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jeudi 18 février 2016

L'eau véhicule et mémoire de nos Pensées

Les extraordinaires découvertes de Masaru Emoto

Publié le 1 juillet 2011 par Le Passeur
Par le Passeur.

A travers les écrits de cette époque où tout nous est restitué, nous parlons souvent de notre pouvoir créateur. Peut-être certains ont-ils besoin de comprendre mieux ce que cela signifie très concrètement. Un homme nous en a délivré la preuve incontestable et pourtant je me rends compte que bien peu de gens ont entendu parler des extraordinaires travaux du Dr. Masaru Emoto.
Titulaire d’un Doctorat de l’Université de Yokohama en MédecineAlternative (eh oui, au Japon ça existe), Masaru Emoto a pu mettre au point avec son équipe une méthode d’observation des cristaux d’eau gelés par la photographie. Il y travaille depuis presque 20 ans et parcourt à présent le monde pour partager les enseignements de ses découvertes, avec une attention pédagogique particulière pour les enfants. Ce qu’il a pu mettre sous l’œil d’un objectif offre à tous un aperçu concret de ce qui nous était déjà transmis par les anciens peuples de la Terre et ceux dits ‘primitifs’, et qui est également redécouvert à travers les avancées de la physique quantique : la pensée est puissamment créatrice, instantanément.
Masaru Emoto
C’est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. A la suite de quoi des gouttelettes de glace se sont formées à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.

Tout de suite, l’équipe d’Emoto a découvert que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et vives formant de beaux cristaux harmonieux  là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne formaient pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
L’étude de la riche panoplie des cristaux d’eau présents dans l’eau naturelle – richesse inexistante dans l’eau du robinet en raison de la présence de chlore – a donné l’idée à un chercheur de l’équipe de mettre de la musique pour voir ce qui se passerait. Ce fut le début d’une autre dimension de l’aventure qui a permis de découvrir la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise par la pensée, la parole, l’image, la musique… Par la vibration qu’ils émettent, même de simples mots écrits sur un papier comme ‘haine’ ou ‘amour’ présentés à de l’eau modifie avec une signature spécifique la forme de ses cristaux. Comme le dit M.Emoto, « ces cristaux sont remplis de leçons à tirer concernant la façon dont nous devrions – et devons – vivre ».
La découverte est d’une telle simplicité que mieux vaut tout simplement en regarder les images plus que de longs discours :
 
 
 
Créé avec les mots "tu me rends malade'
 
Créé avec l'intention d'amour et de gratitude
Créé avec de la musique heavy metal
Créé avec de la musique de Mozart
 
Arrivé là, un constat s’impose. Un être humain débute sa vie à l’état de fœtus composé de… 99% d’eau. A la naissance il est constitué d’encore 90% d’eau et arrivé à l’âge adulte, c’est toujours un être liquide à hauteur de 70%. S’il vit très vieux il se sera densifié jusqu’à 50% d’eau dans son corps. 
Douteriez-vous encore que notre matrice de vie sur cette Terre, elle-même composée en surface de 71% d’océans , soit autre chose que l’eau ?
A la lumière des travaux de M. Emoto, imaginez un peu le récepteur que votre corps représente pour les pensées et paroles d’autrui ou les vôtres. Imaginez ce que provoque sur votre santé physique et psychique l’audition de musiques de basse vibration ou l’absorption passive d’images violentes et dégradantes. Le conditionnement débute là. Et quiconque a cette connaissance et le pouvoir d’agir sur le collectif peut à loisir en user pour le conduire là où il veut qu’il en soit. Ne doutez pas que les marionnettistes du monde ont cette connaissance et qu’ils en usent abondamment.
Ne doutez pas non plus que vous avez tout pouvoir de contrer ce type d’agression et reconditionner votre être. Le succès de la pensée positive peut s’expliquer ainsi. Si au lieu de vous plaindre en vous-même de toutes sortes de maux, de vous trouver moche ou malheureux devant la glace le matin, de vous exposer des heures durant à des programmes de télévision avilissants, de noyer votre mal être dans des musiques hypnotiques et destructurantes, des jeux vidéos hypnotiques et violents, de l’alcool ou des drogues, si au lieu de tout cela vous renversez la vapeur en pratiquant la pensée positive, même si cela vous paraît artificiel au début, les résultats s’en feront très rapidement sentir.
On en revient toujours à la trinité abordée dans « l’Eveil en soi » : changer la nature du regard que l’on porte sur le monde, change aussitôt la nature du sentiment né de ce nouveau regard et de la pensée qui le suit. Peut-être peut-on ajouter à la lumière des travaux de Masaru Emoto que l’eau est le vecteur de cette métamorphose par sa capacité à mémoriser, reproduire et à transporter de manière permanente l’information à travers le corps.
Nous sommes des êtres essentiellement liquides et hautement récepteurs de toutes les énergies qui nous atteignent. Si celles-ci sont de nature à nous apporter le bien-être et l’évolution, alors tout va bien. Mais dans le cas contraire, et pour ce que j’entends et je vois c’est le cas le plus exprimé, nous pouvons à tout moment décider de changer radicalement notre manière de vivre. Certains pensent que vivre sans télévision, dans un lieu où la nature est présente et entourés d’êtres paisibles et créatifs qui correspondent ce que l’on souhaite pour soi, revient à se couper du monde. C’est exactement le contraire. Se couper du monde, c’est justement vivre conditionné par une société que l’on n’a pas choisie mais que l’on a laissée se renforcer et nous envahir chaque jour un peu plus. Là, nous sommes si loin de tout que nous sommes même loin de nous.
A l’inverse, se relier au monde, c’est d’abord reprendre le pouvoir sur soi et ne plus se laisser mener par le bout du nez, puis exprimer en soi la volonté d’une ère où disparaîtront les chaînes que l’on nous a posées et celles que nous imaginons porter. Se relier au monde, c’est s’engager sur la voie lucide qui crée une autre réalité.
Ne serait-ce que le temps de lire ces lignes, prêtez-vous au jeu de voir la société comme une structure mouvante dans sa globalité, avec des points stagnants, en permanence mise au point dans le moindre de ses rouages afin de guider l’ensemble des pièces à travers des tendances vers des objectifs ciblés. Ces objectifs ne sont pas pour autant les vôtres, mais vous allez pourtant y répondre par habitude, avec un sentiment de fatalité, d’inéluctable. Si l’on donnait la parole à chaque pièce de la structure, à chaque individu, l’écrasante majorité exprimerait de la souffrance à endosser le lourd manteau que la structure leur a déposé sur le dos. Masaru Emoto dirait que « l’eau du corps est sale ».
La structure, la société, use et abuse de tous les moyens pour diriger votre pensée et vous amener où elle le souhaite dans l’intérêt d’une poignée d’êtres dénués de toute empathie. Vous êtes libre, absolument et totalement libre, de choisir de vivre dans les « eaux sales » qu’elle a créées en vous ou de décider la grande épuration intérieure et le nouveau souffle de vie qu’elle vous offrira. De plus en plus ont fait ce choix, et la masse critique au-delà de laquelle l’humanité va basculer, est atteinte.
Laissons pour finir la parole à Masaru Emoto : « Ce que vous savez possible du fond du cœur est réellement possible. Nous le rendons possible par notre volonté. Ce que nous concevons dans notre esprit devient notre monde. ce n’est qu’une des innombrables choses que l’eau m’a enseignée. »
Fraternellement,
© Le Passeur – 1er Juillet 2011 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est autorisé à la copie à la seule condition de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.


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mardi 9 février 2016

l'Enfant Intérieur est un Enfant Libre!

l'Enfant Intérieur est un Enfant Libre: il est l'expression de la Vie qui jaillit.

arc en ciel












C'est notre Enfant de Vie
Imaginez! Imaginez un enfant (ou une enfant, peu importe) heureux de vivre sa vie d'enfant. Il joue, chante, court, saute. Il va se blottir contre sa mère quand il en a envie. Puis il repart plein de vie. Mais un jour, le voilà réprimandé parce qu'il bouge et crie, le voilà jugé inconvenant ou détestable quand il manifeste ses opinions et ses sentiments. Le voilà seul quand il appelle. Il n'a plus la possibilité de laisser sa vie se manifester spontanément. Il est en colère, triste, perdu. Cet enfant vit à l'intérieur de chacun d'entre nous. C'est notre Enfant Intérieur.

L'Enfant qui vit en nous

A l'origine, l'Enfant Intérieur est un Enfant Libre: il est l'expression de la Vie qui jaillit. Il manifeste spontanément le plaisir de vivre et la joie. Il ne lui vient pas à l'idée de juger ses comportements en bien ou en mal. Or son élan de vie a été sapé progressivement. Lorsqu'il laissait sa spontanéité s'exprimer, il recevait des blâmes et des retours négatifs et c'est devenu dangereux pour lui. Alors son énergie de vie s'est recroquevillée. L'Enfant de Vie est devenu un Enfant blessé. Enfant Libre et Enfant blessé sont les deux principaux aspects de notre Enfant Intérieur.
L'Enfant Intérieur est l'enfant qui vit en nous actuellement. Il n'est plus l'enfant que nous avons été dans notre enfance, même s'il en est issu. Il a évolué de jour en jour. Certaines blessures ont été renforcées par des douleurs de l'adolescence ou de l'adulte, de nouvelles ont été produites, d'autres se sont effacées, ont été pardonnées ou dépassées. Même s'il constitue un aspect à part entière de notre personnalité adulte, je l'appelle Enfant car il présente les caractères de l'enfant: la spontanéité, l'authenticité, le non-jugement, la confiance. L'Enfant Intérieur exprime des émotions authentiques, que ce soit sa joie ou sa douleur.

