La médecine occidentale est une médecine symptomatique, qui s’intéresse plus aux conséquences qu’aux causes.
L’approche réductioniste de la médecine occidentale
Les médecins d’aujourd’hui sont éduqués pour répondre de façon chimique à une extraordinaire diversité de symptômes, dont la plupart procèdent de mécanismes physiopathologiques assez bien élucidés par la médecine mais fournissant ainsi – parfois à tort ! – un semblant d’explications auto-suffisantes. Cette démarche ne pousse pas les praticiens à rechercher les causes plus lointaines des maux dont se plaignent les patients qui les consultent
Schématiquement, cette approche par la médecine actuelle peut être qualifiée de « réductionniste », par opposition à l’approche « holistique » que nous préconisons.
Même ceux qui ont cette approche globale n’ont pour la plupart pas pleinement compris le rôle joué par l’électrosensibilité dans les troubles de santé dont ils s’occupent. Cela est dû, en grande partie, au déni de cette réalité par le monde médical universitaire et hospitalier mais aussi, il faut bien le reconnaître, à une grande inculture et une morne incuriosité !
L’électrosensibilité
Les ondes du brouillard
électromagnétique qui nous environne ne sont pas les seules responsables des maux dont souffre une grande partie de la population. Ces troubles de la santé, de plus en plus fréquents aujourd’hui, ont pour moi une autre origine, reliée à la précédente. Celle du signal électromagnétique des différentes matières et matériaux que nous portons sur nous ou en nous et qui induit une cascade de désordres sanitaires allant de l’insignifiant jusqu’au dramatique.
Toute matière émet
un signal électromagnétique. Tout ce qui nous entoure, tous les objets dont la température est supérieure au 0 degré absolu émet un tel signal, dont les caractéristiques physiques dépendent de la matière émettrice.
Des centaines de milliers de personnes en France et en Europe, des millions dans le monde, souffrent à leur insu – et de façon trop souvent dramatique – des incompatibilités électromagnétiques aux matières. Il s’agit d’une autre forme de l’électrosensibilité que celle généralement abordée dans d’autres ouvrages. En plus d’une vision conventionnelle de l’électrosensibilité, il existe une autre problématique méconnue dans tous ses aspects.
Les zones aveugles du réductionnisme
L’establishment médical réagit toujours avec beaucoup de rigidités à ce qui ne vient pas de lui. Une information novatrice, inattendue, bousculant les schémas mentaux balisés, se heurte aux habitudes, aux croyances admises, aux conforts intellectuels. Qu’il s’agisse de congruence cognitive ou de résistance au changement, lorsqu’une idée nouvelle arrive, on tend souvent à l’ignorer, à la refouler, à l’anesthésier… À privilégier le connu à la découverte. Et l’information inédite ne délivre son message qu’avec retard ou jamais.
Aux états unis dans un de ses rapports le NIH, (un des instituts nationaux de santé) il est dit que le bio-électromagnétisme sous-tend la chimie d’une manière essentielle, les réactions chimiques étant induites par des forces électromagnétiques.
Dans un autre rapport de IEEE, (Intitute of Electrical and Electronics Engineers) il est procédé à une étude de 25 années de recherche pour comprendre le fonctionnement des mécanismes cybernétiques par lesquels les cellules harmonisent leur activité Elles utiliseraient des circuits électromagnétiques spécifiques pour transmettre des informations qui stimuleraient des circuits chimiques.
électrosensibilité
Nous savons aujourd’hui, et de la manière la plus scientifique, qui soit que
le corps humain a une réalité électrique et magnétique. Ce faisant, il est également un système ouvert à des informations vibratoires, soumis aux influences de son environnement électromagnétique. Notre corps fonctionne ainsi comme un récepteur radio qui peut « grésiller » lorsque les ondes qu’il reçoit sont incohérentes avec son propre système oscillatoire. Ces informations électromagnétiques « dissonantes », lorsqu’elles sont permanentes, présentes depuis des années, qu’elles soient émises de l’intérieur de notre corps, dans notre bouche par exemple, ou en provenance de l’extérieur, comme les ondes des pollutions électromagnétiques environnementales ou des matières que nous portons sur nous, peuvent avoir de fâcheuses conséquences sur notre santé. Ces conséquences, insoupçonnées, peuvent être graves, voire dramatiques.
