On a tous entendu parler de vortex ou de portes temporelles, en se disant que cela était une belle idée mais que ce n’est/n’était que de la science-fiction. Mais la science-fiction est avant tout basée sur la science, elle est comme qui dirait en avance sur la science.
Mais à présent, la science rattrape la fiction…
Avant de voir quelques lieux supposés recéler un vortex ou une porte spatio-temporelle, voyons ou en est la science dite ‘’ officielle‘’.
Des physiciens font disparaître un événement dans une faille temporelle ! En manipulant la vitesse de l’onde lumineuse…
Cette info date déjà de 4 ans maintenant, on peut à juste titre supposer que des progrès significatifs ont été réalisés depuis.
Pour camoufler un objet, les scientifiques manipulent la vitesse de l’onde lumineuse pour créer une irrégularité permettant de «cacher» un événement. Une équipe de l’Université Cornell de New York détaille ses avancées dans Nature.
Financée par le Pentagone, l’équipe de Moti Fridman a conçu un système d’«invisibilité temporelle» capable de rendre un événement totalement indétectable pendant une infime fraction de seconde. «Nos résultats représentent un pas significatif vers la réalisation d’une cape spatio-temporelle complète», estime Fridman.
L’exploit des physiciens utilise les propriétés du spectre lumineux visible et le fait que les différentes couleurs qui le composent se déplacent à des vitesses très légèrement différentes. Ils ont commencé par diffuser un rayon de lumière verte dans un câble en fibre optique. Ce rayon traverse ensuite une lentille qui le divise en deux fréquences distinctes: une lumière bleue qui se propage un petit peu plus rapidement que le rayon vert d’origine, et une lumière rouge légèrement plus lente.
La différence de vitesse entre les deux rayons ainsi obtenus est encore accentuée en interposant un obstacle transparent.
Un train coupé en deux puis recollé…
Au bout du compte, il se crée une sorte de «décalage temporel» entre les rayons rouge et bleu qui voyagent dans la fibre optique. Une faille minuscule, de seulement 50 picosecondes (50 millionièmes de millionième de seconde), mais suffisante pour y intercaler une décharge de laser d’une fréquence différente de la lumière passant dans la fibre optique.
Après cette brève décharge de laser, les rayons rouges et bleus subissent un traitement inverse : un nouvel obstacle accélère cette fois-ci le rouge et ralentit le bleu, et une lentille reconstitue les deux faisceaux pour produire un unique rayon vert.
Que se passe-t-il exactement ?
Robert Boyd et Zhimin Shi expliquent le phénomène par une comparaison avec le trafic routier. Imaginez qu’un train de 40 wagons voyage vers vous. Séparez le train en deux, accélérez la première moitié, ralentissez la seconde. Un espace est créé. Si un motard arrive au croisement, s’engouffre dans l’espace puis décampe, et que le train se recolle ensuite, un observateur n’y aura vu que du feu. Le passage du motard n’aura pas été détecté.
Applications en télécommunication…
Il s’agit ici d’une preuve de concept. Mais Boyd et Shi estiment que cette invisibilité temporelle pourrait déjà avoir des applications immédiates pour sécuriser les communications. Le procédé permet de fractionner les signaux optiques et de les faire voyager à des vitesses différentes avant de les réassembler, ce qui rend les données particulièrement difficiles à intercepter.
La prochaine étape pour les chercheurs est de parvenir à accroître suffisamment la durée de la faille temporelle. Ils pensent pouvoir arriver au millionième voire au millième de seconde. Parvenir à la seconde n’est pas impossible, selon les lois de la physique. Mais il faudrait une machine de… 30.000 km.
Notre science est encore balbutiante dans ce domaine, comme dans d’autres également. Mais on constate que la théorie et la pratique en termes de création d’une faille, d’un vortex, ou d’une porte temporelle est ‘’presque ‘’ à portée de main, si ce n’est même déjà réalisé sous le manteau !
Depuis des siècles, de nombreux cas de disparitions sont restés inexpliquées… Par exemple, des troupes militaires et des bataillons complets disparaissent sans laisser de trace.