Le Comédien

Lorsque l'Enfant blessé est accueilli et consolé, tout revient en ordre. Mais c'est rarement le cas. Sa peine n'est pas écoutée, il est réprimandé parce qu'il est en colère ou boudeur. Lorsque cette situation persiste, il a le choix de tomber malade (ou de mourir) ou de composer avec la situation pour obtenir de l'attention et de l'amour de la part des autres. C'est ce qui se passe pour la majorité d'entre nous.
Alors, il se construit inconsciemment un personnage. Quelque chose en lui décrète qu'il est sans valeur et il cherche à satisfaire les autres. Ou bien il décide de démontrer sa valeur pour mériter l'admiration. Il peut décider d'être fort et de se débrouiller seul quoiqu'il arrive. Il devient un personnage fabriqué qui ne correspond plus à sa nature profonde. Il se forge un système de codes de conduite pour être en accord avec sa décision, puis il se juge par rapport à ce code et juge mauvais tous ceux qui ne suivent pas ce code. En obéissant à ce code, il cherche à être bien vu des autres et est très attaché à ce que veulent et pensent les autres. S'il n'y arrive pas, il se sent coupable et honteux. Il peut devenir un moralisateur. Il n'est plus authentique mais il ne s'en rend pas compte car il s'est identifié avec ce faux moi. C'est un Simulateur, un Comédien.Il n'en retire pas de joie. Il a plutôt le sentiment qu'il faut toujours travailler et qu'on "réussit sa vie" en souffrant dur.
Le Comédien ne se substitue pas complètement à l'Enfant Intérieur car la Vie ne peut pas être remplacée. Il se superpose à lui et l'étouffe plus ou moins. Aussi, les 2 entités, l'Enfant de Vie et le Comédien, coexistent en nous. Nos malaises, notre ennui, notre amertume, notre impression de ne pas être heureux, même pour ceux qui ont tout pour être heureux, viennent d'un conflit entre ces deux personnages, le vrai et le fabriqué, l'Enfant de Vie et le Comédien.
Dans cet article, je vous invite à vérifier la validité de cette description en vous observant, et à vous libérer de votre mal de vivre en changeant votre regard sur vous-même et sur les autres. Vous reconnaitrez le tiraillement entre l'Enfant Intérieur et le Comédien. Vous découvrirez également que vous avez le pouvoir de transformer leurs jeux de conflits afin de vivre une vie épanouissante et sereine.
La notion d'Enfant Intérieur a été déjà bien élaborée par certains auteurs, en premier Carl Gustav Jung. Je la présente ici à ma manière. J'y précise et clarifie certains des aspects évoqués dans la littérature. Je les replace et les synthétise dans un cadre qui intègre le corps et les apports de la psychologie biodynamique, la méthode de libération des cuirasses, certains enseignements spirituels et ma propre expérience.

L'appel de l'Enfant Intérieur

Le cas de LAURE: Laure "a tout pour être heureuse". Un métier valorisant. Elle a divorcé et vit avec l'homme qu'elle aime. Mais elle ne supporte pas que les grands enfants de son compagnon viennent lui ravir son attention. Quand cela se produit, elle se sent en colère. Bien sûr, elle s'en veut car elle estime que son comportement est égoïste. Que se passe-t-il? Elle est tiraillée entre ses deux personnages, l'un qui désire recevoir toute l'attention (l'Enfant Intérieur) et l'autre qui juge que c'est égoïste et pas convenable (le Comédien dans le rôle du Juge).
Laure désire se débarrasser de cet inconfort, mais comment? Lorsqu'elle repousse son besoin de recevoir l'attention et s'efforce d'être convenable comme le lui souffle son Juge, trouve-t-elle la paix? Bien évidemment NON. Ce n'est donc pas la bonne solution. Alors suivre le besoin impérieux de son Enfant Intérieur et réclamer toute l'attention? Ce n'est pas non plus la bonne solution car elle risque de lasser son compagnon. L'intolérance qu'elle lui manifeste n'est certes pas favorable à une vie conjugale épanouie.
Selon mes indications, en observant de façon attentive ce qui se passe profondément en elle, Laure découvre que son besoin d'attention n'est pas issu de sa volonté, ce n'est pas son choix conscient et réfléchi. C'est un mécanisme qui se met en marche à l'intérieur d'elle de façon incontrôlée dans certaines circonstances. Si mon compagnon s'occupe de quelqu'un d'autre, j'ai l'impression de ne plus exister. En constatant le caractère involontaire de cette émotion, elle peut d'abord enlever tout jugement sur elle-même. Elle n'est pas une égoïste.
Une introspection plus profonde sur son sentiment d'abandon lui révèle qu'elle est habitée par unegrande peur d'être délaissée. Cette peur a été inscrite en elle pendant son enfance, lorsque elle était délaissée au profit de ses soeurs. Elle ne recevait pas suffisamment d'amour. Le sentiment d'abandon qu'elle éprouve est le signal d'appel de son Enfant Intérieur. Il lui dit qu'il existe et qu'il a besoin d'attention.

Nos besoins fondamentaux

Le sentiment d'abandon éprouvé par Laure est en relation directe avec le besoin fondamental de l'enfant de recevoir l'attention de quelqu'un. Qu'est-ce qu'un besoin fondamental? C'est ce qui est indispensable à un enfant ou à un adulte pour vivre et se développer, par exemple de la nourriture. Lorsque notre besoin est satisfait, par exemple si nous sommes bien nourris, nous nous sentons bien. Si nous sommes affamés, nous éprouvons des douleurs physiques, de l'angoisse, etc. Nos besoins consistent en nourritures physiques, affectives, mentales, spirituelles.

Les besoins fondamentaux de l'Enfant

En écoutant le langage des émotions exprimées par une multitude d'Enfants de Vie, nous constatons que les besoins fondamentaux sont à peu près identiques pour tout le monde et se réduisent à un petit nombre.
En premier lieu, disposer de nourriture alimentaire et d'un abri pour être protégé du climat. Mais il est un besoin tout aussi fondamental: l'enfant a besoin d'être accueilli, à sa naissance et par la suite. Notre premier grand besoin est qu'on reconnaisse notre existence. Nous avons également besoin d'attention, d'amour et de sécurité.
Ce n'est pas suffisant. Nous devons être considéré comme une personne à part entière avec son caractère unique, et non comme un objet. L'attitude inverse serait d'être nourri par une machine. C'est par son regard que l'autre nous reconnait en tant qu'être unique. D'autres sens que la vue participent à cette reconnaissance. Quand une mère allaite, elle nourrit le bébé non seulement par son lait, mais par le contact avec sa peau, avec sa main. La main est plus qu'un contact physique, elle parle, elle est calmante, agressive, possessive, encourageante. Bien plus qu'une simple transmission d'information sur le monde, la communication sensorielle (vue, ouïe, toucher) nous nourrit.

La blessure fondamentale

Ce qui peut nous étonner, c'est que le besoin de Laure est hors de propos avec la réalité extérieure. Son anxiété se déclenche de façon automatique chaque fois que l'attention de l'autre se détourne d'elle, même si en réalité elle n'est pas délaissée. C'est dans son enfance que Laure n'a pas été suffisamment nourrie d'amour et d'attention. Le besoin exprimé n'est pas celui du présent, mais la résurgence de besoins qui n'ont pas été satisfaits ni reconnus dans le passé. Ils ont été ignorés, ridiculisés, bafoués. Mais son inconscient et son corps en ont gardé la mémoire, une empreinte énergétique qui fonctionne comme un programme informatique. La mémoire des besoins fondamentaux ignorés constitue la blessure profonde de l'Enfant de Vie. Nous pouvons apprendre à la soigner en décidant de nous occuper sérieusement de notre Enfant Intérieur.
Le cas d'YVAN: Yvan, la soixantaine, vit une vie de couple classique. Depuis peu à la retraite, il constate qu'il s'emporte beaucoup à l'encontre de sa femme Ania et il en éprouve du remord. Il a envie de comprendre le phénomène afin d'améliorer leur relation. Il découvre que son irritation est déclenchée chaque fois qu'Ania lui renvoie des jugements sur son comportement. Il ne se sent pas entendu ni compris. C'est sa réalité intérieure, même si ce n'est pas la réalité extérieure. Il prend conscience que être entendu et compris est un besoin fort parce qu'il n'a pas été satisfait dans son enfance. Ce manque reste inscrit en lui comme une blessure ouverte.

Colère, tristesse et amertume

Lorsque ses besoins sont satisfaits, l'enfant ou l'adulte éprouvent une sensation de paix et de plénitude. Inversement, lorsqu'un bébé a faim, et qu'on tarde à lui donner le sein, il pleure et peut aller jusqu'à la colère. Il manifeste ainsi son insatisfaction. Lorsque les besoins d'un enfant sont rejetés ou ignorés, dans un premier temps il peut se mettre en colère, se rebeller et manifester son mécontentement. Dans un deuxième temps, s'il n'est toujours pas écouté, c'est la tristesse et le désespoir qui prennent la place. Enfin, lorsque ses sentiments de rébellion et de tristesse ne sont pas acceptés, la seule solution pour l'enfant est de se résigner.
Lorsque nous éprouvons du ressentiment, c'est la voix de notre Enfant Intérieur qui cherche à nous dire qu'il n'est pas écouté ni respecté, qu'il est rejeté ou ignoré. Il s'exprime par son attitude de la même façon qu'un enfant réel. Il manifeste des sentiments: irritation, colère, rage, tristesse, désespoir, frustration, insatisfaction, déception, inquiétude, crainte, angoisse, peur, ou dépression.Nos représentations mentales sont erronées
Pour survivre, notre Enfant doit développer une stratégie. Il découvre que certains comportements peuvent lui apporter la satisfaction de ses désirs. Il sourit ou se tait parce qu'on le lui demande, comme un animal dressé. Il s'accommode en devenant quelqu'un d'autre, le Comédien. Il reçoit ce qu'on appelle de l'amour conditionnel: Je t'aime, à condition que tu sois comme je le désire, que tu sois sage, que tu ne fasses pas de bruit, que tu travailles à l'école, que tu me fasses des sourires...
Comme pour lui ces injonctions constituent la seule réalité possible, il se construit un système de représentations de ce qu'est la Vie et ses règles. Il s'imagine des valeurs, des conceptions du bien et du mal, qui empruntent aux modèles du père et de la mère. Il se développe et se structure sur la base de ces croyances fausses qui s'inscrivent en lui comme sa vérité. Le Comédien vit en se référant à ce système de représentationsil faut, je dois. Il s'efforce de vivre en conformité avec ces croyances avec plus ou moins de succès, et s'évalue en permanence par rapport à ces règles de conduite.

