L’Arbre de Vie de la Kabbale inclut un système avec les planètes.
Il est au cœur de la tradition ésotérique hébraïque mais il ne lui est pas propre et a été utilisé antérieurement par d’autres civilisations, notamment par les Chaldéens. Il aurait été donné par des Anges et peut être considéré comme une carte des différentes régions du monde invisible avec les 10 séphirot de Kéther à Malkout, plus Daath la séphira cachée, et les 22 sentiers qui les relient.
Négatif, sur le Pilier de gauche, ne veut pas dire mauvais mais féminin, polarisé vers la matière, tourné vers le passé. Positif, sur le pilier de droite, ne veut pas dire bon mais masculin, polarisé vers l’Esprit, tourné vers le futur.
L’axe de l’Arbre de Vie : Malkout, Iesod, Tiphéret, Daath et Kéther est le pilier central, celui de l’Equilibre, de l’instant présent, entre celui de la Rigueur (Hod, Gebourah, Binah) à gauche et celui de la Miséricorde (Netzach, Hesed, Hochmah) à droite. C’est le chemin le plus direct pour aller à Dieu.
Le chemin de Malkout à Tiphéret est celui qui mène à la lumière mentale sur le monde extérieur et à l’intégration du Soi. Pour y parvenir, il faut affronter, dans Iesod, un premier Gardien du Seuil, effrayant et hideux, qui est la résultante de tous les démons du plan astral, enfouis dans l’imaginaire, des désirs et sentiments impurs, que l’individu a générés dans cette vie et celles passées.
Puis pour accéder à Kéther en partant de Tiphéret, il faut traverser le miroir magique, Daath, désintégrer l’image du Soi, lâcher le mental pour se dissoudre en Dieu, affronter la mélancolie en acceptant de perdre ses points de repères, et un deuxième Gardien du Seuil qui est la résultante de tout le savoir accumulé durant toutes nos vies. Autant dire que cet être est extraordinairement subtil et séduisant. Sa capacité à convaincre est inouïe. C’est lui qui a tenté Adam par l’entremise d’Eve qu’il a fascinée en prenant la forme d’un serpent. C’est l’Orgueil et la seule façon de le neutraliser, c’est de se faire tout petit, de s’abandonner à Dieu, d’être humble, d’ouvrir son cœur supérieur.
L’Akasha Chronica, la grande bibliothèque cachée de l’Univers, la mémoire universelle est située dans Daath et c’est ici que viennent prendre leurs informations de grands clairvoyants tel Rudolf Steiner. Elle se trouve à l’intérieur de nous et c’est par un travail de purification que nous pouvons avoir accès à ses archives. Nous sommes en haut du plan mental, au dessus de son éther mais ce n’est pas encore le monde de la compréhension des lois cosmiques, de la raison supérieure : le plan causal. Ce n’est pas celui, encore plus élevé, de la compréhension des symboles qui est aussi la région de l’astrologie, de la Kabbale et de la musique, celui des Ophanim dans la hiérarchie angélique chez les hébreux ou Chérubins chez les chrétiens et dont l’Archange s’appelle Raziel : l’éther causal.
Si les planètes jouent un rôle en fonction de leur position par rapport au Soleil, comme nous l’avons vu au chapitre 5 avec les Maîtrises, ou de l’Esprit de la Couleur à laquelle chacune est liée, au chapitre 8, elles en jouent un autre en fonction de leur position par rapport à la Terre. Plus elles sont éloignées de celle-ci, plus elles éveillent des cordes subtiles chez les humains.
Les premières rencontres sont déterminantes, d’une importance extrême dans une vie.