Aujourd’hui le poids des preuves scientifiques concernant le rôle de l’électromagnétisme dans le fonctionnement de la matière vivante est en train de bouleverser les préjugés de la médecine officielle.
Depuis des années, j’ai reçu des milliers de patients souffrants de ces nuisances à mon cabinet. Les tests que j’ai pratiqués sur eux ne laissent aucun doute sur l’origine électromagnétique de ces phénomènes de douleurs, de blocages, d’interférences Je rappelle que ces tests sont issus d’une discipline de la médecine officielle, la posturologie, enseignée dans nos universités.
L’esprit de doute, la rigueur scientifique, l’esprit cartésien, ne sont pas l’apanage des instances médicales universitaires. Ce que la médecine officielle appelle volontiers « charlatanisme » n’est souvent en réalité que le fruit de sa propre ignorance, en tout cas dans la problématique de l’électrosensibilité dont je m’occupe.
Le paradigme de la médecine officielle s’appuie sur une vision essentiellement chimique et biochimique des sciences de la vie. Depuis longtemps, de nombreux physiciens tentent d’avertir les biologistes en leur disant que beaucoup de leurs concepts étaient obsolètes. L’ensemble des chercheurs hospitaliers et universitaires n’ont pas intégré la révolution culturelle épistémologique, ouverte par la physique des ondes, des énergies. Ils sont encore dans l’ancien monde. La plupart présente une véritable muraille de Chine devant ces nouvelles idées, issues pourtant d’une science on ne peut plus fondamentale. Il est exact vrai que la vision purement chimique du fonctionnement de la santé présente un intérêt financier évident pour l’ensemble des systèmes économiques impliqués dans ce que j’appelle – et nous sommes de plus en plus nombreux à le faire – les « industries de la maladie ».
Symptômes
Si l’on fait l’inventaire de l’ensemble des soucis de santé susceptibles d’être reliés à un « trouble des ondes », voilà les symptômes que l’on rencontre, dans l’ordre et le plus fréquemment, partiellement ou complètement.
Cervicalgie, lombalgie, Fourmillements dans les mains ou les jambes, sensation d’instabilité (vertiges), tension au niveau des trapèzes, douleur (hyperalgie) de l’épaule, palpitations cardiaques, tendinites et capsulites, sensation de « pression dans le crâne », fatigue chronique, mauvais sommeil, douleurs musculaires et articulaires, contractions musculaires involontaires (dystonie), maux de ventre, troubles digestifs acouphènes, sensation de « crispation » au niveau mastoïdien ou maxillo-mandibulaire, bruxisme.
Mais l’électrosensibilité peut entraîner une foule d’autres symptômes, parfois conséquence des précédents tels que nausées, gorge « serrée », maux de tête, anxiété, état dépressif, perte d’appétit, malaises, baisse de l’immunité, rougeurs, démangeaisons, irritation oculaire, dyspnées, problèmes vasculaires, sensations de froid ou de bouffée de chaleur, craquements articulaires, troubles visuels, baisse auditive, maladresse, difficulté de langage et de raisonnement, troubles de l’attention et de la mémorisation à court terme, aboulie, perturbation de la vie affective, apathie, isolement social, irritabilité.
Prévalence
En ce qui me concerne, mon échelle d’évaluation repose sur mon expérience personnelle. J’organise régulièrement des formations, fréquentées par des médecins, des ostéopathes, des chirurgiens-dentistes, des opticiens, etc.. On peut considérer que ces « étudiants », généralement d’âge mûr, font partie de milieux sociaux culturels favorisés. J’ai constaté parmi eux qu’au moins deux sur trois présentaient des problèmes d’électrosensibilité dus aux ondes bien sûr, mais aussi très souvent à l’effet informatif des vêtements, des bijoux, de prothèses, ou encore des lunettes qu’ils portaient. La plupart en ressentaient des inconforts parfois très handicapants. Et les problèmes de santé qui était les leurs avaient bien sûr été mis par leur médecin ou par eux-mêmes sur le compte d’autres facteurs et cela bien à tort.
Ainsi, selon moi, les troubles de l’électrosensibilité ne touchent pas 5 ou 20 % de la population. Mais c’est au moins 60 à 70 % des personnes qui sont concernées, monde médical inclus. C’est-à-dire tout le monde, à un moment ou un autre. Nous sommes tous intolérants aux ondes, un peu, beaucoup, passionnément ou à la folie.