Quelques croyances courantes

Certaines croyances erronées sont très répandues:
  • Je ne peux faire confiance à personne. Je dois me débrouiller seul. Je dois être fort, à la hauteur.
  • Par mon comportement, je peux obtenir l'amour des autres. Je peux influencer ce qu'ils pensent de moi. Je dois être compétent, discret, brillant, effacé, pauvre, riche.
  • Pour mériter l'amour des autres, je dois me plier à leurs demandes, me sacrifier. Si je ne m'occupe pas des demandes de l'autre, je serai rejeté
  • Si l'autre souffre, j'en suis responsable
  • La souffrance est la loi de la vie. Je ne peux y échapper.
  • Je ne suis pas quelqu'un de bien. Je ne mérite pas la joie et l'amour. Je ne vaux rien. Je ne reçois que ce que je mérite
  • Les sentiments que j'éprouve sont dus aux autres et aux événements. Ce sont eux qui créent mes malheurs et mes bonheurs.
  • Si je fais ce qui me plait, c'est égoïste. J'en serai réprimandé d'une manière ou d'une autre.
  • Les hommes sont insensibles et violents par nature. Les femmes sont soumises. Ces croyances se sont incrustées sur le modèle du père et de la mère et diffèrent selon chacun. Elles peuvent fonctionner même si consciemment on a une autre opinion des hommes et des femmes.
Examinons les croyances suivantes:
Le Comédien est une nécessité pour s'adapter à la vie en société. Non, c'est une croyance soufflée par le Comédien lui-même qui récupère des idées toutes faites transmises par la société. Le véritable épanouissement en société n'est pas une limitation de soi par la peur et la culpabilité, mais au contraire un développement de sa puissance créatrice dans la pleine conscience de soi et des autres. Donc dans l'élargissement de conscience. Par exemple, il y a une grande différence entre dire merci à quelqu'un parce qu'on ressent de la gratitude pour cette personne et dire merci parce qu'on est bien dressé et qu'on se se sent en faute si on ne le fait pas. Il est essentiel de noter que ce n'est pas l'acte (dire merci) qui est le plus important, mais le sentiment qui lui est associé (gratitude et ouverture du coeur, ou culpabilité et rétraction).
La liberté de l'Enfant Intérieur s'arrête là où commence celle des autres. La notion de liberté est également mal comprise, car elle est interprétée comme la liberté matérielle, la liberté extérieure manifestée. Or la vraie liberté est intérieure, issue d'une paix intérieure. Certains imaginent être libres parce qu'ils transgressent des interdits par pure provocation, mais c'est rarement induit par une liberté intérieure (ce qui ne veut pas dire que ce n'est pas justifié). La liberté intérieure ne procède pas d'un sentiment de révolte ou de revendication, mais de simplicité d'être et d'absence de peur. C'est la liberté de choisir soi-même ce qui convient le mieux à soi et à ceux qui nous entourent, dans le discernement et le sentiment de pleine puissance de Soi.

Nos croyances se concrétisent

Il est une loi psychologique et spirituelle que vous pouvez vérifier vous-même: Ma vie extérieure est la concrétisation de mes pensées et de mes croyances, conscientes ou inconscientes. Autrement dit nous mettons automatiquement en place les conditions et les évènements qui sont conformes à nos croyances. Si nous pensons que les autres sont responsables de notre peine parce qu'ils ne nous donnent pas suffisamment d'attention, nous allons réellement vivre cette situation en attirant dans notre vie des personnes qui ne sont pas attentives à nous (voir article Ma vie est le reflet de ma pensée). Si nous décidons de vivre l'amour, nous devons changer nos croyances et prendre en compte les demandes de notre Enfant. C'est nous qui allons lui donner de l'amour et du bonheur.

Contrôle de soi

L'Enfant de Vie se manifeste dès qu'il en a l'occasion. Des aspects de sa nature profonde peuvent surgir de façon intempestive tels que spontanéité, émotions, attitudes, douleurs corporelles. C'est très gênant pour le Comédien qui cherche à vivre selon des règles qui ignorent les besoins de l'Enfant. Pour éviter cela, il les réprime, les refoule et apprend à se contrôler. Il contrôle son expression verbale, émotionnelle et corporelle.

Sous-estime et culpabilité

Si le Comédien se sent dépassé par l'ampleur de la tâche et qu'il n'arrive pas à être en accord avec ses règles, il peut adopter le rôle de victime. Il émet des jugements négatifs sur lui et se sous-estime. Naissent alors des sentiments de culpabilité et de honte qui sont des produits d'une éducation de l'amour conditionnel(se reporter aussi aux articles Se mettre à Nu et Sexualité). Il juge les autres durement et les critique, à moins qu'il ne se sacrifie pour leur venir en aide.
Le cas de JACQUELINE: J'ai toujours le sentiment de ne pas être jolie... J'ai le sentiment que je dérange, que je ne suis pas assez bien... Dans une rencontre, j'imagine que les autres femmes sont meilleures que moi, alors je me retire.

Fatigue et lassitude

Le cas de MYRIAM: Myriam elle-aussi "a tout pour être heureuse". Elle a réussi sa vie professionnelle, elle a une bonne estime d'elle. Elle pratique des sports de haut niveau qui lui plaisent. Malgré cela, elle ne ressent pas de joie de vivre. De plus, elle est souvent fatiguée. Pourquoi?
Myriam ressent de la lassitude et de l'amertume parce qu'au fond, elle ne fait pas ce qui lui correspond vraiment. Dans son enfance, elle s'est efforcée d'attirer l'attention de ses parents, trop occupés par leur métier, en recherchant leur admiration. Elle a développé une stratégie pour obtenir l'amour. Elle fait du sport de haut niveau pour se prouver sa valeur. Mais profondément, elle sent qu'elle n'est pas faite pour ça et ça l'épuise. De plus sa stratégie n'est pas efficace, comme toutes les stratégies pour obtenir l'amour, même si elle a pu donner quelques résultats momentanés.
Vouloir être quelqu'un d'autre que ce qu'on est profondément est épuisant émotionnellement et nerveusement. C'est comparable à un employé qui s'efforce d'effectuer le travail imposé par un patron autoritaire, alors qu'il déteste ce travail. Il y gagne sa paie, mais il n'est pas heureux et se détériore. C'est aussi l'attitude de la prostituée qui abandonne son corps et sa dignité pour obtenir un gain.

Le langage du corps

Par la fatigue, l'Enfant de Vie attire l'attention sur son sentiment d'être abandonné et son besoin d'être entendu. Le langage du corps constitue la voix de l'Enfant de Vie au même titre que le langage des émotions.
Selon les découvertes de la Psychologie biodynamique et de la Méthode de Libération des Cuirasses à la suite de Wilhelm Reich, il existe en nous une Pulsion de Vie, un courant naturel qui se développe comme la sève des arbres et conduit à notre floraison. C'est l'aspect énergétique de l'Enfant de Vie. Lorsque le courant de vie rencontre des obstacles, il cherche à les enlever par des réactions émotionnelles immédiates de colère ou de pleurs. Si ces réactions sont entendues, l'obstacle est levé, l'énergie circule à nouveau. Une harmonisation et une régulation s'effectuent et tout va bien.
Dans le cas contraire, le courant de vie est bloqué et s'amasse en stases ou réservoirs fermés. Afin de ne pas le laisser s'échapper de façon incontrôlée, le corps apprend à le contenir, à le contrôler. Un tel contrôle entraine une tension permanente, des structures rigides se forment: nœuds énergétiques, cuirasses musculaires et tissulaires (voir article Vitalisation du corps). Leur fonction est de réprimer la perception des sentiments tels que la tristesse, la colère, le désespoir et tout ce qui est douloureux et inacceptable. Le corps s'anesthésie. L'énergie se retire de certaines parties du corps, comme si la Vie abandonne du terrain. L'esprit s'anesthésie psychologiquement.
Toutefois, l'Enfant Intérieur tente de nous rappeler son existence et se signale par des sensations physiques: fatigue, douleurs, énervement, besoin de bouger sans cesse, maladie.

