Les Codes dans les sons et la géométrie sacrée
Une vision nouvelle de l’évolution
Par Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques, Thérapeute psycho-corporel, Enseignant.
Résumé : Les corps énergétiques de l’être humain sont régis par des champs d’information qui englobent l’organisme. Ces champs transmettent des schémas directeurs inscrits dans des plans supérieurs de réalité, qui se manifestent sous
forme géométrique ou sonore. Mais ceux-ci ont été faussés par le passé. L’humanité est dans le processus délicat où elle retrouve ses codes d’origine. Cela ne va pas sans heurts et sans épreuves, qui sont autant d’incitations à retrouver de nouvelles formes de responsabilité et de
sagesse.
Observez le déroulement de votre vie. Observez comment vous avez évolué, comment vous avez gagné en expérience. Il semble que nous soyons programmés pour croitre, apprendre à subvenir à nos besoins, gagner en maturité émotionnelle, élever notre conscience, donner un sens à notre vie, même si parfois nous ne le percevons pas (voir article Le sens de la vie). Pendant ce temps, notre corps grandit lui-aussi, et assure son entretien. Lorsqu’il a été blessé, il se répare. Lorsqu’il ne reçoit pas suffisamment de soins, il nous le dit par
des douleurs et des maladies.
Si nous contemplons tous ces processus, ils paraissent merveilleux et d’une grande ingéniosité. Mais qu’est-ce qui est à l’origine de cette merveille? Qu’est-ce qui assure ce fonctionnement, maintient l’intégrité du corps et guide l’enfant vers la conscience de l’adulte avisé? Quelle est cette intelligence? De quelle nature est-elle?
Selon les scientifiques, l’intelligence qui gouverne notre corps s’identifie “simplement” au code génétique de l’ADN. Ce code piloterait tous les aspects de la vie.
Mais même si nous admettons la toute puissance de ce code génétique, comment, par qui ce code se serait-il établi ? N’est-ce pas retomber sur la même question de l’existence d’une intelligence ? Non, répondent les scientifiques. Ce sont les rencontres aléatoires et les phénomènes de sélection qui ont peu à peu laissé émerger des molécules d’ADN. Puis, selon les mêmes lois du hasard, ces molécules se seraient répliquées, auraient constitué des cellules, inventé les bactéries, puis les plantes et les animaux.
L’ADN aurait trouvé le moyen d’inscrire tous les bénéfices de ces nouvelles constructions en terme de code génétique. Et enfin, de ces rencontres hasardeuses, aurait émergé l’être humain, la conscience de soi, et l’impulsion à devenir plus fort et plus sage (voir les détails dans l’article Les origines de la vie).
Beaucoup de personnes ne peuvent se contenter d’une telle explication et ont le sentiment prégnant d’un plan, d’une intention, qui ne doit rien au hasard.
Cherchant une réponse à ce dilemme, elles se tournent vers les religions. Mais la seule réponse des religions est que tout a été créé par Dieu. Aucune description n’en est donné, aucune explication sur le phénomène de croissance et reproduction.
Pourquoi, si tout est créé par Dieu, les formes de vie ne seraient-elles pas immortelles et immuables?
Les enseignements religieux sont peut-être des images simplifiées données à l’humanité par le passé en fonction de ce qu’elle était capable de percevoir. De plus ces connaissances auraient été dégradées, on en aurait perdu le sens.
Mais les temps changent et l’humanité aussi. Nous avons abandonné l’idée que nous étions des éléments séparés les uns des autres. Nous avons intégré le fait que nous sommes des parties de systèmes qui fonctionnent de façon globale et que toute action d’un élément réagit sur l’ensemble de la communauté et de l’univers.
Nous disposons de nouvelles approches scientifiques en électromagnétisme avec la notion de champs qui remplissent l’espace, en thermodynamique avec sa théorie de l’ordre, en
physique quantique avec les particules corrélées (voir article Les fondements de la physique quantique), en informatique avec la notion de programmes, en télécommunications et transferts d’information, en astrophysique avec la vision de mondes en perpétuels mouvements.
En conséquence, il est grandement temps de restituer une interprétation du fonctionnement de la vie qui s’appuie sur ces connaissances scientifiques, mais aussi sur les textes anciens qui décrivaient ces fonctionnements avec leurs propres terminologies que nous pouvons relire avec une nouvelle conscience et une nouvelle compréhension.
Nous découvrons que la création est gouvernée par des lois complexes, une sorte de science supérieure qui procède par des codes d’information.
On peut en avoir une image rudimentaire en les comparant à des programmes informatiques qui seraient activés à certains moments adéquats. Mais contrairement à ceux-ci, les codes supérieurs de la création n’ont rien de rigide. Ce sont des codes vivants et divins.
Un survol des connaissances scientifiques et spirituelles à ce sujet va nous en convaincre.
