev et son équipe ont conclu d’après l’analyse de la réponse vibratoire de l’ADN qu’il fonctionnerait comme uneintelligence en réseau ; et qu’il permettrait l’hyper-communication d’informations entre tous les êtres sensibles.
Par exemple, le groupe de recherche de Moscou a prouvé que des chromosomes endommagés (par les rayons x) peuvent être réparés. Leur méthode consistait en la capture des schémas informatifs de l’ADN puis en la transmission de ces mêmes schémas, par modulation des fréquences lumineuses, sur un autre génome afin de reprogrammer les cellules.
C’est ainsi qu’ils ont réussi à transformer des embryons de grenouille en embryons de salamandre simplement en transmettant les schémas d’information de l’ADN. Les travaux de Garjajev montrent que certaines formes de fréquence peuvent être projetées (comme pour un faisceau laser) afin de transmettre l’information génétique, prouvant ainsi comment l’ADN agit via les fréquences vibratoires et la résonance.
Cela signale également que l’ADN humain peut être modifié, ou altéré, par l’impact de fréquences extérieures. Les résultats de ces recherches tendent à prouver l’existence de phénomènes tels que la guérison à distance et autres aptitudes psychiques. Elles suggèrent aussi que l’ADN est un « langage » dynamique, fluide et vivant qui, en tant que champ informationnel quantique, est réceptif aux ondes laser (comme dans l’expérience mentionnée ci-dessus) mais également au son et aux ondes électromagnétiques (EM) – pourvu que les bonnes fréquences sont appliquées.
Le fait que l’ADN humain soit influençable et modifiable par fréquence (son, lumière, langage et pensée) est probablement connu depuis des siècles par les maîtres, les mystiques et les traditions spirituelles.
C’est peut être la raison pour laquelle une quantité d’exercices se fondent sur la concentration de la pensée (prière), les sons (musique, chants), la lumière (exposition à la lumière naturelle ou artificielle comme les verres teintés) et le langage/parole (récitations de mantras ou zikrs). L’ADN s’avère procéder non seulement comme un constructeur de protéines (fonction minoritaire) mais également comme un milieu de stockage, de réception et de communication d’informations.
Le fait que Garjajev et ses collègues russes aient également trouvé des exemples où l’ADN pourrait avoir un comportement perturbateur sous vide – résultant en la production de ce qui semble être des trous de vers magnétisés – est quelque peu plus controversé. Ces trous de vers se sont avérés fonctionner comme des connexions en dehors de nos champs spatio-temporels habituels (ce qui sous-entend une communication inter-dimensionnelle).
Ce phénomène mérite en effet des analyses et des expérimentations plus poussées. Quoi qu’il en soit, il semble possible que l’ADN soit impliqué dans plusieurs formes d’hyper-communication desquelles nous ne savons que très peu de choses présentement.
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Afin d’appuyer les propos de Garjajev quant à l’hyper-communication, nous pouvons observer comment des principes similaires sont présents dans la nature.
Par exemple, l’organisation d’une fourmilière se fait selon une forme de communication répartie. Lorsque la reine est séparée de sa colonie, les ouvrières continuent de construire conformément à un certain type de patron. Mais si la reine meurt, alors tout le travail de la colonie cesse comme si le patron avait soudainement été supprimé. Cela sous-entend que la reine n’a pas besoin d’être physiquement présente pour la poursuite des opérations. En revanche, elle doit être en vie sinon la conscience du groupe disparait du champ informationnel d’hyper-communication.
Nous pouvons donc nous référer à ces formes d’hyper-communication comme à un champ de conscience quantique, ou tout simplement, à la conscience quantique (étant donné que « quantique » implique la notion de champ non-local).
De la même manière, des phénomènes à distance tels que la guérison, la détection ou la télépathie peuvent fonctionner selon le même principe.
Pour simplifier, nous pourrions dire que beaucoup d’entre nous l’ont ressenti sous la forme d’intuition et d’éclair d’inspiration. Nous pourrions même recevoir ces formes d’hyper-communication pendant notre sommeil. Il existe une quantité innombrable de personnes, d’artistes ou de concepteurs… qui ont été inspirés en rêve. Nous pouvons citer en exemple le compositeur italien Giuseppe Tartini qui a rêvé qu’un diable s’asseyait à son chevet pour lui jouer un air de violon. Le lendemain matin, Tartini écrivait la pièce de mémoire et l’intitulait La sonate des trilles du diable.
Ces expériences ont tendance à se généraliser ; à moins que ce ne soit parce que les personnes se sentent davantage prêtes à en parler.
Aussi, certains signes indiquent que la nouvelle génération manifeste une forme plus élevée de clairvoyance et de dons extra-sensoriels.
Cette sensibilité pourrait indiquer qu’une forme plus élevée de conscience collective soit en train d’émerger au sein de l’humanité ; et que ces capacités trouvent désormais plus d’occasions de s’exprimer.
A cet égard, nous ferions bien de revenir aux pratiques recommandées depuis des siècles par les maîtres et les traditions spirituels : méditation, réflexion, observation, attention, etc. Einstein était connu pour avoir la tête « dans les nuages » et il a souvent déclaré que sa plus grande source d’inspiration lui venait lors de cet état de conscience.
Nous pourrions donc encourager une relation plus authentique avec l’humanité en portant notre attention sur notre état et en nous mettant en quête d’harmonie et d’équilibre dans nos vies.