Une multiplicité de personnages en nous

Nous avons identifié en nous ces deux personnages importants que sont l'Enfant de Vie et le Comédien. En réalité, on pourrait en compter bien davantage, car chacun d'eux s'exprime avec des nuances variées. Ainsi, l'Enfant de Vie se présente sous deux aspects: Enfant libre ou Enfant blessé.
Nous avons vu apparaitre le Comédien dans ses rôles de Juge et de Victime anxieuse, mais en réalité il se présente avec bien d'autres visages, dans bien d'autres rôles. Son rôle de Juge est fréquent et omniprésent, mais en contrepartie, il y a aussi celui qui se sent le Coupable. Il est aussi le Moralisateur, le Dictateur. Il est le Sauveur qui écoute et répond aux besoins des autres plutôt qu'à ceux de son Enfant.
C'est pourquoi je l'ai nommé le Comédien. Dans la comédie de théâtre ancienne, on pouvait identifier les personnages à leurs costumes et à leurs masques. On pourrait dinc également nommer cette entité le Masque sachant qu'il peut en adopter de nombreux. Contrairement à un comédien de théâtre, il n'a pas conscience d'être un comédien. Il s'est complètement identifié avec ses personnages.
J'ai failli le nommer l'Usurpateur car il prend la place de l'Enfant de Vie. Mais cela l'affublerait d'un sentiment négatif qu'il ne mérite pas, et qui serait défavorable à sa guérison. Car en réalité, il a fait ce qui a été nécessaire pendant une période de notre vie, ce qu'il croyait bien de faire. Il n'est pas méchant. Il est seulement dans l'ignorance.
On peut d'ailleurs mettre en évidence la trilogie souvent citée de Sauveur, Bourreau-dictateur, Victime. Ou encore certains des caractères de W. Reich distingués par leurs blocages énergétiques (rigide, schizoïde, masochiste, oral, psychopathe). Ou encore des caractères de l'Analyse Transactionnelle: Enfant rebelle, Enfant adapté, Parent normatif...
Dans la littérature, le Comédien est souvent nommé la Personnalité. Le mot a donc un sens assez différent du sens commun, comme lorsqu'on dit de quelqu'un qu'il a une forte personnalité. Ses multiples aspects ou rôles sont les Sous-Personnalités.
Il existe donc en réalité une multitude de personnages en nous et pas seulement deux. Aussi, je vous invite à rester souple dans cette distinction des personnages. Ne tombons pas dans le besoin de classification et de mentalisation. Toutefois, nous conserverons la distinction en deux personnages, car elle a ceci d'intéressant de nous permettre d'identifier de façon simple et pratique les forces qui sont issues de l'authentique et celles qui sont construites sur l'illusion. L'Enfant Intérieur est cette instance qui parle en nous quand on se sent vrai. Le Comédien ou Personnalité s'est construit un monde illusoire. L'important est de sentir en nous ces forces qui se manifestent et agissent de façon conflictuelle.

La Présence consciente et aimante

Vous vous êtes observé et vous vous êtes rendu compte de l'existence de ces deux personnages en vous. Alors, je vais en introduire un troisième. Réfléchissez: quelle est la partie de vous qui observe et se rend compte? C'est un personnage que nous n'avons pas encore évoqué. C'est l'Observateur. C'est la Présence.
La Présence a elle aussi plusieurs visages. Lorsqu'elle observe les jeux scéniques de l'Enfant et du Comédien, c'est la Présence consciente. Elle est aussi un Coeur aimant qui peut écouter et déverser de la bienveillance sur l'Enfant et sur le Comédien: c'est la Présence aimante. Elle a le pouvoir de décider de s'occuper de l'Enfant et du Comédien: c'est la Présence agissante.
Si vous décidez de vous libérer de votre malaise et de vos souffrances, vous allez maintenant faire appel à la Présence pour ressusciter votre Enfant de Vie et donner place à votre Moi véritable. Afin de faciliter la compréhension de ce processus de libération et de résurrection, je l'ai structuré en 4 étapes. Il est possible que vous parcouriez ces étapes l'une après l'autre dans cet ordre dans votre évolution. Il est également possible qu'elles se succèdent dans un autre ordre, ou bien de façon cyclique et rapide, ou qu'elles soient simultanées.

J'écoute le langage de mes émotions

Pour mettre en oeuvre la résurrection de notre Enfant Intérieur, la première étape est de tourner notre attention vers notre Enfant Intérieur et notre Comédien. Comment les rencontrer et reconnaitre leurs manifestations?
Nous percevons l'Enfant Intérieur par nos sensations physiques, nos émotions et nos sentiments.L'observation de nos sensations et de nos sentiments est un outil d'information formidable qu'il serait désolant de ne pas utiliser. Ils nous révèlent ce que nous sommes vraiment. Ils nous donnent accès à la voix de l'Enfant Intérieur, à ses attentes, à ses besoins.
Toutefois, beaucoup d'entre nous éprouvent de la difficulté à percevoir l'appel de l'Enfant. Cela peut parfois nous demander une rééducation, tant nous avons été entrainés à occulter nos perceptions. Mais chacun a l'expérience de domaines ou aspects de sa vie où il perçoit parfaitement, et qui peuvent lui servir de point de départ. Voici un exemple.

Conflits entre contraintes et plaisir

Penchons-nous sur notre journée, ou sur notre vie. Certains évènements nous ont apporté des satisfactions et des joies, n'est-ce pas? Et nous avons également été mécontents, insatisfaits, rageurs ou désespérés, parce que la journée ou la vie ne nous apportait que désagréments, difficultés et galères. Vous avez vécu cette expérience, donc vous êtes tout à fait capable de percevoir et d'identifier ces deux types de sentiments: d'un côté la satisfaction et le contentement, de l'autre l'amertume et le mécontentement. Le fait de reconnaitre votre capacité de perceptionest une porte très importante, même si elle peut vous sembler banale. Cela va vous permettre de la conforter et de la développer.
Allons donc plus loin dans l'observation de nos insatisfactions. Nous accomplissons certaines activités par devoir ou contrainte, tels certains travaux professionnels, alors que nous ne les aimons pas beaucoup, parce que nous pensons que nous ne pouvons pas leur échapper. Nous les effectuons pour survivre ou par habitude. C'est ce que nous souffle notre raison. Ainsi certains étudient laborieusement pour obtenir un diplôme qui n'est pas vraiment leur vocation. Ils pensent que c'est le seul moyen de "réussir" leur vie, qu'ils n'ont pas le choix. S'ils l'avaient, ils aimeraient faire autre chose. A l'opposé, il y a d'autres activités que nous adorons parce qu'elles nous font du bien, qui nous donnent l'impression de nous régénérer. Ces tiraillements fréquents entre le coeur et la raison ou entre le devoir et le plaisir ne sont que la manifestation des conflits entre l'Enfant de Vie qui réclame l'attention et le Comédien-Juge qui le réprime au nom des règles du bien.
Sentir ces tiraillements est extrêmement instructif. Observez-vous et distinguez ce que vous faites par obligation, pour obéir à vos idées, vos croyances, et ce que vous faites avec coeur, par pur plaisir. Ne tirez pas de jugements négatifs sur vos observations et ne les faites pas suivre de décisions hâtives. Prendre des décisions nécessite de comprendre mieux ce qui est bon et juste. Il s'agit seulement de prendre le temps de faire l'état des lieux: dans tel domaine, je me sens dans la contrainte et la tension, et dans tel autre, dans la détente et la satisfaction.

J'accueille mes émotions

Le simple fait de tourner notre attention vers notre malaise en observateur qui constate sans juger, est déjà un acte de soin envers notre Enfant. Représentez-vous cet Enfant comme un enfant perdu dans une rue et vous passez régulièrement devant lui depuis des années sans vous apercevoir de sa présence. Un jour, vous percevez son appel et vous tournez votre regard vers lui. Même si vous ne faites rien, c'est déjà pour lui un immense soulagement, une joie. C'est reconnaitre que l'enfant est là, qu'il existe, qu'il vit. Ensuite, vous avez le choix de l'ignorer ou de vous en occuper. La différence est que l'Enfant Intérieur fait partie de nous et que nous subirons les conséquences de notre choix.
Portons attention et accueillons notre ressenti chaque fois que nous éprouvons du ressentiment ou des sensations désagréables.
Le cas d'ESTELLE (18 ans): Je ne me sens pas bien avec ma mère. Je trouve que ses messages me disant "ma chérie, je t'aime" sonnent faux. J'aimerais recevoir de l'amour, de la protection, de l'attention et de la tendresse. Mais je ne veux pas lui demander à elle, elle ne me convient pas, j'aimerais une autre mère. Avant, ma mère ne s'occupait pas de moi, elle était absente, prise par son boulot.
Estelle exprime de la ranc?ur parce que sa mère était absente. Son Enfant Intérieur a gardé ce mécontentement et de la colère. Elle prend conscience de cette amertume qu'elle n'avait pas remarquée avant.
Généralement, nous savons nous débrouiller avec un enfant de rue. Nous lui demandons ce qui ne va pas, nous cherchons à savoir de quoi il souffre, nous dialoguons avec lui. Eh bien, faisons de même avec l'Enfant Intérieur. Cela revient à accueillir nos émotions au lieu de les ignorer. En accueillant mes émotions, j'accueille mon Enfant.
Beaucoup de gens décident d'accueillir mais ignorent ce que ça signifie concrètement. Il suffit de revenir à l'image de l'enfant de rue pour avoir la solution. Entre chez moi, tu es le bienvenu, tu as ta place. De plus, il est essentiel de rester présent avec lui. C'est notre Présence aimante qui l'accueille. Autrement dit, j'accepte la présence de mon émotion quelle qu'elle soit, sans aucun jugement. Je ne la repousse pas, je l'autorise à se manifester. Par ma Présence aimante, je suis compréhensif envers mon Enfant et je lui souris.
Il est donc contre-indiqué de rabrouer l'Enfant blessé parce qu'il est en colère ou qu'il boude, autrement dit de nous juger mauvais parce que nous sommes en colère. L'autorité en nous qui rabroue, c'est le Comédien-Juge. Plus on rabroue l'Enfant, plus on le met en insécurité, et plus il devient acariâtre, plus on se sent mal. Combattre le ressentiment lui donne de la force. Je ne cherche pas à repousser mes émotions négatives. Le seul fait d'accueillir l'émotion la transforme. Cela peut aller à l'encontre d'idées reçues très répandues. Par exemple, celle que la colère fait partie de notre tempérament, que c'est dans notre nature, qu'il n'y a qu'à la réprimer, la combattre par le contrôle et la discipline. C'est faux, la colère nait essentiellement de l'enfermement que ressent l'Enfant sous la dictature de son Juge, et non à cause d'une personne extérieure.