Les champs d’information qui pilotent les organismes
Nous sommes conditionnés par nos enseignements scolaire, périscolaire et médiatique à considérer que notre corps fonctionne comme un récipient plein d’eau et de substances chimiques qui réagissent et s’auto-organisent en fonction des influences de l’environnement.
Les émotions et les pensées seraient aussi le fruit de ces réactions chimiques, par le biais des hormones. Bien que les découvertes scientifiques à ce sujet nous apportent des éléments intéressants, elles restent interprétées dans un cadre limité où le corps et l’esprit sont réduits à un jeu de molécules, donc de substance matérielle, qui se rencontrent et se transforment.
Pourtant, même dans le cadre de la physique classique, les physiciens savent depuis longtemps que les molécules sont constituées de particules électriques en mouvement, qui, selon les lois classiques de l’électromagnétisme, émettent
des champs électromagnétiques. Pour comprendre notre corps et notre développement, il est nécessaire de prendre ces champs en compte.
C’est ce qu’ont fait une lignée de chercheurs principalement allemands et russes(Gurwitsch, Kaznacheev, Gariaev, Inaba, Popp, et d’autres).
Ils ont mis en évidence l’existence d’un champ photonique qui baigne le corps des organismes vivants.
Un photon est une particule d’une onde électromagnétique, par exemple
une particule de lumière. Ils ont aussi déterminé que ce champ transporte des informations qui sont distribuées à l’ensemble des cellules.
En effet, pour se développer de façon contrôlée et non anarchique, les cellules doivent recevoir des instructions. Ainsi, au cours du processus de croissance de l’embryon dans l’utérus, les premières cellules issues de la fécondation se multiplient, puis elles se différencient en cellules de peau, d’œil, d’os ou de cœur.
Alors comment savent-elles à quel organe ou tissu elles appartiennent? Comment sont-elles averties qu’il est temps de cesser de se multiplier lorsque l’organe est complètement formé? Comment sont-elles synchronisées et coordonnées avec les autres cellules partout dans le corps?
La réponse se trouve dans le champ photonique.
Il véhicule les instructions qui doivent être délivrées aux cellules. La transmission est immédiate et simultanée pour l’ensemble des cellules concernées, car le champ a la propriété d’être un hologramme.
Le chercheur russe Peter Gariaev a montré que le code génétique des organismes n’est pas localisé sur la molécule d’ADN dans son aspect physique. Les codes sont inscrits dans le champ électromagnétique qui l’entoure et qui est en étroite association avec la molécule.
Il en a fait la preuve en réalisant l’expérience époustouflante de lire le code génétique électromagnétique d’un œuf de grenouille avec un rayon laser spécial et de le transmettre à un autre œuf, celui d’une salamandre. Les œufs de salamandre ont donné naissance à des grenouilles !!!
Bien que ce genre de résultats suscite des interrogations sur l’usage qui peut être fait de cette technologie, ils démontrent clairement que dans les organismes vivants et dans l’être humain en particulier, les codes directeurs de leur développement et de leur fonctionnement sont inscrits dans les champs électromagnétiques associés à l’ADN. Ces codes sont véhiculés par le champ biophotonique global de l’organisme.
Le champ électromagnétique qui pilote l’assemblage de l’ADN
Une autre preuve scientifique de la réalité de ces champs nous est fournie par les expériences du professeur Luc Montagnier sur l’ADN.
Au moment de la synthèse de l’ADN dans les cellules, les morceaux élémentaires de l’ADN, les bases azotées, s’assemblent les uns derrière les autres selon un plan précis. Cela se passe de la façon suivante: dans la molécule d’ADN, faite de 2 brins enroulés en hélice l’un autour de l’autre, les deux brins se séparent, et chacun d’eux devient le moule pour l’assemblage d’un autre brin.
Luc Montagnier a montré qu’il existe une autre façon de guider l’assemblage sans passer par le moule. La synthèse peut être pilotée par un champ d’information électromagnétique, qui est spécifique de l’ADN en question.
L. Montagnier est connu pour avoir découvert le virus responsable du SIDA en 1983. Il a reçu pour cela le prix Nobel de médecine en 2008. Dans ses nouvelles expériences sur les champs d’information, il a d’abord constaté que des cellules et des virus pouvaient dans certaines conditions émettre des signaux électromagnétiques. C’est ce qu’avait déjà conclu bien avant lui le professeur Jacques Benveniste (médecin et immunologiste français, 1935 – 2004), dont il a repris les techniques en les améliorant.
Avec son équipe, Montagnier a mesuré et enregistré les signaux électromagnétiques émis par l’ADN de cellules bactériennes ou de virus mis en solution. Les résultats montrent que les signaux sont présents pour des dilutions élevées des molécules d’ADN dans l’eau.
Puis, il a transféré le signal de l’ADN dans un second tube placé à côté du premier. Si dans le deuxième tube, il a auparavant ajouté les constituants de l’ADN selon un protocole adéquat, des molécules d’ADN sont reconstituées au bout de quelques heures, reproduisant à 98% l’ADN initial.