ÉTATS QUANTIQUES ET CHAMP AKASHIQUE

ScienceSpiritualit16Les outils permettant d’améliorer les états dits intérieurs (ou “quantiques”) existent et font partie de beaucoup de traditions, que ce soit au sein des principales religions (christianisme, islam, judaïsme, sikhisme) ; ou des autres courants de sagesse tels que le bouddhisme, le taoïsme et les pratiques méditatives.
Sont également disponibles des documents écrits (livres, contes et poèmes) ayant pour but de stimuler l’activité de l’hémisphère droit. On peut citer le cas des histoires soufies (contes du Mulla Nasrudin) mais aussi d’histoires plus populaires telles que les contes des mille et une nuits et les poèmes de Jalalludin Rumi (classés parmi les meilleures ventes en Occident).
Nombre de ces traditions encouragent ainsi la méditation à plusieurs comme moyen d’encourager la conscience de groupe et la relation quantique. Il a été démontré que les méditants expérimentés peuvent atteindre un niveau très élevé de synchronisation interhémisphérique.
Pareillement, il a été prouvé que les personnes qui méditent ensemble synchronisent leur activité cérébrale. Grâce à un électroencéphalogramme (SPECT), on a pu observer cette synchronisation de l’activité des ondes cérébrales chez les participants.
Nous pouvons désormais avancer que ceci est le résultat de la résonance produite entre les différents champs quantiques, comme l’ont démontré les dernières recherches en biophysique.
Dans une certaine mesure, cela a été reproduit par la vaste gamme de matériel audio à technologie hémisphérique qui est désormais en vente sur le marché (à qualité variable). Ces stimulateurs déclenchent un état modifié de conscience (EMC) ; ce que certains médecins appellent une conscience transpersonnelle.
En ces états, des personnes ont éprouvé des connexions très profondes avec ce qui est généralement appelé la conscience collective. Le philosophe Ervin Laszlo nomme ce champ d’information collectif : champ akashique (2004).
Il est désormais raisonnable de supposer que ce bien nommé champ akashique non-local est en réalité une partie de notre champ de conscience quantique commun (nos champs se chevauchant).
Si tel est le cas, nous pouvons nous demander si l’ADN, qui émet des biophotons et dispose de propriétés inter-dimensionnelles, ne serait pas lui-même le siège de la conscience quantique.
La science moderne a bien longtemps considéré le cerveau humain comme étant le centre de la conscience ; mais cela reviendrait à la pensée matérialiste et linéaire que la conscience est le résultat de la matière complexe.
Le cerveau est en effet la formation neurologique la plus complexe que nous ayons ; elle consiste en un réseau très intriqué de synapses. Pourtant, il est bien plus probable que le cerveau fonctionne comme le récepteur et transcripteur des signaux électriques émis à partir de l’ADN quantique.
De cette façon, les trillions de sections de l’ADN humain agissent comme un champ quantique cohérent pour réguler chacune des parties de notre corps, simultanément et à chaque instant.
Le corps humain est donc un champ quantique qui résonne ; il renfermerait des propriétés inter-dimensionnelles et pourrait être le « dépositaire » de la conscience.
Notre réalité est donc le produit du travail de notre cerveau, qui transcrit les signaux en perceptions, mais c’est bien l’ADN qui est une intelligence vivante.
L’idée que l’ADN soit une intelligence vivante n’est pas nouvelle pour beaucoup de traditions de sagesse indigènes.
ScienceSpiritualite17Par exemple, comme l’anthropologue Jeremy Narby l’a remarqué, les chamanes qui vivent des états de transe semblent souvent entrer en communication avec l’ADN comme moyen d’acquérir des connaissances sur les plantes, la guérison et le monde des esprits (Narby 1999).
Par conséquent, Narby a exploré comment la Nature est également imprégnée de cette forme d’intelligence vivante, qui agit comme modèle de survie pour permettre la croissance de l’évolution (Narby 2006).
Des chamanes, des personnes intuitives et d’autres personnes capables d’accéder à cette intelligence vivante perçoivent un « modèle » ou un patron derrière toutes les structures physiques, ce qui indique qu’un champ quantique d’intelligence vivante agit comme un tremplin évolutif pour tous les systèmes vivants.
Nous pouvons donc supposer que l’ADN humain, agissant comme champ d’énergie quantique, est aussi vraisemblablement le siège de la conscience humaine.
De plus, nous pouvons dire que ce champ de conscience est exactement la même chose que le champ akashique.
Aussi, de récentes recherches suggèrent que l’ADN réagit à certaines influences externes telles que celles suscitées par la prière, la méditation et des sons ou des vibrations spécifiques. Cela offre des possibilités surprenantes quant à notre bien-être et à l’évolution de l’Homme, pourvu que nous nous montrions capables d’une certaine forme de communication avec notre propre intelligence vivante (notre « Moi supérieur » ?).
Nous aurions même le potentiel d’interagir avec notre propre structure cellulaire en focalisant son esprit et en définissant clairement ses intentions.
Cela aurait de profondes répercussions et suggérerait même que l’humanité ait l’opportunité d’entrer en relation – via la conscience quantique – avec son propre ADN et dessein de vie.
Par ailleurs, si la résonance et les vibrations de conscience quantique peuvent se transmettre d’une génération à l’autre, alors il se pourrait que les nouvelles générations présentent des schémas de conscience différents.
Cela pourrait constituer les signes avant-coureurs de l’évolution neurogénétique de l’humanité. Ces nouvelles générations seront les « agents de l’évolution » qui ouvriront la voie de la renaissance et du renouveau socioculturel.