J'apprends à distinguer sentir et savoir

Il arrive souvent que des personnes aient des difficultés à faire la différence entre leur ressenti et leur savoir, même si le concept leur parait clair. Cela provient de la mise en place de mécanismes de protection qui nous empêchent de sentir, et également d'un manque d'entrainement. Personne ne nous a appris à sentir et accueillir nos émotions, et surtout pas l'école (voir le dossier Éducation).
Le cas de BERNARD: Bernard se sent très mal, parce que sa femme envisage la séparation. Il identifie facilement un sentiment d'abandon. Lorsque je lui propose de ressentir ici et maintenant ce sentiment qui est présent en lui, il me répond que ce sentiment d'abandon lui est connu depuis déjà quelque temps.
Bernard ne comprend pas ma proposition d'être présent à son sentiment de détresse. Il croit qu'une fois qu'il sait cela suffit pour pouvoir le traiter. Si vous voulez vous occuper d'un enfant chez vous, il n'est pas suffisant de savoir qu'il est là. Vous devez lui porter attention au présent avec vos sens, vos yeux et vos oreilles. De même, porter attention au présent à nos sensations est extrêmement bénéfique à notre amélioration.

Je reconnais mes besoins

Après avoir accueilli nos émotions, la deuxième étape consiste à identifier les besoins qui se manifestent derrière ces émotions et ces sensations. Elles sont le signal qu'un ou plusieurs besoins profonds n'ont pas été remplis. Prenons le cas d'Estelle qui est amère envers sa mère. Cela révèlej'ai besoin qu'on s'occupe de moi, j'ai besoin d'attention et de tendresse. Le sentiment d'abandon deBernard révèle également son besoin d'attention de la part d'une femme.
Souvent, nous ne nous rendons même pas compte de ce besoin. Si nous sommes en colère parce que quelqu'un n'a pas respecté notre espace, immédiatement, nous accusons l'autre. Tu ne me respectes pasCessons de reporter sur l'autre la responsabilité de nos sentiments. Reconnaissons qu'ils expriment notre besoin. Disons je au lieu de tu. J'ai besoin d'être respecté, j'ai besoin d'être tranquille, j'ai besoin d'espace. Cela nous apprend à identifier les besoins de notre Enfant de Vie. Quand nous éprouvons un sentiment de gêne, une émotion négative, nous pouvons également nous poser la question: Qu'est-ce qui me manque pour que je sois satisfait?
Lorsque le besoin est identifié, que faire avec? Allons-nous demander à l'autre de le remplir? Cela peut se produire dans certaines situations si c'est un besoin du présent. Mais ordinairement, ce n'est pas le cas. Par exemple, bien que le besoin d'amour d'Estelle vis-à-vis de sa mère semble actuel, il n'est en réalité qu'un besoin de son passé non assouvi. Et si sa mère actuelle se mêle de le satisfaire, Estelle le refuse. Ce qu'exprime le malaise est la réactivation d'un besoin ignoré du passé, réactivation d'une blessure pas encore guérie. Chercher quelqu'un pour remplir ce besoin n'est pas la solution. C'est en nous que nous trouverons ce quelqu'un, c'est notre Présence aimante. Personne d'autre ne peut le satisfaire. Un peu plus loin, dans la section Soin, je donne quelques indications pour nous occuper des besoins actuels de notre Enfant.
Comment cette Présence aimante peut-elle satisfaire ou désamorcer nos besoins? En les reconnaissant et en acceptant leur existence sans jugement, de la même façon que nos émotions. C'est déjà énorme. D'ailleurs, nous avons déjà initié ce processus. Le seul fait d'avoir accueilli nos émotions est déjà une façon de répondre au besoin primordial de reconnaissance et d'écoute. Accueillir les besoins sans aucun jugement, c'est demander au Juge de se taire. Occupons-nous maintenant de notre Juge qui est un des rôles les plus importants du Comédien.

Je cesse de me juger

En découvrant les besoins de notre Enfant, il est fréquent que nous en éprouvions de la honte et que nous hésitions à prendre soin de lui. Nous nous sentons égoïstes ou ridicules. Mais interrogez-vous: qui, en nous, nous suggère cette honte et cherche à nous détourner de l'Enfant? Nous reconnaissons la voix de notre Juge qui ne veut pas être mis à l'écart. Il demande d'obéir à ses règles de convenance et de ne pas écouter l'Enfant qu'il juge inconvenant. La troisième étape de la résurrection de notre Moi véritable est de cesser d'écouter les injonctions de ce Juge et des autres sous-personnalités issues du système de croyances.

J'abandonne mes vieilles croyances

Nos représentations et croyances ont été forgées dans un contexte particulier du passé et ne sont plus adéquates. Si par le passé, il était légitime de demander à nos parents de nous procurer de la sécurité et de l'attention, ce n'est plus possible. Demander à l'autre de nous donner le bonheur est inaccessible. Penser que l'autre peut nous le donner, penser que nous devons le donner à l'autre sont des croyances qui créent ce qu'on appelle en psychologie la co-dépendance. C'est seulement nous-mêmes qui pouvons créer notre bonheur, en abandonnant ces croyances et en écoutant notre Enfant de Vie.
Observez vos fonctionnements et détectez les croyances qui les sous-tendent. Cela vous permettra de vous distancer d'elles, puis de les transformer. Le facteur de transformation le plus puissant est de cesser de vous juger, même si vous sentez que vous n'êtes pas parfait. Chaque fois que nous éprouvons de la honte, du remords, du regret, que nous nous trouvons stupides, trop ceci ou pas assez cela, nous nous jugeons. Autrement dit nous estimons que nous aurions dû être autrement. Chaque fois que vous hésitez à reconnaitre votre besoin intérieur, chaque fois que vous en avez honte, demandez-vous quelle est la croyance qui se profile derrière cette hésitation et vous dicte qu'il ne faut pas vous occuper de votre Enfant.
Lorsque nous découvrons toutes nos croyances, il se peut que nous soyons affolés et nous avons tendance à trouver que notre Juge est mauvais et détestable. C'est encore un jugement basé sur une croyance. Comme pour les émotions négatives, la solution n'est pas de rabrouer le Juge, cela renforcerait les conflits et les coupures intérieures. Le Juge a été d'un grand secours pour notre survie en son temps. Nous pouvons le remercier, lui dire qu'il a terminé son service, l'inviter à partir ou à se mettre au service de notre Enfant, comme un domestique qui ne nous est plus utile.

Je me pardonne. J'apprends à m'aimer

Cesser de se juger, c'est accepter totalement d'être ce que nous sommes et ce que nous avons été. Une autre façon de le dire, c'est d'être tolérant, indulgent pour notre Enfant.
Attention, cela ne signifie pas que nous devons rester complaisants avec nos dysfonctionnements. Il est bien sûr indispensable d'avoir un idéal de croissance et de perfectionnement. Mais nous nous rendons compte que nos prétendues "fautes" ne sont que le fruit de l'ignorance. Nous comprenons que nous n'avons pas fait de "bêtises". Nous expérimentons avec notre conscience du moment. Nous faisons pour le mieux avec ce que nous sommes, nous tâtonnons, nous sommes en apprentissage.Chaque expérience, chaque vécu fait évoluer un peu plus notre conscience, et peu à peu nous nous développons, même si c'est par des chemins quelquefois bizarres.
Lorsque l'enfant perdu de la rue se met en colère, ou casse quelque chose, nous reconnaissons là le symptôme de sa souffrance et nous avons de la compassion. Lorsqu'il est de bonne volonté mais se trouve incapable de nous dire ses émotions ou ses besoins, ou de faire ce que nous lui suggérons, nous lui pardonnons sa maladresse, car nous savons qu'il est en devenir. Faites de même avec votre Enfant, avec vous-même. Soyez bienveillant avec vous-même, soyez indulgent. Nos parties ombrageuses telles que le Juge et d'autres sous-personnalités ressemblent à des enfants mal-aimés, coupés de l'amour et de la lumière. Ils ont besoin d'être pardonnés.
Le pardon, c'est cesser de se juger. Ce n'est pas oublier nos fautes ou passer par dessus, c'est réaliser profondément qu'il n'y a pas eu de fautes. C'est être bienveillant, avoir de la compassion. C'est s'aimer soi-même. En nous pardonnant, nous reconnaissons que nous sommes quelqu'un d'estimable qui mérite l'amour et la joie. Donnons-nous cet amour.

Je prends soin de mon Enfant de Vie

Dans les étapes précédentes, nous avons essentiellement porté notre attention sur notre Enfant blessé. Dans la quatrième étape, nous allons nous occuper de notre Enfant Libre, l'aider à prendre sa place et l'encourager à manifester sa joie de vivre.