Dans cette expérience, le plan d’assemblage de l’ADN a été fourni par sa signature électromagnétique, sans qu’on ait fait appel à un moule moléculaire. Malgré l’absence de moule, les réactions chimiques ne se sont pas faites au hasard des rencontres. Elles ont été pilotées par des codes électromagnétiques. Dans ce cas, la théorie du hasard s’effondre.
Alors pourquoi ce qui est valable pour l’ADN ne serait-il pas à l’œuvre également dans d’autres réactions chimiques de la vie? Celles-ci pourraient être guidées par des informations codées inscrites dans des champs d’information.
Cela donnerait des perspectives nouvelles sur notre façon d’envisager les mécanismes chimiques de la vie, en particulier sur les scénarios d’apparition de la vie sur Terre (voir aussi Les origines de la vie).
Les champs d’information appartiennent à des niveaux supérieurs de réalité
Les codes directeurs de la synthèse de l’ADN appartiennent à la réalité des champs électromagnétiques, située à un niveau supérieur à celle des molécules organiques qu’ils pilotent.
Pour mieux comprendre le lien entre ces deux niveaux, comparons-le au lien existant entre les plans de construction d’une maison et la réalisation concrète de la maison.
Le plan de la maison constitue le schéma directeur de la construction. Sans l’existence de ce schéma abstrait qui les organise, les matériaux (briques, poutres, carrelage, fils électriques…) ne seraient qu’amoncelés. Le plan leur donne une structure et une hiérarchie interne. Le plan n’est pas seulement dessiné sur un papier, il transparait et vit dans la structure de la maison.
On peut aller plus loin dans cet exemple en observant qu’il y a toute une hiérarchie de plans superposés. Pour élaborer son plan, l’architecte l’affiche sur l’écran d’un ordinateur. Mais cette figure affichée sur l’écran a été calculée par l’ordinateur au moyen de programmes. Nous pouvons donc distinguer le niveau abstrait de ces programmes qui résident dans l’ordinateur, et le niveau plus concret, car perceptible par nos sens, de la manifestation sur l’écran.On a donc 3 niveaux: programmes, dessin, et maison réelle.
Ce n’est pas tout. Les programmes constituent un logiciel qui a été élaboré par un fabriquant en fonction de règles d’architecture précises qui s’appliquent à toutes les constructions. Le plan de la maison destinée à la famille F obéit à des principes valables pour toutes les maisons. Le sol est en bas et le toit en haut, par exemple, selon les lois de la gravité. Toutes les maisons ont des fenêtres qui laissent pénétrer la lumière. Le toit est étanche pour protéger de la pluie. Une porte permet les mouvements des habitants pour entrer et sortir, etc.
Ainsi, au-dessus du niveau du plan de la maison personnalisée se situe un ensemble de principes directeurs plus généraux, plus abstraits, de protection, lumière, mouvement, alimentation, hygiène, etc. Il existe donc plusieurs niveaux échelonnés selon une hiérarchie, dont le plus dense est la manifestation matérielle, la maison.
Il en est de même pour les corps de la nature, de l’univers et pour le corps humain. Ils sont la manifestation concrète de plans à des niveaux plus abstraits.
Le plan immédiatement supérieur se laisse deviner dans les trames géométriques et structurelles de ces corps.
Il reçoit lui-même les impulsions de niveaux supérieurs où sont inscrits les principes et les lois générales.
Ces principes sont les archétypes de la création.
Ils ne sont pas détectables par les appareils scientifiques ordinaires, mais plusieurs traditions décrivent ces archétypes et comment ils dirigent les manifestations matérielles dans les niveaux plus denses.
Selon la philosophie indienne du Samkhya, les manifestations matérielles ou effets réels préexistent sous forme de cause potentielle. La cause potentielle, nommée Purusha, est le principe premier du Samkhya. Elle n’est pas traduite directement dans la matière. Elle se différencie auparavant dans un niveau intermédiaire sous la forme de Prakriti. La prakriti contient les schémas directeurs sur lesquels se calque la matière. Ces schémas sont individualisés par leur mélange en proportions variables de 3 principes, les gunas. Les gunas sont en mouvement perpétuel, de sorte que les objets physiques qu’elles produisent sont en perpétuelle transformation.
L’idée de niveaux supérieurs où seraient déposés les principes directeurs du monde est aussi défendue par certains scientifiques. Dans son ouvrage Science, order and creativity en collaboration avec D. Peat, le physicien David Bohm (physicien étasunien, 1917 – 1992) introduit la notion d’opération créative de niveaux de réalité sous-jacents. Il énonce que des plans de création plus profonds détiennent le canevas de ce qui se passe dans le monde.
Le monde physique serait issu de ces niveaux subtils.