La « fibromyalgie », je l’affirme ici, est bien souvent une conséquence de l’électro sensibilité. Il ne s’agit en rien d’une « surpromesse », les faits le prouvent comme je l’explique dans l’un des chapitres suivant. Tout le monde peut l’observer. Ce sera forcément reconnu un jour. Mais en attendant, des centaines de milliers de personnes restent en souffrance. Difficile ainsi, dans ces conditions, de parler de la prévalence de l’électrosensibilité. Quel médecin songera que des douleurs articulaires et musculaires, des « palpitations », des céphalées, des problèmes de « vertige », des troubles de l’équilibre peuvent avoir une origine de nature électromagnétique !
Un grand nombre de symptômes sont ainsi attribués à de « fausses » causes, diverses et variées. Et traitées ensuite de façon symptomatique, généralement chimique, mais avec des résultats largement imparfaits… Quoi de plus normal puisque les vraies raisons restent ignorées.
Les interférences dues à des lunettes, à des matières en bouche ou à des vêtements
Des lecteurs acquis à la cause de l’électrosensibilité, avertis que les ondes issues de nos techniques de communication ultramoderne sont dangereuses pour certains d’entre nous, peuvent s’étonner que j’accuse certaines matières de grande nuisance.
Il faut accepter de comprendre que des signaux électromagnétiques incroyablement discrets peuvent avoir des conséquences profondément délétères chez des personnes sensibles. La nuisance de ces ondes n’est pas obligatoirement question de quantité, c’est aussi une question de qualité. J’ajouterai que ces conséquences sont la plupart du temps au moins aussi graves, sinon plus, que celles engendrées par les seules pollutions électromagnétiques conventionnelles. C’est d’autant plus une certitude pour moi que le nombre de personnes « touchées » par cette problématique « discrète » est bien plus importante !
Des médecins, je pense au professeur Dominique Belpomme, devenu l’un des principaux spécialistes de l’électrosensibilité en France, ont compris que certains métaux situés dans la bouche de leurs patients potentialisaient leur handicap. Il a donc pour habitude de leur faire enlever toutes matières métalliques situées dans la cavité buccale. Il part du principe que ces matériaux font « antennes » aux champs électromagnétiques environnementaux. Et il demande donc à des dentistes de les remplacer par des matières non métalliques. Dans le film « Les sacrifiés des ondes », il dit « Par ailleurs, s’adresser aux corps médicaux, et en particulier aux dentistes, pour leur dire, ne mettez plus d’alliage dentaire métallique car, vous générez ce syndrome, d’intolérance aux champs électromagnétiques, puisque les alliages métalliques que vous mettez dans la bouche de vos patients font antennes lorsqu’ils sont soumis à des champs électromagnétiques. Il ne faut pas que les dentistes posent des matières métalliques dans la bouche de leurs patients. »
Mais ce cher professeur, un pionnier pour lequel j’ai la plus grande estime, fait erreur sur ce point. Il n’est pas toujours nécessaire de retirer toutes les matières métalliques en bouche. Il est vrai que certaines matières métalliques font antenne et réfléchissent un écho électromagnétique dépendant de la nature du métal. L’interférence électromagnétique dépend de la nature du métal. Certaines matières métalliques seront en effet parfaitement supportées, l’écho électromagnétique qu’elles engendrent étant parfaitement compatibles avec le système oscillatoire de leurs patients. Quand on sait ce que cela coûte, le prix de ces soins n’étant pas donné, il est bien d’en avoir conscience.
D’autant que si ces matières sont remplacées par d’autres, non métalliques bien sûr, – comme des zircones, des composites ou des résines – ces nouveaux matériaux peuvent être tout aussi incompatibles, voire même beaucoup plus que celles extraites.
Le même raisonnement s’applique aux montures de lunettes. Attention à la tentation de remplacer toutes les montures métalliques par des montures non métalliques comme des matières synthétiques genre plastiques. Celles-ci malheureusement sont parfois plus handicapantes que les montures métalliques. J’insiste sur le fait que dans les incompatibilités aux lunettes, ce sont les verres qui jouent le rôle majeur dans cette problématique et de façon plus importante que celui des montures. Cela peut paraître surprenant mais c’est une réalité sur laquelle on ne peut pas faire l’impasse. Quand on sait que par les yeux passent des fréquences électromagnétiques qui sont en dehors du spectre de la lumière visible on comprend que l’effet vibratoire de certains verres soit catastrophique quand il y a incompatibilité.