Je repère les moments de bonheur

C'est par le malaise que nous avons été conduits vers notre Enfant blessé et abandonné. C'est en repérant nos moments de bonheur que nous reconnaitrons notre Enfant Libre. Chaque fois que nous sommes alignés avec notre Enfant Libre, nous éprouvons de la joie. Elle peut prendre diverses formes: paix, satisfaction, bonheur tranquille, enthousiasme, pétillement, sensation d'expansion. Chacun d'entre nous a eu l'occasion de vivre de tels moments, même si cela a été très fugitif. Nous avons tendance à les oublier, cependant un peu d'introspection et d'attention va les faire ressurgir.
Faites le catalogue de ce qui vous fait du bien. Rappelez-vous les moments où vous avez ressenti du plaisir de vivre, où vous avez oublié vos conditions de vie. En analysant quels étaient les ingrédients de ce moment de joie, vous saurez ce que demande votre Enfant de Vie. Cela peut être quelque chose de très simple. Vous pouvez vous souvenir de moments de bonheur de votre vie présente, ou des moments de votre passé, de votre enfance. Prenez le temps de vous arrêter sur ces souvenirs, pour les ancrer et les nourrir.
Bernard: C'est quand je suis dans la nature. J'ai un jardin chez moi, et je cultive des palmiers; j'aime le moment où l'arbre fructifie. Et ça se voit dans le ton qu'il prend pour le raconter. Il s'anime, devient vivant et pétillant.

Je me fais du bien

Lorsque vous avez repéré les circonstances où vous êtes bien, demandez-vous quelle part vous leur accordez dans votre vie actuelle. Puis-je consacrer plus de temps pour nourrir mon Enfant? Qu'est-ce qui me fait du bien? Écouter de la musique, me promener dans le bois, dessiner, bricoler, escalader, rendre visite à un ou une ami(e), recevoir un massage. Reconnaissez le plaisir qui est associé à cette activité. Il n'y a pas forcément besoin de lui accorder beaucoup de temps. Le plus important est d'y apporter de l'attention, même si c'est bref.
Il se peut que le Juge pointe son nez en vous suggérant qu'en vous occupant de vous, vous êtes égoïste. Sachez que ce n'est pas de l'égoïsme. C'est être attentif à votre Enfant de Vie. Vous avez le choix entre vous nier pour répondre aux demandes des autres en restant malheureux, ou être juste avec vous pour vous épanouir et être capable de rayonner paix et amour autour de vous. L'idée importante est qu'au lieu d'aller chercher à l'extérieur quelqu'un qui nourrisse votre Enfant, vous avez la possibilité, au moyen de votre Présence Aimante, de le nourrir vous-même. Ceci n'entraine pas que vous vous trouverez seul, mais au contraire que vous attirerez de plus en plus de personnes aimantes dans votre entourage. Écartez la croyance que les gens qui vous aiment sont là pour répondre à vos besoins, mais acceptez leurs dons avec joie.
Vous pouvez aussi intensifier ce processus par des techniques thérapeutiques spécifiques qui visent à renforcer l'Enfant de Vie dans sa vitalité, dissoudre les blessures de l'Enfant blessé et les cuirasses musculaires correspondantes. Par exemple des visualisations ou des massages et exercices corporelsen psychologie biodynamique. D'autres pratiques sont citées ci-dessous.

Je favorise l'expression de mon élan de Vie

Vous avez consolé l'Enfant en vous, il se sent reconnu et aimé. Ses pleurs ont séché. Que fait un enfant réel dans ce cas? Il ne pense plus à son passé douloureux. Il manifeste sa joie et a envie d'aller participer aux jeux des autres. Il ne cherche pas à contrôler son comportement en fonction de règles de bienséances. Il est créatif et s'exprime sans honte, sans jugement. Autorisez votre Enfant Libre à se manifester de la même façon. Laissez-le exprimer sa joie de vivre.
Soyez avides de tout comme un enfant, soyez avides de Dieu comme un enfant. Ayez l'audace de croire que le monde vous appartient comme un enfant. Ayez l'audace de croire que l'amour est votre dû et aimez comme un enfant en vous laissant bercer le c?ur confiant dans les bras de Dieu en toute innocence. (Ouellet et DeLadurantaye)
Lorsque nous laissons libre cours à notre Enfant de Vie, nous sommes spontanés, nous nous trouvons très légers et à l'aise dans notre façon d'être, nous avons envie de chanter et danser. L'expression spontanée comporte plusieurs volets: laisser s'exprimer notre émotion de joie ou de peine; laisser s'exprimer notre comportement spontané tel que chanter ou sauter si nous en avons envie; oser être sensoriel et sensuel. Et aussi, laisser émerger en nous nos possibilités créatrices, en art, en écriture, en bricolage, en jardinage, ou encore en favorisant des rencontres, des groupes de personnes, etc.
Certaines des personnes qui cherchent à favoriser leur Enfant Libre disent (pour la plupart des hommes): je n'arrive pas à exprimer mon émotion, je ne peux pas pleurer. Un tel désir est encore dans le vouloir, vouloir être quelqu'un d'autre. "Je veux pleurer", c'est comme "je ne veux pas pleurer". C'est l'opposé de l'accueil de ce qui est. Par exemple, si vous sentez une bouffée de chagrin en vous et que vous avez envie de pleurer, peu importe si vos pleurs sont exprimées ou non du moment que vous avez senti le chagrin en vous. Cela suffit pour entendre l'Enfant Intérieur et comprendre son message. L'expression viendra plus tard de façon naturelle.

Lâcher-prise et confiance

Le perspective de lâcher le Comédien et de donner place à l'Enfant Libre fait surgir une nouvelle crainte, celle de l'inconnu. Nos croyances nous avaient permis de mettre en place un système de points de repère bien établis qui semblaient nous apporter la sécurité: la famille, le métier, la sécurité sociale, la maison, etc. Où nous mène notre nouveau guide, l'Enfant libre? Ne risquons-nous pas d'aller dans des voies absurdes, folles, et de nous perdre?
Or, une réflexion succincte révèle que la sécurité des croyances est à la fois illusoire et enfermante. Notre patrimoine peut nous être enlevé et les structures sociales et familiales peuvent s'écrouler. A l'inverse, suivre l'appel de son Enfant, c'est lâcher le bord de la piscine ou de la rive et se laisser emporter par le courant de notre énergie de Vie. Mais où? Peut-être est-ce le vide, peut-être est-ce un piège, peut-être allons-nous tout perdre ou nous noyer? Notre plus grande peur est d'être séparé, de ne plus être aimé.
Aussi, lâcher le Comédien, la Personnalité, c'est ce qu'on appelle le lâcher-prise et c'est un des passages les plus délicats, une expérience majeure. C'est au prix du lâcher-prise que nous découvrons la force du courant de vie, et que bien loin de rencontrer le vide, nous ouvrons la porte à une plus grande puissance de nous-même, à une autre dimension. C'est un acte de confiance, de foi en la Vie. Cette foi peut-être encouragée, car d'autres en ont fait l'expérience et nous la rapportent, de la même façon qu'un voyageur nous rapporte ses récits de voyages.
Renouez avec votre enfant intérieur. Margaret Paul. Éditions Le souffle d'or. Clair, simple et pratique
http://www.spirit-science.fr/doc_psycho/Enfant.html
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Les 7 notes et les 7 chakras et les structures résonnantes du corps

Les 7 notes et les 7 chakras et les structures résonnantes du corps

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Les 7 notes et les 7 chakras

Même si la localisation d'une note ne se manifeste pas avec précision, le phénomène de correspondance entre le corps et les notes est suffisamment remarquable pour qu'on puisse s'interroger sur le mécanisme qui le produit. Est-ce un effet semblable à la résonance physique? Nous avons vu plus haut que des objets pouvaient entrer en résonance lorsqu'ils sont touchés par un son. Et j'ajoute: ou chaque fois qu'ils sont mis en vibration de façon mécanique. C'est ainsi qu'une cloche sonne lorsqu'on la frappe d'une façon particulière et une corde de violon sonne lorsqu'on la frotte d'une façon particulière. Le son émis par la corde dépend de sa longueur, mais aussi de sa matière. De même les petites cloches émettent des sons aigus tandis que les grosses cloches émettent des sons graves. Ils sont d'autant plus graves que la matière est dense.
Aussi demandons-nous si notre corps ne recèle pas des structures musculaires ou osseuses équivalentes à de petites cloches légères dans le haut et de grosses cloches compactes dans le bas. A ma connaissance, rien de cela n'existe. Bien au contraire, alors que les muscles et os ont à peu près la même consistance dans le haut et le bas du corps, chacun ressent les résonances s'étager en gros de la même façon, qu'il soit lourd, dense et grand, ou petit, léger, aérien, homme ou femme. Cela n'est donc pas uniquement un phénomène physique. Or le corps est sous-tendu par un emboitement de corps subtils et un réseau de chakras. Ce sont les chakras qui semblent correspondre à ces structures résonnantes. Les chakras sont des structures énergétiques associées à des régions de notre corps qui régulent les principales fonctions du corps . Il faut également prendre en compte que chakras et corps subtils sont reliés à l'environnement et à l'univers et non pas des structures isolées, et que de plus tout cela est influencé et modulé par notre mental .
L'étagement des résonances dans le corps en fonction des hauteurs de notes se retrouve logiquement dans les chakras. La gamme de 7 notes se déploie sur les 7 chakras, du DO au niveau du chakra racine au SI au chakra de la couronne. La tradition indienne en a fait une méditation connue sous le nom de Sapta Swara qui veut dire [méditation des] 7 notes. Toutefois, ces notes ne sont pas fixées en hauteur absolue. Le LA défini par une fréquence, par exemple 440 hertz ou une autre valeur, est une notion moderne. Autrement dit on peut sentir que la note convenable du bas n'est pas obligatoirement un DO moderne. C'est pourquoi dans le tableau ci-dessous, j'adopte la notation indienne SA, RI, etc. qui est relative . De même, la gamme n'est pas obligatoirement la gamme majeure occidentale. Les notes peuvent appartenir à un autre mode, c'est-à-dire comporter des dièses et des bémols .