Lorsque l’enfant paraît, le premier contact, le plus doux, c’est celui de la mère qui est fusionnel. L’astre le plus proche de la Terre, c’est la Lune dont l’Archange est Gabriel. C’est Lui qui a fait l’annonce à Marie et a instruit Mahomet, le fondateur de l’Islam où la Lune joue un rôle prépondérant (le croissant sur tous les drapeaux des pays musulmans, le calendrier lunaire avec le Ramadan). Il a la charge d’accompagner toutes les naissances, avec sous ses ordres toute une cohorte, une légion d’Anges : les Kérubim qui entourent les mères, les protègent, les inspirent. La Lune est liée à l’émotionnel, à l’humeur, à la capacité de pleurer mais aussi aux marées et aux pluies dans la nature. L’eau qui tombe purifie l’atmosphère en même temps que l’âme humaine.
Dans l’Arbre de Vie, La Lune, et les deux planètes les plus proches de la Terre : Mercure et Vénus, sont associées aux sentiments et à l’eau.
Sur l’Arbre, la planète la plus proche du Soleil est Vénus et non Mercure. Les astrologues utilisaient Vénus pour Mercure, et inversement, jusqu’au XIIIème siècle, période où l’intellect a supplanté le cœur et où l’art gothique (vertical, froid, sophistiqué) a remplacé l’art roman (horizontal, chaleureux, convivial). La pratique me donne le sentiment que leur position chez les Modernes correspond bien à leur influence sur la vie intérieure, que Mercure actuel représente bien l’intellect et Vénus actuel le cœur néanmoins pour les prévisions d’événements concrets, j’opterai pour celle des Anciens.
On disait plus haut que la race blanche viendrait de Vénus mais actuellement elle serait plutôt mercurienne : l’intellect prévaut sur le cœur.
La Lune amène l’humidité qu’elle soit électrique avec Mercure au mois de juin (Gémeaux) et de septembre (Vierge) ou magnétique avec Vénus au mois de mai (Taureau) et d’octobre (Balance).
Mercure représente le personnel médical, étranger, provoquant un sentiment de repli chez le nouveau né (Vierge) ou la curiosité (Gémeaux). Cela peut être aussi les frères ou sœurs aînés inquiets d’avoir à partager (Vierge) ou intéressés par les changements et expériences que cela va créer dans leur quotidien (Gémeaux)
Vénus représente ceux qui s’émerveillent, provoquent un effet dilatateur sur le bébé, en voulant le toucher (Taureau) ou simplement le contempler (Balance). Cela peut être encore les frères et sœurs. Après vient le père, le géniteur, celui auquel l’enfant va s’identifier : le Soleil qui déclenche les vents dans la nature et les pensées dans les têtes humaines.
Il y a les pensées négatives, les soucis, avec Mars représentant les ennemis, les obstacles, ceux qui nous empêchent, apparemment, de nous réaliser pour devenir comme le père mais qui en réalité nous renforcent. Cela peut engendrer l’agressivité et nous rendre courageux, héroïque (Bélier) ou très soupçonneux, rusé (Scorpion). Ce sont les vents électriques.
Il y a les pensées positives et les vents magnétiques avec Jupiter qui peut représenter les oncles et tantes, un parrain, une marraine, qui apportent des cadeaux (Poissons) ou peuvent servir de référents spirituels (Sagittaire).
Les grands parents ont mis plus de temps pour se déplacer. Ils ont beaucoup vécu, ont de l’expérience et acquis une véritable connaissance de la vie sur terre. Ils connaissent les lois de la nature. Ils peuvent être désabusés, amers, déprimés et avoir des idées noires. Cela peut entraîner un comportement cynique (Capricorne). Ils sont souvent très patients, stables et nous savons que nous pouvons compter sur eux (Verseau). Nous sommes arrivés au plan causal et à Saturne auxquels sont associés les Seigneurs du Karma appelés Trônes dans la hiérarchie angélique chrétienne ou Aralim dans la tradition hébraïque. Saturne nous apprend à ne pas nous disperser, à gérer tranquillement notre capital énergie pour aller jusqu’au bout de nos entreprises. Nous sommes ici sur les montagnes avec le froid, la neige, la glace.