En 1707, lors de la guerre de succession en Espagne, 4 000 hommes qui partaient en guerre contre les armées de Philippe V, ne sont jamais réapparus de derrière la chaîne montagneuse des Pyrénées. Pourtant la bataille n’a jamais eu lieu !
Les expéditions Espagnoles qui partirent à la recherche du régiment n’ont retrouvé ni corps, ni armes, ni bagages.
En 1858, c’est un bataillon de 650 soldats qui disparut dans la forêt de Saïgon. Un autre bataillon qui les suivait à 2 km, n’a rien observé de particulier sur l’itinéraire commun emprunté !
Un étrange phénomène se produisit en 1937, lorsque les armées Japonaises envahirent une grande partie de la Chine. Déterminé à résister devant l’occupant, Li Fu Sien (colonel Chinois) plaça deux bataillons le long du Yang Tsé.
Le lendemain matin, un des bataillons composé de 3 000 hommes avait complètement disparu, sans qu’aucune des sentinelles placées le long du fleuve n’aperçoivent le moindre mouvement de troupes. Les archives Japonaises confirmèrent qu’aucune bataille n’avait eu lieu ce jour précis, et qu’aucun homme n’avait été fait prisonnier.
Il y a aussi la disparition du bataillon de Norfolk, mais ce serait un canular, même si pour moi des doutes subsistent ! C’est un nuage qui aurait fait disparaitre les 400 militaires d’élite, mais la théorie officielle affirme que les hommes auraient été massacrés par les troupes Turcs.
Mais l’un des plus grands mystères archéologiques, est celui de la disparition soudaine de l’armée perse du roi Cambyse II il y a plus de 2 500 ans. En 524 ans avant J-C, une armée perse comptant plus de 50.000 soldats a subitement disparu dans le désert égyptien.
Dans ses écrits, l’historien grec Hérodote raconte qu’une tempête de sable aurait englouti l’ensemble des guerriers et ainsi effacé toute trace de leur existence.
Mais là aussi, selon la théorie officielle l’armée perse aurait été défaite par une troupe rebelle.
Circuler il y a rien à voir, et comme on ne trouve aucune trace, rien, que dalle, nada, ni aucune explication, on se tourne vers une explication logique et passe partout, histoire de nier jusqu’au bout ce que l’on ne peut pas comprendre, et ne veut surtout pas admettre !
Les vortex sont l’un des nombreux secrets de cette planète…
Albert Einstein lui-même a travaillé sur le phénomène de vortex et a suggéré que c’était plus qu’optique, c’était quelque chose que l’on pouvait aussi sentir.
Il y a beaucoup d’endroits mystérieux similaires à des vortex comme Santa Cruz Mountains ou Gravity Hill en Pennsylvanie ou même Hungry Horse dans le Montana, et le vortex de l’Oregon situé à Gold Hill, aux Etats-Unis, et chez nous le mont Bugarach, et le mont Saint Odile.
Ils ont tous quelque chose en commun : ils attendent une approche scientifique sérieuse qui pour le moment n’existe pas.
Le Pech de Bugarach…
Plus proche de nous, il existerait à Marseille le vortex de l’église des réformés…
Souvenons-nous de Jimmy Guieu qui nous informa de la présence d’un vortex naturel situé en plein centre de Marseille et plus exactement au niveau de l’église des réformés. Trois témoins viennent accréditer ses dires. La première, une femme nommée Tania Anziani, affirme qu’il lui est déjà arrivé de passer dans une autre dimension en promenant son chien dans ce secteur de la ville.
Les deux autres raconteront une histoire quasiment identique. Ils auraient tout deux rencontré une créature très étrange, mi-femme, mi-grenouille, alors qu’il traversait en voiture le parvis de cette église. Cette expérience leur aurait d’ailleurs laissé des séquelles. L’un d’eux serait devenu incroyablement résistant tandis que l’autre ne ressentirait plus les effets du vieillissement.