Les schémas directeurs donnent un sens à la création. Ils ne sont pas quelconques. Ils sont l’expression d’une intention. De même que la structure d’une maison exprime le style de vie de ses habitants et leur relation avec l’environnement, de même la trame directrice des créations de l’univers leur donne une orientation de vie spécifique, qu’elles soient un minéral, une plante, un humain, une planète ou une galaxie. C’est le principe de “vie” de cette forme (le mot principe signifie qui vient en premier).
Si nous revenons à l’ADN humain, les archétypes de l’être humain sont transmis par ses codes électromagnétiques à un premier niveau, qui eux-mêmes sont l’expression de codes de niveaux plus élevés. Nous allons explorer cette notion, en commençant par donner une vision plus imagée de ce que sont ces niveaux supérieurs. Certaines personnes clairvoyantes ont la faculté de voyager en conscience dans ces niveaux. Les récits de leurs rencontres avec ces réalités nous ouvrent de nouveaux espaces de compréhension.
Les pensées humaines ont des contreparties dans des plans supérieurs
Des clairvoyants rapportent que toute manifestation physique ou émotionnelle comporte une contrepartie dans des niveaux supérieurs, sous forme d’archétypes abstraits.
Certes, tout ce qu’ils rapportent n’est pas vérité absolue. Les mondes supérieurs sont multiples et nos visions médiumniques sont fréquemment en rapport avec nos états émotionnels. Toutefois, ceux qui ont dépassé les peurs et leurs besoins de pouvoir et de reconnaissance (il est donné à chacun d’entre nous d’évoluer vers cet état) peuvent pénétrer plus loin dans l’expérience en développant une vision spirituelle et rapporter des éléments forts intéressants sur les mondes supérieurs ou suprasensibles.
Voici par exemple ce qu’écrit le philosophe et visionnaire autrichien Rudolf Steiner (1861 – 1925) dans Théosophie (plusieurs éditions entre 1910 et 1922).
Le milieu où se trouve l’homme qui apprend à se servir de son œil spirituel lui apparait comme un monde nouveau rempli de pensées vivantes ou d’êtres spirituels. Dans ce monde on trouve en premier lieu les archétypes de tous les objets et de tous les êtres qui sont dans le monde physique et dans le monde psychique… Qu’on se représente l’œuvre d’un peintre telle qu’elle est présente dans son esprit avant qu’il la peigne, et l’on se fera une idée de ce que nous entendons ici par archétype. Peu importe qu’il ne la conçoive complètement qu’au fur et à mesure de sa réalisation. Dans le véritable “monde de l’esprit”, il existe de semblables archétypes de tous les objets; les êtres et les choses physiques ne sont que les répliques de ces originaux… Chaque archétype a la possibilité de revêtir d’innombrables formes particulières. Celles-ci jaillissent de lui en quelque sorte; et dès que l’une a été engendrée, l’archétype se met à en créer une nouvelle.
Steiner explique très clairement que les archétypes peuvent se manifester à la perception spirituelle sous forme d’images ou sous forme de sons :
Dès que le clairvoyant s’élève du monde des âmes à celui de l’esprit, les archétypes visibles deviennent en même temps sonores. Ce “son” dont il s’agit ici est un phénomène purement spirituel. L’observateur se sent baigné dans une mer de sonorités dans lesquelles s’expriment les entités du monde spirituel. Dans leurs consonances, harmonies, rythmes, mélodies, s’expriment les lois originelles de l’existence de ces entités, leurs rapports réciproques, leurs affinités. Tout ce que l’entendement humain perçoit sous forme de loi, d’idée, se révèle à l’ “oreille spirituelle” comme une musique spirituelle.
Les sons et les musiques existent à différents niveaux. À des niveaux élevés, ils sont transformés en langage spirituel.
Les Noms divins et les lettres sacrées y dévoilent leurs vibrations propres, sources de création dans les plans plus matériels.
Les géométries des corps subtils
Pour les clair-voyants, les archétypes des êtres humains sont perceptibles dans leurs corps subtils appelés aussi corps énergétiques.
Ces corps enveloppent le corps physique et s’y imbriquent. Ils sont trop subtils pour être détectés par les appareils scientifiques faits de matière dense, mais il est donné à chacun d’apprendre à les ressentir.
Les textes traditionnels des civilisations anciennes fournissent des renseignements détaillés à leur sujet, particulièrement les traditions védiques et hébraïques. Cette connaissance était répandue également à des degrés divers dans d’autres civilisations, par exemple la civilisation maya et même la tradition chrétienne des origines.
Ces circuits subtils constituent les armatures internes vivantes du corps humain. C’est dans la texture de ces réseaux que sont logés des
schémas géométriques complexes, qui contiennent les codes de création et de développement de l’être humain dans toutes ses dimensions: physiques, psychologiques, mentales et spirituelles.