Et puis il y a ceux que personne n’attendait, les imprévus représentés par Uranus : de bonnes fées ou de gentils génies qui apportent des idées nouvelles, ouvrent des perspectives, donnent de l’espérance (Verseau) ou des personnages mystérieux et inquiétants (Scorpion) qui arrivent par soir d’orage comme le devin dans « Astérix ». Il y a de l’électricité dans l’air.
Maintenant, il est temps de sortir de la clinique, de la maternité et de se noyer dans le monde (Poissons) ou bien y trouver un équilibre (Balance) avec Neptune. Ce sont les pluies diluviennes, les tempêtes qui remplissent les Océans.
La séphira Kéther est au sommet de l’Arbre de Vie. Omraam Mikhaël Aïvanhov comme d’autres Kabbalistes l’associe à Neptune. A mon sens, elle englobe aussi des régions que l’on peut associer à Pluton, Proserpine et Vulcain. La plupart des rares Initiés qui sont parvenus en son centre ont été foudroyés et désintégrés. C’est la région des premières manifestations de l’Esprit de Dieu. On y a accès en trouvant la Pierre Philosophale en soi dont la représentation physique est recherchée par les alchimistes pour pouvoir transformer le plomb en or. Si l’alchimie existe extérieurement, elle n’est que le reflet de celle qui existe intérieurement. Le plomb, c’est la personnalité, la tristesse et la vision cynique, désabusée, limitative et matérialiste du monde apportée par Saturne et l’or, c’est l’individualité, la conscience christique apportée par le Soleil.
La Pierre Philosophale, dans son aspect matérialisé comme quintessence physique donnant de grands pouvoirs sur la matière, est associée à Malkout. Elle est obtenue par la fusion des énergies des Anges de Hod qui sont nourris de notre désir d’apprendre stimulé par Mercure (Hermès chez les Grecs avec son caducée) pour être utile aux autres, pour les soigner par exemple, avec celles des Anges de Iesod nourris par la pureté de nos intentions, de notre désintéressement, de notre empathie pour les humains stimulés par la Lune et la joie dont elle nous inonde quand elle est remplie des rayons du Soleil, de la Lumière de Tiphéret.
Pour Omraam Mikhaël Aïvanhov et Samuel Mathers, Raphaël est bien l’Archange de Mercure, le chef des légions de Hod, et non Mikhaël, comme pour beaucoup de kabbalistes, et c’est Lui qu’il faut invoquer pour trouver les plantes médicinales capables de guérir un malade.
Malkout est le reflet de Kéther. Hod est le reflet de Hochmah. On dira qu’Iesod, région de la Lune et de la maternité, est le reflet de Binah. En réalité, elle est le reflet de Daath mais comme cette séphira est cachée, elle est substituée par Binah, comme région de la Mère Divine. La Lune comme la mère de famille, comme la Mère Nature, est celle qui nous apporte tout ce dont nous avons besoin concrètement, qui possède toutes les clefs des buffets dont celle qui ouvre les cœurs humains : l’amour et permet d’obtenir tout ce que l’on peut désirer matériellement. La Mère Divine dans Daath est la détentrice de toutes les clefs des coffres contenant les richesses spirituelles.
Kéther et Daath sont respectivement le Père Céleste et la Mère Divine avant et au moment de la conception de l’Enfant.
Hochmah et Binah sont respectivement le Père Céleste et la Mère Divine en tant qu’éducateurs.
Kéther donne la semence et Hochmah guide les pas des enfants de Dieu. Daath est un idéal caché, une Dame mystérieuse (la Dame Blanche chez les celtes ou la Vierge Noire, dans l’ésotérisme chrétien, représentée par une sculpture cachée dans les églises du Moyen Age), une source où on puise son inspiration et Binah celle qui élève ses enfants. L’entité régnant sur la partie obscure de Binah associée à Saturne du Capricorne peut représenter une marâtre, une femme froide dévorée par l’ambition, une mauvaise mère qui couche avec le père pour obtenir des privilèges et le pouvoir.