Je ne parle même pas du vortex dans le golf d’Aden ( golf d’Eden ?) et de nombreux autres sites, comme le mont Shasta en Californie, ou encore le Snaefellsjökull en Islande. Un mont sur lequel le réalisateur Jean-Michel Roux s’est d’ailleurs penché dans un nouveau documentaire, suite de son premier film sur la terre de glace ‘’Enquête sur le monde invisible’’.
Lieux de ressourcement, de magnétisme, de quête alchimique, ou portails vers d’autres dimensions ? Ces montagnes magiques sont loin de nous avoir révélé tous leurs mystères…
Une montagne française et un volcan-glacier islandais partagent les mêmes rumeurs extraordinaires. Il s’agirait de centres telluriques et spirituels reliés à des royaumes souterrains, de vortex interdimensionnels concentrant des forces surnaturelles.
Souvenons-nous également de ce Monsieur François Garet qui pense avoir localisé une porte spatio-temporelle au pied du Pech de Bugarach et qui témoigna dans la revue ‘’top secret’’ :
Le sujet est consultable sur le
forum ICI, dans la catégorie ‘’ Mystères et Etrange ‘’ sous le titre : Il a trouvé une porte du temps à Bugarach…
Notre aventurier français Deïman est parti avec un ami à lui explorer ces lieux à la recherche de cette supposée porte du temps, voici leur récit :
A la recherche d’une Porte Temporelle près de Bugarach
Et si il existait une porte temporelle près de Pic de Bugarach ? Dans son article « Une porte spatio-temporelle au pied du Bugarach » paru dans la revue Top Secret n°63, François Garet évoque l’existence d’une porte dimensionnelle, non loin de Bugarach et de Rennes le Chateau, ou plus exactement sur les hauteurs de Rennes les Bains dans le lieu-dit « Serbaïrou ».
Sur place, muni de l’article de François Garet mentionnant la « porte temporelle » et la piste ésotérique Celtique de l’abbé Boudet dans la revue « Top secret »
Henri Boudet, prêtre de Rennes-les-Bains, à la fin du XIXème siècle connaissant personnellement son homologue de Rennes le Chateau, le plus connu Abbé Saunière, affirme dans son livre dans son livre « la Vrai langue Celtique » paru en 1886 qu’il existe près de Renne les Bains des vestiges de la culture Celtique. Son livre contient la fameuse et énigmatique carte « Rennes Celtique » et l’itinéraire qui mènerait à de véritables pierres sacrées, vestiges de la tradition Celtique.
Les menhirs décrits dans l’ouvrage de l’abbé Boudet
Avec ces maigres indications, nous voilà partis mon ami Deïman et moi-même, sur la piste de ces fameux menhirs, voir si éventuellement il ne se passerait pas dans cet endroit mystérieux des phénomènes échappant à notre entendement.
Dans l’article de François Garet, on trouve effectivement plusieurs photos ressemblant plus ou moins à cette description. « le rocher du pain » et la « pierre rectangulaire ». Dès le début de l’article Garet met en garde le lecteur qui aurait « l’idiotie » d’aller investiguer dans cette zone… C’est pourtant ce que nous avons fait puisque nous avons passé la nuit là bas dans la Zone de Serbaïrou, dont le nom ferait penser, comme le dit l’auteur à Cerbère gardant la porte des enfers (Dans la mythologie grecque, Cerbère est le chien à trois têtes gardant l’entrée des Enfers…).
Lieu dit de Serbaïrou qui n’est pas sans rappeler Cerbère le gardien de la porte des enfers, une porte vers des galeries souterraines est-elle à découvrir ?
Monsieur Garet dit y avoir croisé un soir dans la brume en compagnie de son chien, comme venu de nul part au travers des arbres, un mystérieux individu couvert d’un chapeau qui a aussitôt disparu, comme si ainsi que le précise l’article plusieurs réalités dimensionnelles se superposaient dans ce lieux… De quoi mettre dans l’ambiance de la soirée…
La carte de la Zone mystérieuse du Serbaïrou au dessus de Rennes les Bains ou se trouveraient des vestiges archéologiques Celtiques… la fameuse porte du temps décrite dans l’article de François Garet.