LES AGENTS DE L’ÉVOLUTION – PROCHAIN SAUT QUANTIQUE ?

ScienceSpiritualite8La conscience quantique (intelligence du vivant) pourrait bien correspondre au prochain stade de l’évolution de l’humanité ; c’est-à-dire, l’évolution de l’esprit planétaire de l’humanité.
Bon nombre de mystiques et de spécialistes de la conscience y ont fait allusion sous plusieurs noms : allant de conscience cosmique ou super conscience, jusqu’à conscience transpersonnelle ou encore conscience intégrale…
Toutes ces dénominations ont un point commun, à savoir : une amplification de l’intuition, de l’empathie et une meilleure connexion avec le monde et les autres ; mais également un sentiment de « savoir » ce que chaque situation exige.
De plus, une telle forme de conscience quantique pourrait bien insuffler à chacun le sens du Grand Tout cosmique : la compréhension que l’humanité existe et évolue au sein d’un univers intelligent rempli de signification (peut-être même inter-dimensionnel).
Cela participerait à donner un élan spirituel plus profond et mieux accepté au sein de l’humanité.
Nous pouvons supposer qu’un basculement des forces géomagnétiques de la Terre (comme c’est déjà le cas) ; la variation des rayonnements entre chaque cycle solaire ; les pulsations galactiques émanant du centre de la galaxie ; le passage de notre système solaire par une partie plus « énergisée » de l’espace interstellaire ; pourraient – tous à leur façon – se traduire par des formes d’onde (vibrations) accrues pénétrant le champ quantique de l’ADN et facilitant un changement de la conscience humaine.
Le pont menant à un nouveau degré d’intelligence vivante est par essence un passage vibratoire. Si ce dernier a le potentiel d’activer la conscience quantique, cela pourrait accroitre les facultés intuitives et les phénomènes extra-sensoriels devenant alors non seulement une partie importante de nos vies mais ouvrant également les portes d’une plus grande créativité et des capacités inventives servant les futurs de l’Homme.
L’émergence de ces attributs chez une masse critique pourrait déterminer le prochain « saut quantique ».
Les signes de ces nouvelles formes de conscience commencent à se manifester dans le monde, mais pour l’instant ils ne font pas l’objet de la recherche générale. De tels agents « mutationnels » de l’évolution regroupent des visionnaires, des mystiques, des artistes, des médiums, des personnes intuitives, des maîtres spirituels et ceux qui ont été nommés « enfants indigo » (Atwater 2005).
Ces enfants (appelés « indigo » pour la couleur présumée de leur aura) sont décrits comme possédant une empathie, une créativité, une curiosité et une volonté accrues. Ils sont également censés être davantage enclin à la spiritualité dès leur plus jeune âge ; et avoir de fortes capacités intuitives.
Du fait de leur résistance naturelle à l’autorité, ils sont considérés par le scolaire conventionnel comme étant perturbés, rebelles ou exclus.