Malkout, d’une certaine façon, est l’enfant de Hod et Iesod, les deux séphira qui la précèdent. Hod, au dessus, représente le principe masculin et Iesod, en dessous, le principe féminin. Malkout est aussi l’enfant de Tiphéret associé au Soleil et de Iesod associée à la Lune, les deux séphira qui la précèdent si on prend l’axe central (Tout est symbolique, il ne faut pas se formaliser. La Kabbale est poétique. Les différentes mythologies religieuses avec leurs histoires de Dieux en sont ses fruits. Les images ont pour mission d’ élever notre conscience et nous faire appréhender le Divin). C’est pour cela que les alchimistes disent qu’il faut travailler avec le Soleil et la Lune pour obtenir la Pierre Philosophale.
L’enfant de Binah, la Mère Divine et de Hochmah, le Père Céleste réside d’abord dans Kéther en tant que graine puis devient Tiphéret.
La Pierre Philosophale, initiatiquement, représente la deuxième naissance des chrétiens, la naissance du Christ en soi, l’acquisition de la perle dont Jésus parlait pour laquelle il fallait tout sacrifier, l’état bouddhique des orientaux ou Nirvana (Omraam Mikhaël Aïvanhov dit aussi que la Pierre Philosophale, c’est une idée capable de tout transformer. Il parle alors du concept et non de sa réalisation). Arrivé à ce stade, après de très nombreuses incarnations, l’Amour, la Paix et le Bonheur venant de Dieu ne nous quittent plus. Ils étaient en nous, depuis toujours, d’abord à l’état de germes et enfouis sous trop de couches que sont les peurs et illusions pour que nous puissions les ressentir pleinement.
Selon les alchimistes pour obtenir la Pierre, il faut « travail de femme » et « jeu d’enfant ».
Pour parvenir à faire naître le Christ en nous et obtenir la félicité, cela demande une union entre les énergies de l’éther causal représenté par la séphira Hochmah associée à Uranus et celles opposées et complémentaires du corps causal représenté par la séphira Binah et associée à Saturne.
Pour naître une deuxième fois, comme le dit Jésus dans les Evangiles, le disciple, doit persévérer dans son travail sur soi, sur la maîtrise de ses pensées, de ses sentiments, de ses actions, avoir une patience infinie (travail de femme) avec Saturne et écouter son Père, suivre avec audace et émerveillement les idées, illuminations le faisant sortir des sentiers battus (jeu d’enfant) apportées par Uranus, octave supérieure de Mercure et grand messager de Dieu. Le point de vue, grâce à la vibration de cette planète, s‘élève, devient impersonnel et nous donne la possibilité d’agir dans l’intérêt de tous en sachant pertinemment que c’est d’abord le nôtre. Oui, car nos Amis du monde invisible aident celui qui veut servir leur Cause et le conseillent, le guident pour qu’il puisse se réaliser, utiliser de façon optimale tous ses atouts et ne manque de rien.
Uranus en amenant une conscience nouvelle, peut nous pousser à changer notre comportement et à modifier le cours de notre destinée. Ces actes nouveaux créent un Dharma, de plus grandes possibilités pour être constructeur de notre avenir. J’ai constaté, comme Germaine Holley, que les grandes révélations astrologiques venaient souvent avec des transits de Neptune alors qu’on aurait pu penser à Uranus. Si celui-ci représente bien le génie pour analyser intellectuellement les abstractions et ce qu’il y a de plus subtil dans le monde intérieur, si Neptune représente bien le mysticisme et le monde de l’âme, la question se pose de savoir si l’inversion de Mercure avec Vénus ne joue pas aussi sur leur octave supérieure. Néanmoins j’ai remarqué, comme beaucoup d’astrologues, que les transits d’Uranus provoquaient très souvent des accidents, conformément à la pensée astrologique usuelle.