Le caducée
Selon la tradition védique, le réseau énergétique du corps humain est charpenté par un canal central appelé la sushumna. Il traverse et relie les centres d’énergie (ou chakras) majeurs. La sushumna est accompagnée de deux autres canaux (pingala et ida) qui montent autour d’elle en s’enroulant en spirale (la Kundalini). À eux trois, ces canaux forment une figure caractéristique qui ressemble à un bâton sur lequel s’enroule deux serpents, qui était l’emblème du dieu Hermès.
Lorsque l’individu développe sa puissance spirituelle, l’énergie monte le long de la colonne vertébrale et s’épanouit au sommet de la tête en deux ailes.
Cette figure qui représente l’être couronné dans sa splendeur est le symbole connu sous le nom de caducée.
L’arbre de vie
L’arbre de vie a été décrit dans les traités kabbalistiques Hekhalot (traite de paix qui correspondant à plusieurs niveaux de conscience) des 5e et 6e siècles, issus du livre d’Ézéchiel. Sa géométrie est plus complexe que celle du caducée avec lequel il partage l’axe central. Il est constitué de 10 centres énergétiques nommés des séphiroth (au singulier séphira), de sorte qu’on le désigne aussi par arbre des séphiroth.
Les séphiroth sont reliées par 3 lignes verticales qui les regroupent en 3 colonnes ou piliers. Les deux piliers latéraux, représentant le Jugement et la Miséricorde, sont équilibrés par le pilier central représentant la Compassion. Les lignes horizontales regroupent les séphiroth en trois régions qui épousent les parties du corps humain (tête, thorax et bassin).
Bien que figuré graphiquement sur un plan frontal étalé en haut et en bas ainsi qu’à gauche et à droite, l’arbre se déploie aussi en volume devant et derrière.
L’Adam Kadmon
L’arbre de Vie contient le programme archétypal du plan d’existence de l’être humain et de son évolution spirituelle.
Le prototype de l’être humain est appelé l’Adam Kadmon, ou encore en hébreu Adam Ha-Ḳadmoni ou Adam Kadmon le-khol ha-kedumim, ce qui signifie être primordial, être originel. C’est l’être humain tel qu’il a été conçu par la divinité dans sa pureté d’origine.
Dans ses écrits visionnaires, l’abbesse bénédictine rhénane Hildegarde von Bingen (1098-1179) a décrit l’Adam Kadmon, qui est à la fois l’homme d’origine et aussi l’homme accompli en lien direct avec le divin. Les miniatures qui illustrent ses textes représentent cet homme imbriqué géométriquement dans des cercles et des rectangles.
L’enseignement concernant la signification de l’Adam Kadmon figure aussi dans un traité kabbalistique du 13e siècle, le Sod Yedi’at ha-Meẓi’ut.
L’Adam Kadmon y est figuré par une forme d’apparence humaine, structurée par l’arbre de vie. Le traité dit que le corps d’Adam Kadmon fut créé quand la lumière supérieure ou Ain-Soph émit un jet de lumière qui devint la série de sphères concentriques que sont les Sephiroth. Il était constitué à l’image et la similitude de Dieu.
Adam Kadmon représente la géométrie sacrée divine, fondatrice du corps de tous les hommes et de toutes les femmes.
Dans notre état de vie ordinaire, l’Adam Kadmon est atrophié, ratatiné, et réduit à l’état deAdam Ha Rishon (le premier homme). Il retrouve sa nature intégrale tel qu’il a été émané de l’Ain Soph quand l’arbre de vie est à nouveau pleinement actif et rayonnant comme résultat d’une intense évolution spirituelle.
La Merkabah
Selon les traités kabbalistes Hekhalot (L’œuvre du Char ou Ma’aseh Merkabah), l’arbre de vie arrivé à sa pleine maturation se transforme en un corps de lumière, la merkabah.
La merkabah se présente sous forme d’une géométrie de polyèdres étoilés, qui comporte des pointes en nombre variable. La géométrie la plus connue est le double tétraèdre composé d’un tétraèdre pointé vers le bas, lié à la Terre, au féminin, et d’un autre pointé vers le haut, lié au ciel et au masculin.
La présence de la
merkabah est la marque et le fruit de la réalisation spirituelle. Elle entoure, illumine et transforme l’âme de la personne. Par ce véhicule céleste, la personne accède à la Vérité et à la splendeur divine.
Programmes géométriques et sonores
Pour préciser comment des géométries peuvent être encodées dans des niveaux supérieurs, donnons l’image d’un téléviseur qui diffuse des images et des sons.
Ces images et ces sons sont encodés, souvent sous forme numérique, dans les ondes électromagnétiques reçues par le téléviseur.
Comprenons que les codes ne sont pas eux-mêmes de nature électromagnétique, l’onde n’est que la “substance” qui les porte.