Marie-Louise Aucher et la Psychophonie

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Résonances sonores dans le corps selon Marie-Louise Aucher(schémas extraits de "En Corps chanté")
Cantatrice et professeur de pose de voix, Marie-Louise Aucher chantait dans une église dans les années 1960, accompagnée aux orgues, quand elle s'aperçut que chaque note de forte intensité résonnait à un niveau particulier de son corps. Approfondissant sa découverte, elle en vint peu à peu à construire le schéma de la figure ci-contre qui donne la correspondance entre les notes et l'étendue verticale du corps.
On constate que la localisation de la résonance sonore monte au fur et à mesure que les notes deviennent plus aigües. Ces localisations sont identiques pour tous, hommes et femmes.L'échelle sonore du corps humain s'étend sur 4 octaves, du DO2 qui résonne aux pieds, au DO6, qui résonne au sommet de la tête (pour le nom des notes,. On peut aussi percevoir 3 autres octaves au-dessus de la tête correspondant à nos dimensions spirituelles. M.L. Aucher découvre que ces localisations correspondent exactement aux points d'acuponcture du vaisseau gouverneur, ce qui est absolument remarquable.
Expérimentant plus loin, M.L. Aucher constate que tout son intense, et pas seulement celui des orgues a le pouvoir de produire des résonances dans le corps, et particulièrement la voix humaine. En gros, l'étendue de la voix masculine produit des résonances allant des pieds aux épaules, tandis que les femmes émettent les notes allant du sacrum au haut de la tête. C'est à partir de ces observations que M.L. Aucher a développé sa méthodologie d'harmonisation physique et psychique par la voix, lapsychophonie.

Résonances multiples

Ces résultats ne sont-ils pas contradictoires avec l'expérience décrite plus haut, à savoir une gamme étagée du ventre à la tête? J'ai envie de vous dire: faites-en l'expérience et concluez. Peut-être êtes-vous bien éduqués à penser qu'il n'y a qu'une seule réponse juste et que l'une exclue l'autre? Et bien non, il peut y avoir plusieurs réalités superposées et les deux phénomènes coexistent. Car la résonance est un phénomène complexe. Un son ne résonne pas à un seul endroit du corps. Il peut avoir une résonance principale et des résonances secondaires, ou des régions entières de résonances. Un son peut lui-même comporter plusieurs sons partiels, en particulier des harmoniques qui créent des résonances multiples. En réalité, chez les chanteurs expérimentés (pas forcément professionnels), donc lorsqu'on a acquis une bonne conscience de la place des appuis de la voix dans le corps, le son résonne partout et semble émaner du corps entier. Tout le corps vibre à la manière d'un gong ou d'un tambour.

Les voyelles et les chakras

Voici une autre expérience. Je vous propose de chanter éééé comme précédemment, sur une note fixe dans votre registre moyen, autrement dit proche de votre voix normale. Maintenez ce son. Puis doucement, vous changez la voyelle et vous la maintenez sur la même note que la précédente. Vous passez successivement par les sons é, a, o, ou, u, i, è, mm. Constatez où cela résonne dans votre corps.
Les localisations des vibrations dans le corps changent avec les voyelles prononcées. Tout en gardant à l'esprit le phénomène des résonances multiples, on remarque que les voyelles aaaaoooo,éééé résonnent plus dans le grave ou le bas médium, tandis que les voyelles telles que èèèè et iiiirésonnent dans le haut du corps. Or la différence de son entre les voyelles réside dans leur timbre, autrement dit leur composition en harmoniques . On peut dire que les résonances sonores corporelles varient en fonction de la composition en harmoniques.
Ces phénomènes sont d'ailleurs connus depuis longtemps. Par exemple, T. Michaël rapporte les correspondances entre les sons et les chakras selon la tradition indienne dans un texte ancien deMinanatha du 7e siècle de notre ère. Ces correspondances ne sont pas uniques et peuvent varier légèrement d'un texte à l'autre. Dans un autre texte de Purnananda au 16e siècle, on trouve des correspondances avec des syllabes autres que des voyelles: LAM, VAM, etc. qui différent par le son avec lequel on attaque le A.
M.L. Aucher a su en redécouvrir certains aspects et les redonner à notre civilisation qui les avait abandonnés. D'autres expérimentateurs et enseignants en France et ailleurs ont apporté leur collaboration à cette recherche (M.L. LabontéR. Prasad, etc. - voir le tableau).
ChakraRacineHaraPlexus
solaire
CoeurGorgeConscienceCouronne
Emplacement
approximatif
Organes
génitaux
NombrilPlexus
solaire
Cœur Gorge Entre les
sourcils
Sommet
de la tête
Les 7 notesSARIGAMAPADHANI
selon MinanathaAOUMM
selon
M.L. Labonté
OAÈIMM
selon
R. Prasad
AOÉI
selon PurnanandaLAMVAMRAMYAMHAMOMSilence

Résonances vocales corporelles et imaginaire

Chantez un aaaa à une hauteur déterminée, moyenne. Puis, en le chantant, imaginez que vous envoyez ce son dans la poitrine, et sentez avec vos mains. Puis la même chose avec l'intention d'envoyer le son dans la tête. Puis dans le ventre.
Les résonances changent de localisation dans le corps même en conservant la même hauteur et la même voyelle. Cela indique entre autre qu'il faut se garder d'avoir à l'esprit un schéma trop simpliste et trop rigide sur les correspondances. En fait le pouvoir de l'intention, encore nommée pensée, image mentale, imaginaire, est extrêmement grand et suffit à provoquer des effets notables dans le corps.
A l'écoute, on remarque que les trois aaaa chantés avec les trois intentions différentes n'ont pas la même couleur, pas le même timbre. Il ne sera pas forcément facile au chanteur de s'en rendre compte, toutefois ce sera évident pour une autre personne qui l'écoute attentivement. Le aaaaplacé au ventre a une sonorité plus profonde, plus grave que celui de la tête qui semble plus léger, alors qu'ils sont tous les deux à la même hauteur. Ce qui est plus grave ou plus aigu, ce sont les composantes harmoniques du son. Le changement de placement des résonances produit des harmoniques différentes.

La voix, instrument de bien-être et d'harmonie

Implicitement nous nous imaginons sans trop y porter attention que le son est produit par les cordes vocales et émis par la bouche. C'est en partie vrai puisque la bouche est l'organe de l'émission sonore. Cependant la vibration sonore, lorsqu'elle est guidée par l'intention, s'étend à tout le corps qui l'amplifie à la manière d'une caisse de résonance, et l'émet comme un instrument de musique."Celui qui chante bien fait de tout son corps une sorte d'instrument extraordinaire, qui se prend à vibrer par un appui total du larynx sur la colonne vertébrale. De ce fait, c'est la colonne qui chante, et qui en chantant, fait vibrer tout le corps, notamment les os du crâne. Le son vrai sort de partout et non pas seulement de la bouche." (Alfred Tomatis)
La qualité des sons émis par le chanteur dépend de la facilité et de la liberté avec laquelle résonnent les zones correspondantes de son corps. Cela se manifeste dans le timbre, la couleur de ces sons. Par exemple, ils peuvent paraitre plus fades, criards, éteints, agressifs, etc. si la "caisse de résonance" corporelle est encombrée de blocages musculaires et mentaux. En somme, notre voix est le témoin de notre état physiologique et psychologique.
Réciproquement, chanter ou émettre des sons tels que des voyelles ou onomatopées, sans forcément rechercher la justesse ou l'exécution conforme d'une œuvre connue, est une façon de masser, réveiller, harmoniser les tissus endormis, rigidifiés, encombrés ou privés d'énergie. Dans le domaine de la mécanique, il est habituel de nettoyer de petites pièces métalliques en les plongeant dans l'eau et en les soumettant à des ultrasons. Cela prouve bien que le son agit fortement sur la matière, en particulier sur notre chair. Le chant est en quelque sorte une thérapie douce et sans danger, d'autant plus efficace que le chanteur travaille dans le but de faire résonner sa voix dans tout le corps.
Dans la tradition religieuse indienne, on utilise de petits chants appelés mantras, destinés à opérer un nettoyage du corps et une purification mentale. Par la vibration juste, le chant réaccorde l'instrument corporel et lui restitue son harmonie. La maladie est décrite comme la perte de cette harmonie sonore. Le Cosmos entier se manifeste en un certain nombre de mantra: l'Univers est sonore [...]. Un mantra est un symbole dans le sens archaïque du terme: il est en même temps la réalité symbolisée et le signe symbolisant. Il existe une correspondance occulte entre, d'une part, les lettres et les syllabes mystiques et les organes subtils du corps humain, et d'autre part entre ces organes et les forces divines endormies ou manifestées dans le Cosmos. En travaillant sur un symbole, on "réveille" toutes les forces qui lui correspondent, à tous les niveaux de l'être. (Mircea Eliade, Le Yoga, 1983)
Cette connaissance est remise en honneur et renouvelée par des enseignants contemporains dans un langage adapté à notre civilisation occidentale et moderne. Toute la manifestation cosmique commence par le Son primordial incréé. Tous les autres éléments qui composent la structure de l'univers sont un dérivé vibratoire du son, jusqu'à ce que nous en arrivions à la fréquence vibratoire la plus dense, l'élément terre. L'univers entier tourne autour d'une grande symphonie cosmique de pulsation vibratoire incessante qui émane de la divine Octave directrice à partir de laquelle tout est recréé, s'étend et se transforme à l'infini. [...] La maladie n'est qu'une perte de fréquence [de vos systèmes corporels], et rétablir la tonalité signifie retrouver le bien-être et l'harmonie. (Ramathis-Mam, Révélations d'Arcturus, 2004)
Sentir et ressentir les résonances dans notre corps est une capacité qui peut être développée par l'attention et l'entrainement. Notre sensibilité s'accroit alors progressivement et cela a des conséquences positives dans tous les domaines de notre vie. La capacité à sentir les résonances corporelles nous amène à l'écoute de nous-même, à l'écoute de notre enfant intérieur et de nos besoins profonds, qui est la porte ouverte pour entrer dans des dimensions plus subtiles de notre être. © Copyright 2006 - Alain Boudet
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Les sons et les couleurs des chakras