ScienceSpiritualite18Pourtant, ce n’est là rien de nouveau : au cours de l’histoire, les acteurs sociaux ont eux aussi ressenti l’appel – et eu l’intuition – de résister à l’autorité et d’instaurer le changement (Billington 1998).
Beaucoup d’individus ayant pris conscience du besoin de semer la graine de l’évolution dans la vie sociale ont été pris par les événements révolutionnaires et/ou impliqués dans les bouleversements socioculturels. Krishna remarque que ces élans évolutionnaires ont germé à partir de cette graine.
Je peux affirmer en toute confiance que les progrès réalisés par l’Homme dans tous les domaines – depuis le stade sous-humain jusqu’à l’actuel – sont bien moins dus à ses propres faits qu’à l’activité des forces évolutionnaires en lui. Chaque inspiration d’invention, de découverte et d’œuvre d’art ; chaque création d’organisations politiques et sociales provient invariablement de l’intérieur, d’entre les profondeurs de sa conscience et par la grâce … d’une force évolutionnaire super intelligente chez l’être humain (1993, 166).
Ces élans témoignent des efforts, tentatives ou mouvements sociaux participant à fertiliser le “sol mental” afin qu’une nouvelle conscience puisse lentement s’enraciner et croître. En effet, les forces sociales, culturelles et matérielles mettent généralement un certain temps à répondre au besoin d’un paradigme de conscience évolutif.
Nous pouvons dire que pour une croissance continue de l’espèce et de la culture, certaines périodes de l’Histoire s’avèrent plus favorables : lorsque l’humanité est prête, voire aspire, à une activation des facultés et/ou des caractéristiques évolutionnaires.
Il se peut que, en cette période culturelle fondamentale, l’humanité s’adapte d’elle-même ou qu’elle soit forcée de développer des aspects de conscience plus créatifs et inspirés.
Cette transition – une partie de ce que j’appelle l’évolution neurogénétique– mettra à mal beaucoup des structures sociales désormais obsolètes qui ont largement divisé la pensée humaine. Cependant, comme dans tout changement de paradigme, les vieilles énergies doivent inévitablement faire place aux nouvelles, et ce n’est qu’une question de temps avant que les nouvelles générations passent à une conscience évolutive et à ses manifestations.
Il est donc essentiel qu’une compréhension des questions spirituelles commence à transparaitre dans notre quotidien, et ce afin de contrebalancer le matérialisme social.
Dans les années à venir, il est important que nous essayions de développer une conscience qui soit réceptive aux influences spirituelles, tout en étant conscients et attentifs aux dernières avancées scientifiques. Il est impératif que nous redonnions vie à notre sens collectif du bien-être et du lien qui nous unit – notre intrication – en tant qu’élément de notre développement à tous.
Il est possible qu’un nouvel état de conscience quantique permette à l’humanité d’accéder à un champ d’information énergétique inimaginable. Cela ouvrirait donc de nouvelles perspectives d’intelligence créative et présagerait la suite sur le chemin de notre ascension.