Par exemple, si nous traçons un nom dans du sable avec des lettres, les lettres sont indépendantes du sable. Nous pourrions les lire de la même façon si elle étaient gravées dans du bois. Le sable ou le bois ne sont que le support qui les rend manifestes. De la même façon, les codes du téléviseur ne sont ni des images ni des sons, mais des signaux abstraits encodés dans l’onde. Ils se manifestent en images et sons lorsqu’ils sont décodés sur un niveau plus matériel.
Les codes directeurs humains fonctionnent selon le même principe. Ils existent de façon abstraite à des niveaux supérieurs et prennent l’aspect de géométrie dans les plans qui nous sont perceptibles.
De la même façon que des lettres peuvent apparaitre dans du sable, du bois, sur du papier ou en projections lumineuses, de même les codes abstraits humains peuvent tout aussi bien s’exprimer avec différents supports. Ce sont des géométries ou bien des sons.
Dans l’article Aspects géométriques et sonores de l’univers, nous avons montré comment les sons peuvent créer des formes. Sons et formes sont deux manifestations possibles de schémas qui sont codés de façon indifférenciée à des niveaux supérieurs.
Plus généralement, les plans supérieurs comportent plusieurs niveaux de différentiation. Au niveau le plus élevé, se trouvent les principes généraux, les lois universelles; dans les niveaux intermédiaires, les finalités et les impulsions; dans les niveaux les plus bas, proches de la manifestation physique, les archétypes des forces de vie, des émotions, des formes.
Les codes de notre développement sont inscrits dans les niveaux supérieurs de nos corps subtils, où ils agissent comme un programme potentiel.
Les différentes étapes de ce programme se manifestent au moment voulu.
Nous pourrions penser que nous sommes arrivés à la fin de notre étude. Pas du tout, car le plus important reste à venir. Une histoire théâtrale s’y greffe, et à cause de cette histoire, nous devons comprendre que la pleine réalisation de notre potentiel ne peut être activée qu’à la suite d’un travail spirituel personnel.
C’est notre histoire, celle de la perte et de la restauration de nos codes divins. Comprendre cette histoire, c’est comme allumer un phare dans les turbulences actuelles de l’humanité.
Histoire des codes divins de l’humanité La perte des codes d’origine
Pourquoi sommes-nous astreints à effectuer un travail spirituel important pour nous épanouir dans l’intégrité originelle de l’Adam Kadmon ?
Pourquoi n’en bénéficions-nous pas directement dès notre naissance ? Pourquoi vivons-nous à l’état de handicapé visuel à la recherche de lumière dans le brouillard ? Pourquoi sommes-nous astreints à passer par l’inconfort, la souffrance et l’ignorance ?
Le modèle originel de l’Adam Kadmon a été mis en veilleuse.
Depuis lors, l’être humain n’est plus la réplique de l’Adam Kadmon. Il est un Adam atrophié (Adam Ha Rishon).
Les séphiroth ont été partiellement désactivées et le potentiel de l’ADN a été réduit par une sorte de muselage. Comme une machine qui n’est plus alimentée, l’être humain ne bénéficie plus des énergies de paix et d’amour qui assuraient son intégrité.
Cet épisode est relaté dans de nombreux récits et légendes.
Dans la Bible, il est évoqué sous le nom de la Chute, du péché originel et d’Adam et Ève chassés du Paradis. Le péché est le fait de se détourner – de se priver – de refuser – la lumière supérieure. La motivation qui a entrainé les humains et leurs chefs à ce choix est la croyance naïve qu’ils avaient – et qu’ils ont encore – autant ou plus de pouvoir que la lumière supérieure, qu’ils peuvent s’en passer ou la remplacer par d’autres types d’énergie. Ce choix est donc la conséquence de l’ignorance et de l’orgueil.
La chute, la coupure avec la lumière, entrainent l’atténuation de cette lumière et l’infusion d’énergies sombres dans l’humanité. Pas seulement dans l’humanité au niveau physique. Elle affecte également les mondes subtils jusqu’à un certain niveau, ceux qu’on appelle les cieux inférieurs.
Au-dessus de ce niveau, les âmes évoluent dans la lumière pure et infinie et rétablissent leur intégrité.
En-dessous de ce niveau, les cieux sont habités par des consciences altérées (nommées les anges déchus). Les codes d’origine divine y sont faussés.
Mais les codes divins, ceux de l’Adam Kadmon, restent présents intacts au fond des âmes et dans les corps, comme un germe ou une étincelle à l’état latent. Ils sont simplement en attente d’être réactivés. Ils peuvent l’être à tout moment. Et d’ailleurs c’est déjà le cas. Le processus a été mis en route.
Les traditions et les enseignements spirituels affirment que dans un lointain passé, l’humanité s’est éloignée des lois cosmiques divines. À cause de leurs propres sentiments négatifs, les humains ont été pollués et dégradés dans leurs corps et leur âme par la loi de cause à effet, et non comme une punition de la part d’un dieu vengeur. Les maladies du corps, les maladies de l’âme, ont fait leur apparition. La vie a été écourtée.