Le Saint Esprit dans la Trinité est la représentation de la Fille de Dieu ou encore celle de l’Amour de la Mère Divine pour le Père Céleste. Il se manifeste dans le plan astral et c’est le plus beau modèle auquel puisse s’identifier le cœur. Nous sommes dans la séphira Iesod associée à la Lune, l’Amour, la Paix, une douceur infinie qui permet, par le silence intérieur, d’entendre la Voix de Dieu, de retrouver la mémoire de nos vies passées, la conscience cosmique enfouie dans notre supraconscience, de parler en langues, d’avoir un magnétisme si puissant que nous pouvons guérir et accomplir des miracles par simple visualisation. Le Saint Esprit prend sa source dans Binah. Le Cancer lié à la Lune et à Iesod est opposé au Capricorne lié à Saturne et à Binah. La Lune est en exil dans le Capricorne : son influence extérieure est alors la plus faible par contre, intérieurement elle est la plus forte. C’est pour cela que la fête de Noël est la période où, selon la tradition initiatique, il est bon de se lier à l’Archange Gabriel pour matérialiser des projets parce que dans les profondeurs de nôtre âme, celui-ci va faire un travail de purification qui renforcera l’intensité et la puissance de nos rêves les plus chers et accélérer ainsi leur concrétisation.
Notre âme englobe nos corps mental et astral. Gabriel et Sa légion, telle l’eau vivifiante jaillissant d’une source, se transformant en un torrent puissant puis en océan d’amour, absorbent la lie, le résidu, les miasmes du plan astral, de nos désirs et sentiments pesants et les pensées auxquelles ils sont liés pour nous libérer. Nous avons avec le culte du Saint Esprit, la spiritualité orientale et sa magie. Celui qui prend ce sentier fait le vide en lui, concentre toutes ses énergies et son amour vers l’Esprit qui l’habite afin de devenir comme une vierge avec laquelle Il puisse s’unir. Il sera rempli de Lui, bénéficiera de toutes Ses qualités et trésors qui deviendront siens. Il se consacre à devenir un canal et un instrument au service de la Volonté Divine.
Le disciple est dans un état de passivité consciente, de non agir selon les adeptes de Lao Tseu, de réceptivité active, de contemplation. Il travaille sur la pureté, devenant comme un cristal et faisant apparaître du plus profond de sa conscience les images les plus belles qu’ils projettent dans l’invisible et qui se matérialiseront un jour.
Il devient alors un réceptacle qui absorbe beaucoup d’éléments étrangers qu’il transforme en pure lumière par un travail intérieur de sublimation dans la souffrance, développant une hypersensibilité mais colorant, enrichissant la palette de ses sentiments et émotions en élargissant et approfondissant son âme.
Le Christ, c’est le Fils ou la manifestation de l’Amour du Père Céleste pour la Mère Divine. C’est l’Esprit du Soleil ou la Lumière du monde, la séphira Tiphéret. Il prend sa Source dans Hochmah. Le Lion lié au Soleil et à Tiphéret est opposé au Verseau lié à Uranus et à Hochmah. Quand le Soleil est le plus faible extérieurement, durant le jour, c’est-à-dire dans le Verseau tropical, il est le plus fort intérieurement.
Nous avons là, avec le principe christique, la spiritualité occidentale où le disciple accepte de se confronter à la matière et au monde pour l’illuminer, pour réaliser le Ciel sur la terre. Nous avons là toutes les confréries chevaleresques et solaires : les Templiers, les Croisés, les Rose-croix, la Franc-Maçonnerie originelle, les ordres religieux missionnaires. Le travail de prière, de méditation, de contemplation des spiritualistes n’est pas suffisant pour amener l’Age d’Or sur la terre. Rudolf Steiner explique que le spiritualiste orientaliste, s’il est témoin d’un accident, sera plein de compassion pour la personne blessée et lui enverra des ondes positives tandis que le disciple de la Rose-croix, sera peut-être plus indifférent mais cherchera des solutions pour la remettre d’aplomb.
Des clefs pour l’astrologie données par Omraam Mikhaël Aïvanhov et révélées par un de ses élèves : Hugues Lecharpentier
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