CONCLUSION

ScienceSpiritualitePour résumer, l’humanité en tant qu’espèce globale pourrait être au milieu d’une transition vers un état de conscience différent.
Ce nouvel état pourrait vraisemblablement être caractérisé par des propriétés quantiques telles que la cohérence et les informations de champ non-local. Pour cette raison, j’ai qualifié ce nouvel état de champ de conscience quantique.
Ce champ de conscience transformera notre relation à autrui, au monde, et étendra nos réalités de perception.
Il pourrait aussi faire naître d’autres facultés, latentes jusqu’à présent, telles qu’une intuition, une télépathie et une pensée visionnaire accrues. Certaines de ces caractéristiques apparaissent déjà chez les nouvelles générations appelées « enfants indigo ». Ce développement évolutionnaire atteste d’une transition depuis des formes d’évolution biologiques et socioculturelles vers l’intégration d’un nouveau niveau : neurogénétique. Je soutiens que cette phase neurogénétique est essentielle pour permettre à l’humanité de grimper un nouvel échelon sur l’échelle de l’évolution.
Comme un penseur l’a récemment remarqué :
« nous vivons une période de changement où l’humanité se transforme. Notre conscience, au vaste potentiel de développement, doit vivre un lâcher-prise des vieilles structures limitatives, et marquer une rupture pour une expansion rapide… Nous avons besoin de comprendre les phénomènes en profondeur, et ne pas simplement accepter ce qu’on nous dit, ou ce qui nous est donné par le biais de circuits et d’institutions sociales bien structurés.
Nous devons apprendre à accepter que notre pensée est une grande force spirituelle et concrète pour instiguer le changement. (Gulbekian 2004, 251)
Si une personne n’était pas suffisamment préparée aux conséquences du changement alors cela pourrait causer déséquilibre et confusion.
La responsabilité personnelle veut que chaque personne recherche l’équilibre des énergies intérieures et extérieures ; et de renforcer son sens de connexion, d’empathie et de vision créative.
Les nouvelles découvertes en neuroscience, biologie et physique quantiques ont montré qu’une forme de conscience connectée non-locale a une base scientifique. Cela démontre que certaines expériences transcendantales ou spirituelles d’une unicité collective ont une base valide au sein d’un nouveau paradigme scientifique.
Nos futurs évolutionnaires n’ont pas à être divisés entre la science et les sciences humaines mais peuvent être – doivent être – une fusion créatrice et un partenariat collaboratif.
Traduction réalisée par Jennifer Dureau (contact :dureau.jennifer@gmail.com)

NOTES

1. Voir The Structure of Scientific Revolutions de Thomas Kuhn pour plus d’informations sur les changements de paradigme.
2. John von Neumann, mathématicien éminent, a calculé que lors d’une durée de vie moyenne de soixante-dix ans nous accumulons quelque 280 milliards de bits d’informations (Wiener 1961).
3. La précession des équinoxes (ou la Grande Année) se réfère au passage graduel de l’orientation de l’axe de rotation de la Terre, qui forme un cône dans un cycle d’environ 26 000 ans.
4. Pour plus d’informations, voir les travaux de Grazyna Fosar et Franz Bludorf.
5. Voir les nombreux rapports au sujet des “Enfants indigo” ou “nouveaux enfants” (Atwater 2003, 2005, Carroll and Tober 2004).
6. Voir le recueil de contes d’Idries Shah.

REFERENCES

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Atwater, P. M. H. 2005. Beyond the Indigo Children: The New Children and the Coming of the Fifth World. Rochester, VT Bear & Company.
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Maître

de Sagesse

Auteur Un-connu

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Si tu veux étancher ta soif, creuse ton terrain et tu trouveras la source car elle est en toi.

Creuse ton puits, ainsi tu auras toujours de l’eau partout où tu iras.

Le puits est en toi,

la source est en toi.

Cherche et tu trouveras le trésor qui t’enrichira.

N’oublie jamais que celui qui compte sur la richesse d’autrui est semblable à celui qui fait un beau rêve dans lequel il reçoit beaucoup d’argent, et qui constate au réveil que sa poche est vide. Le bien des autres est pour nous comme la fortune d’un rêve.

Cherche en toi et tu trouveras.


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