Le récit de la perte de l’identité divine des hommes et de leur descente dans l’obscurité et la densité ne sont pas l’apanage de la Bible et du Coran, ni des traditions chrétienne, juive et islamique.
On le retrouve dans les multiples légendes et récits mythologiques du monde entier. Cela nous induit à penser qu’il s’agit d’un processus historique réel qui a eu lieu sur toute la Terre. Les populations en ont gardé les traces dans leur mémoire collective, exprimées selon des représentations correspondant à leur niveau de compréhension et à leur cadre culturel de référence.
Les légendes racontent que l’humanité déchue, engagée dans l’erreur et irrémédiablement perdue, a été exterminée par des cataclysmes destructeurs qui ont balayé la Terre. Un nouveau monde a alors été reconstruit sur des bases saines. Mais l’humanité est retombée dans son erreur et a périclité à nouveau. Ce cycle de renaissance, épanouissement, déclin et mort s’est produit à plusieurs reprises, comme pour donner à l’humanité plusieurs chances de se racheter. Toujours soumise aux forces sombres et à la mise en sommeil des codes originels, elle peine à les reconstituer.
Nous vivons dans l’ère de l’ultime tentative de redressement de la civilisation décadente.
Les hindous l’appellent le kali-yuga, les aztèques le cinquième soleil, les hopis le quatrième monde, les algonquins le septième feu, etc.
C’est la fin de la période d’altération des codes.
Elle sera suivie d’un nouveau grand cycle de vie, complètement différent par ses objectifs et ses valeurs, basé sur la restauration de notre connexion divine. (voir en annexe Les grands cycles de l’humanité selon différentes traditions).
Le monde expérimental du libre-arbitre
Nous pouvons être étonnés par ces cycles répétés et nous interroger sur le sens de tout cela. Pourquoi cette dérive a-t-elle été permise?
Si nous sommes régis par des programmes de lumière supérieure, comment ces programmes ont-ils pu être faussés ou déconnectés?
Pourquoi la dérive a-t-elle fait partie des voies possibles pour l’humanité? Pourquoi les capacités et les fonctionnements d’un être humain ne lui assurent-ils pas d’être toujours à son optimum?
Cette interrogation fondamentale reste un grand mystère que les enseignements spirituels traditionnels se sont efforcés d’éclaircir. La réponse qui est habituellement donnée est qu’il s’agit d’un programme expérimental qui se déroule dans une partie de l’univers.
Chaque cycle de vie a pour raison d’être de mettre les êtres humains dans des conditions de vie qui leur permettent d’expérimenter leurs potentialités toujours plus loin. Ils développent des facettes particulières qui viennent augmenter le rayonnement et l’impact de leurs propres codes divins. Ce faisant, ils enrichissent les sphères divines supérieures, un peu comme les connaissances acquises par des explorateurs profitent à toute l’humanité.
Le cycle dans lequel l’humanité est plongée a pour objet d’expérimenter l’ombre et la lumière au travers de son libre arbitre.
Autrement dit, les hommes ont été chargés de la responsabilité de leur propre évolution spirituelle. Ils peuvent endosser les vertus les plus élevées comme les sentiments les plus noirs. Ce n’est pas un ou des dieux qui les incitent à cela, c’est le chemin qu’ils choisissent eux-mêmes. Pour manifester leurs qualités les plus hautes, ils doivent faire le choix conscient d’avancer dans l’intégration de la lumière divine et l’assumer pleinement. Cela implique un effort et de la persévérance.
En conséquence, nous faisons l’expérience quotidienne des polarités, appelées aussi dualités (la séparation et l’union, l’ignorance et la connaissance, l’effort et la détente, la souffrance et la libération). Nous en tirons des leçons de vie conscientes.
Les puranas hindous (textes fondateurs anciens) nous disent q
ue le cycle kali-yuga, malgré ses difficultés et ses vicissitudes, possède un avantage remarquable. Toute action produit des effets beaucoup plus rapides que dans n’importe quelle autre ère. De même qu’un sportif peut acquérir plus de force dans ses muscles s’il doit vaincre des résistances, de même un aspirant spirituel peut avancer très rapidement en triomphant des épreuves, à condition d’utiliser son libre arbitre pour faire les bons choix.
Notre corps de chair est l’outil merveilleux qui collabore pleinement à remplir cet objectif.
Il a la capacité d’enregistrer toutes nos expériences de vie bien au-delà des perceptions de notre conscience.
Par sa capacité à faire naitre des sensations, il nous indique ce qui favorable ou non à l’expression de notre Essence.
Au fur et à mesure que nous accumulons des expériences de vie, nous comprenons un peu plus ce qui nous ratatine et nous déprime et ce qui nous ouvre et nous donne de la joie.