Tous les matériaux utilisés dans la dentisterie moderne sont des composés physico-chimiques complexes, pour lesquels les qualités techniques priment sur les qualités de biocompatibilité. C’est un énorme marché qui représente dans le monde des milliards de dollars mais aussi des milliers d’emplois.
L’expérience et la clinique prouvent que contrairement à ce qu’il est communément admis les matières non métalliques sont largement aussi toxiques que les matières métalliques. Je vois tous les jours à mon cabinet des patients à qui on a enlevé des obturations métal, des couronnes métal, ou céramo métalliques, pour les remplacer par des céramiques pures, des zircones, des résines, ou des composites, et qui en subissent des conséquences parfois désastreuses…
Il est affligeant de lire dans le livre « Vérités sur les maladies émergentes, que l’oxyde de zirconium et la céramique pure sont ce qu’il y a de mieux pour remplacer les amalgames. ». Cela est plus qu’une contre vérité car très souvent ces matériaux ont un effet vibratoire délétère sur la santé de nos patients. J’ai vu des vies saccagées, brisées, à cause d’eux.. Je possède de nombreux témoignages filmés qui peuvent en témoigner. Les céramiques modernes n’ont plus rien à voir avec la céramique de Bernard Palissy (celui qui l’inventa il y a plusieurs siècles).
Ce qui est grave, c’est que même dans les milieux de la dentisterie holistique ces choses-là sont mal comprises. Celle-là d’ailleurs la force de la communication et du marketing, de formater des esprits pour qu’ils prennent pour argent comptant des affirmations qui n’engagent que ceux qui y trouvent un intérêt financier.
Solutions : savoir tester
Tester est un acte délicat, dont les résultats peuvent être faussés par une multitude de facteurs. Un test seul ne peut suffire à tirer une conclusion. Certains se font au contact, d’autres à distances pour ne pas influencer le résultat par sa proximité vibratoire…
Il existe une grande quantité de tests posturaux. Je n’évoquerais dans ce chapitre que des tests très faciles a réaliser et permettant de mettre en évidence très facilement ces tensions induites. D’un point de vue médical il s’agit essentiellement de tests « d’amplitude des mouvements articulaires », appelés également tests posturaux.
Je me sers essentiellement de six d’entre eux : la rotation de la tête, le levé de bras latéraux, le levé des bras devant, le levé de jambes et le test de souplesse. Tous signent la présence de tensions sur le système tonique réflexe, en mettant en évidence une amplitude réduite des mouvements articulaires. Ces limitations sont la conséquence d’une susceptibilité à des informations électromagnétiques environnementales ou en provenance de l’intérieur de notre corps. Ces tensions musculaires représentent, dans la foule des problèmes et des symptômes des électrosensibles, la partie visible et objective de l’iceberg.
Beaucoup d’autres tests, comme le test des pouces montant ou les tests musculaires dits, à tort, « tests kinésiologiques ». Ces tests très efficaces nécessitent un sens du toucher qui ne peut s’acquérir qu’à la suite d’une longue pratique. Il est affligeant de les voir souvent appliqués de façon incohérente et sans aucune rigueur par des personnes incompétentes.
Conclusion
Il est à mon sens souhaitable que la recherche médicale se penche sans aucun a priori sur l’action du signal électromagnétique de la matière inerte sur le vivant. Le corps humain, extraordinaire récepteur à ces vibrations infinitésimales, nous prouve par ses réponses parfois exagérées et spectaculaires son incroyable sensibilité, mais aussi par là même leurs existences ! Seule l’approche quantique, voire la biophysique peuvent expliquer qu’un signal aussi infime soit autant perturbateur…
Au vu des faits que j’expose ici, il n’existe pas selon moi d’autre choix : toute matière posée dans ou sur le corps humain, quelle que soit sa nature, doit être au préalable testée afin de vérifier sa compatibilité électromagnétique avec celui-ci.. C’est donc en quelque sorte une révolution culturelle qui s’impose à nous.
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