CouleursChakras

Localisation des 7 chakras principaux
Les chakras ont une correspondance avec des couleurs et des sons.
Par exemple, lorsque vous émettez un son, vous pouvez vous rendre compte qu'il résonne dans votre corps. Si vous en faites varier la hauteur, vous sentirez que les sons graves résonnent dans le bas du corps, et les sons aigus dans le haut du corps. On peut faire le même genre d'expérience avec les voyelles. La voyelle O, un peu sombre, résonne plus bas que la voyelle I qui est composée d'harmoniques aigües. Aussi, les chakras sont-ils en résonance avec certaines hauteurs de son et certaines voyelles.
De façon analogue, les chakras résonnent à certaines couleurs. C'est une expérience courante, chez certains et plus souvent certaines d'entre vous, qu'un jour, vous avez envie de vous habiller d'une couleur, et un autre jour d'une autre. Quelquefois, ce choix exprime ce qu'on veut paraitre, pour plaire. Ou bien il est le reflet de notre état émotionnel, triste ou dynamique. Le choix de la couleur provient de notre inconscient profond. Souvent, il traduit le besoin du corps d'être nourri par une certaine vibration colorée. Ainsi, si vous manquez de dynamisme, vous aurez peut-être tendance à vous habiller d'une couleur de feu.
Les chakras, pour être en bonne santé, ont besoin d'être nourris de lumière, avec les couleurs qui correspondent à leur fonction. Par exemple, le chakra de la base demande la couleur rouge, couleur de l'incarnation. Nous pouvons bénéficier de ces couleurs en visualisant que chacun des chakras, successivement, est baigné de la lumière colorée correspondante, devant, derrière et sur les côtés
Traditionnellement, les couleurs qui nourrissent les chakras, celles qui sont associées à leurs vibrations, s'étagent selon les couleurs du spectre solaire: rouge (base), orange (hara), jaune(plexus solaire), vert (cœur), bleu clair (gorge), bleu-violet (troisième œil), violet (couronne) et le blanc qui en est la synthèse.
Toutefois, ces couleurs peuvent varier d'un individu à l'autre. Au fond, un chakra peut demander à recevoir plusieurs couleurs. Étant de nature multidimensionnelle, il peut demander une couleur à un niveau et une autre couleur à un autre niveau. Enfin, les couleurs sont sujettes à changement, dû aux changements énergétiques de la planète et de l'humanité. Ainsi, on peut peut-être s'apercevoir que le chakra couronne demande du blanc. En réalité, chacun est donc invité à se laisser guider selon son inspiration et son affinité.
 La lecture et la prononciation du verbe divin eveil les chakras et les ouvres pour laisser penetrer la lumière divine qui purifiera le corps de son quotidien pour renforcer son aura contre les attaques quotidienne et nocturnes des entités néfastes ,imaginé le corps créait par Dieu qui reçoit les codes divins il est evident que la vibration n'a pas d'equivalent sur terre ......
source http://rustyjames.canalblog.com/archives/2016/02/02/33308881.html
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les coups de coeur

Maître

de Sagesse

Auteur Un-connu

Si tu te contentes de boire l'eau de mon puits, demain tu mourras de soif, soit parce que j'ai fermé la porte, soit parce que je suis en voyage.

Si tu veux étancher ta soif, creuse ton terrain et tu trouveras la source car elle est en toi.

Creuse ton puits, ainsi tu auras toujours de l’eau partout où tu iras.

Le puits est en toi,

la source est en toi.

Cherche et tu trouveras le trésor qui t’enrichira.

N’oublie jamais que celui qui compte sur la richesse d’autrui est semblable à celui qui fait un beau rêve dans lequel il reçoit beaucoup d’argent, et qui constate au réveil que sa poche est vide. Le bien des autres est pour nous comme la fortune d’un rêve.

Cherche en toi et tu trouveras.


CRÉER DE LA LUMIÈRE À PARTIR DE RIEN

A sa manière, Raymond Devos avait eu l’intuition de la nature ambiguë du vide, en expliquant dans un sketch que « rien … ce n’est pas rien. La preuve c’est qu’on peut le soustraire. Exemple : Rien moins rien = moins que rien ! Si l’on peut trouver moins que rien c’est que rien vaut déjà quelque chose ! On peut acheter quelque chose avec rien ! En le multipliant. Une fois rien … c’est rien. Deux fois rien… c’est pas beaucoup ! Mais trois fois...


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LE POINT ZERO ET CHAMP AKASHIQUE

Le champs de Cohérence akashique Les mystiques et les sages nous informent depuis longtemps qu’il existe un champ cosmique reliant tout à tout au plus profond de la réalité, un champ qui conserve et transmet l’information, connu sous le nom de «champ akashique». De récentes découvertes en physique quantique indiquent: celui-ci est réel et il a son équivalent dans le champ du point zéro qui sous-tend l’espace comme


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LES CHAMPS DE TORSION PRODUIT PAR LA CONSCIENCE EST LA CLÉ DE LA « THÉORIE DU TOUT »

Les champs de torsion, la clé de la « Théorie du Tout » incluant la conscience On attribue généralement la première recherche concernant la découverte du « champ de torsion » appellée aussi « 5ème force ou élement », au russe le Pr Mychkine dans les années 1800. C’est un collègue d’Einstein, le Dr Eli Cartan qui a le premier appelé cette force champ de « torsion »

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LA LUMIÈRE D APRÈS L'ARBRE SÉPHIROTIQUE

D’après la tradition Kabbalistique, la lumière est née dans Ain Soph Aur (Lumière illimitée), qui lui-même est né dans Ain Soph (L’infini), qui lui-même est né dans Ain (Vide absolu). Cette lumière illimitée se manifeste comme une étincelle...


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LA MEDECINE LUMIERE -1

La Médecine Lumière Commençons par quelques définitions: Qu'est ce qu'est la médecine: La médecine de type occidentale est la science et la pratique étudiant l'organisation du corps humain (physique, qq fois psychologique), son fonctionnement normal, et cherchant à le restaurer la santé par le traitement,.


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LE LIVRE DE NOE OU LA MEDECINE INDIENNE

Originaire de l'Inde, la médecine Indienne, ou médecine orientale, est un système médical complet et cohérent, tout comme le sont la médecine occidentale ou la Médecine traditionnelle chinoise, par exemple. Il est considéré comme le plus ancien système médical de l'histoire humaine. La tradition indienne fait remonter ses débuts à 5 000 ans, même 10 000 ans. Toutefois, les écrits sur lesquels repose ce savoir médical..

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LA TRADITION PRIMORDIALE -2

Tradition Primordiale et Torah de Sion : Aux source de la Kabbale Originelle. Mission d’un Peuple Élu pour la réaliser Les premières questions que nous poserons dans cet exposé, sont les suivantes: Y a-t-il véritablement une Mission d’Israël parmi les Nations ? La réponse est catégoriquement: Oui! Et elle ait été préfigurée par le Patriarche Abraham, ancêtre du peuple d’Israël, et des Juifs, à qui Dieu promis la Terre d’Israël en Héritage...
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L ÂME HUMAINE, SELON LA PHYSIQUE QUANTIQUE

Boris Iskakov est né le 14 novembre 1934 à Magnitogorsk. En 1957, il a achevé ses études à l’Institut de techniques physiques de Moscou. Auteur de la théorie des réactions en chaîne dans l’économie, il a consacré une série d’ouvrages à l’application des méthodes mathématiques en agriculture. Docteur en économie, Boris Iskakov étudie depuis quelques années les méthodes statistiques et quantiques servant à modéliser les processus qui s’opèrent...
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LE CORPS RÉCEPTEUR DE VIBRATION ELECTROMAGNÉTIQUE

La médecine occidentale est une médecine symptomatique, qui s’intéresse plus aux conséquences qu’aux causes. L’approche réductionniste de la médecine occidentale Les médecins aujourd’hui sont éduqués pour répondre de façon chimique à une extraordinaire diversité de symptômes, dont la plupart procèdent de mécanismes ...




LE TEMPS QUANTIQUE DANS LA KABBALE 2

Lumière Sans Fin (Ohr Ein Sof) et Récipient Primordial : la Vraie Réalité La réalité du 1% Toute cette réalité où, souvent, vous avez l’ impression de marcher sur une route qui ne conduit vers nulle part, où vous faites l’expérience de l’exil intérieur, de la relativité de tout, du manque de points de référence absolus, la Kabbale l’appelle la réalité du 1%. C’est une réalité où justement existent le temps, l’espace, le mouvement, ce qui...

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LUNE DE SANG, LA FIN ET LE DÉBUT DE NOUVEAU TEMPS

Lune de sang Le livre de la Genèse dit que DIEU utilise le soleil, la lune et les étoiles pour des signes et les saisons. De tels exemples peuvent être trouvés dans la Bible, d ailleurs le calendriers juifs et basé à la fois sur le calendrier solaire et lunaire. Or il va apparaitre ces années des Eclipses 2014 et 2015, pendant les fêtes juives appelées les Tetrades, au cours desquelles, à chaque fois, il s’est passé un évènement...

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À la différence de l’espace, le temps est une dimension incontrôlable. Qu’on le veuille ou non, la flèche du temps semble dirigée invariablement vers le futur. « Nous ne nous baignons jamais deux fois dans le même fleuve », précisait Héraclite. Plus de deux millénaires se sont cependant écoulés depuis cette affirmation du philosophe grec. Aujourd’hui, à l’heure de la science atomique et de la conquête spatiale, notre regard sur le cosmos...