La fin des temps sombres
Le cycle dans lequel nous sommes immergés est probablement la période la plus sombre que l’humanité ait eu à vivre.
Mais ne nous laissons pas décourager ou abattre par les difficultés et la perte de nos repères, car voici une nouvelle porteuse d’espoir: Nous sommes arrivés au terme de la période expérimentale.
Le cycle des vicissitudes, le septième feu, le cinquième soleil, le quatrième monde, s’achèvent. Nous entrons maintenant dans une phase où les énergies inférieures n’auront plus de place et où les énergies supérieures seront pleinement présentes.
Ce moment de grande transition est annoncé dans la plupart des traditions religieuses et spirituelles. C’est l’avènement d’une ère de lumière et de sagesse, qui apporte la pleine conscience que les êtres sont multidimensionnels.
Pour les hindous, c’est la venue du seigneur Maitreya. Les chrétiens, les juifs et les musulmans attendent la venue du Christ ou du Messie. Elle sera marquée par des phénomènes liés à une période transitoire qui est l’apocalypse. Ce terme ne signifie pas un temps de catastrophes – même si des catastrophes naturelles sont à prévoir.
Apocalypse signifie le temps des révélations.
Révélation de qui nous sommes vraiment au sein de l’univers. Révélation des faux pouvoirs qui ont recouvert la planète d’un voile d’obscurantisme et qui ont manigancé des stratégies mensongères.
Ce voile a eu son rôle pour établir les conditions expérimentales du jeu du libre-arbitre.
Ce rôle est terminé, les acteurs se révèlent. Mais beaucoup n’ont pas compris que la pièce est finie et qu’ils doivent abandonner ce rôle de méchant pour profiter pleinement de la nouvelle conscience.
Des signes annoncent ce renouveau. Dans la tradition des amérindiens lakotas, une prophétie dit que le commencement des temps nouveaux serait annoncé par la naissance d’un bébé bison blanc femelle, marquant le retour de la Femme Bison Blanc. Cette femme, un être de lumière venu des Pléiades, était apparue il y a 19 générations, habillée d’une robe de daim blanc, pour apporter un code moral et l’utilisation de la pipe sacrée aux Lakotas. Elle avait promis de revenir en un temps difficile.
Ce temps est venu. La naissance d’un bison blanc nommé Miracle s’est produite chez les Lakotas en 1995. Floyd Hand, un homme-médecine, a écrit dans le magazine américain Spin: Pour nous les Indiens, c’est comme le retour du Christ pour les blancs. D’autres bisons blancs sont nés : Prophétie,née en 2005 dans le centre algonquin Kanatha-Aki au Québec.
Des prophéties analogues sont racontées dans d’autres traditions.
Toutes annoncent que les anciens systèmes s’effondrent pour laisser place à une ère nouvelle fondée sur la paix, la fraternité, l’écoute, la compréhension et l’harmonie. Les conditions sont réunies pour construire une nouvelle humanité.
Nous voici arrivés à la fin de la période expérimentale cosmique où régnaient la séparation et les conflits. Les anciens systèmes qui en profitaient s’effondrent. L’unité, la paix et la splendeur reprennent leur place. Les codes divins d’origine sont en cours de restauration.
Mais il nous reste à répondre aux questions:
Sommes-nous seulement des observateurs passifs des transformations qui s’effectuent sur la Terre, dans notre propre corps et dans notre conscience?
Quelle est notre part de responsabilité dans la construction d’une nouvelle humanité?
Pouvons-nous y contribuer par une participation intentionnelle et active?
Disposons-nous de moyens pour accélérer et faciliter cette transition?
Quelle est la meilleure attitude à adopter pendant cette transition?
Les outils de la restauration des codesCréez vous-mêmes les conditions du renouveau sur Terre
De tout temps, même plongés dans l’obscurité la plus dense, les aspirants à la sagesse ont reçu des enseignements spirituels pour les aider à retrouver leur nature supérieure.
De nombreux instructeurs spirituels ont régulièrement diffusé des enseignements sur toute la Terre, afin de guider ces personnes. Elles ont ainsi eu la possibilité de sortir des limites emprisonnantes de leurs conditionnements et de restaurer leur nature adamique d’origine.
En Orient, en Occident, des hommes et des femmes ont étudié auprès de leurs maitres pour devenir des initiés.
Ils ont compris la racine de leurs souffrances. Ils ont appris à se libérer de leurs émotions négatives, de leurs fausses croyances et de leur charge karmique. Des outils spécifiques leur ont été donnés pour faire place à leur être intérieur. Parmi ceux-ci les techniques de l’auto-observation, de la méditation et de la prière du cœur ont une place prépondérante.
Moïse était l’un de ces instructeurs spirituels.
C’est pour remédier à la déchéance de la population qu’il tenta de lui enseigner les lois cosmiques en lui offrant les tables de la loi.
Dix commandements, dix leçons sur les mondes de lumière, y étaient gravés dans la pi
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