Disons le tout de suite, selon nos investigations, l’emplacement indiquant le fameux « portail temporel » (formé apparemment par 2 pierres) sur la carte de François Garet est faux ou tout au moins les pierres ne figurent plus à cet emplacement situé sur une zone découverte que nous avons eu par endroit du mal à traverser car de nombreux arbres semblaient déracinés probablement par une tempête récente à moins que la main de l’homme soit passée par là. Même si la carte de l’abbé Boudet ne nous a pas mené directement vers les pierres indiqués.
Il y a quand même eut un petit moment de frisson à l’immédiate proximité de l’endroit indiqué lorsque 2 coups sourds se sont fait entendre sur le sol suivis d’un bruissement de feuille. « Une biche ? Un sanglier ? » me dit mon ami Deïmian apparemment plus habitué que moi aux bruits de la foret. Soit. Nous n’en saurons pas plus. N’empêche que sur le coup, ça surprend…
Nos investigations, guidées électroniquement par carte GPS nous on fait emprunter les chemins indiqués sur la carte mais nous nous sommes également écarté des sentiers battus nous enfonçant non sans mal plus en profondeur dans la forêt alentours.
Plusieurs heures d’exploration de la zone ne nous ont pas permis de découvrir les 2 pierres mentionnées dans l’article. Il est vrai que dès qu’on sort du chemin, la zone est parfois accidentée et en pente et qu’il faut être vigilant, je dis ça aux éventuels courageux qui voudront suivre nos pas et ceux des nombreux autres « chercheurs » de cette région…
En revanche, nous sommes tombés plus ou moins par hasard,(à proximité de l’endroit supposé selon les diverses descriptions nous devions quitter le chemin) sur 2 rochers de la taille d’un homme dont vous trouverez la photo ci dessous avec son emplacement répertorié sur la carte GPS (Deïmian a relevé les coordonnées exactes)…
Avons-nous trouvé les fameux menhirs et le point sacré de la Porte du Temps ?
Ce « rocher fendu » n’est pas sans rappeler la légende Arthurienne. Dans l’histoire de Merlin, Le trône du royaume Celte était vacant et convoité par de nombreux nobles qui se battaient fréquemment pour se l’approprier. Devant cette discorde, le magicien Merlin convoque les barons du royaume à Logres pour la veille de Noël.
Dans la nuit apparaît mystérieusement un bloc de pierre carré supportant une enclume dans laquelle est plantée une épée. Sur la lame est écrit que celui qui parviendrait à l’en retirer deviendrait le roi de toute la Bretagne. Personne n’y parvint, sauf le jeune Arthur.
Après une balade le soir vers 21heures, la nuit tombante pour chercher du bois pour le feu de camp, R.A.S (ni le soir ni la nuit, pas d’ »OVNI » à l’horizon ni de « petits hommes verts » ou de lutin à chapeau). Un repos bien mérité et le lendemain en redescendant, une baignade dans les sources chaudes de Rennes les bains pour se détendre de la marche…
Le seul truc bizarre c’est quand je me mets à rêver la nuit que je suis transporté à la maison, que je discute avec mon épouse (croyant vraiment que je suis transporté à plusieurs centaines de kilomètres de là, vous savez comment sont certains rêves que l’ont croient plus réel que la réalité) et que le lendemain celle ci me dit avoir entendu une voix distincte dans la pièce à côté l’appeler « Hey » en la réveillant puis « hé….. » suivi de son prénom… ça fait bizarre quand on a la confirmation au téléphone. de cet « coïncidence »..
Conclusion :
Nous pensons que l’article de François Garet est légèrement surjoué au niveau de l’ambiance « paranormale » du lieu, même si nous ressentions bien que nous n’étions pas dans un lieu touristique commun, mais peut être sur une terre sacrée. Nous regrettons peut être de n’être pas resté assez longtemps sur place pour investiguer plus en profondeur le lieu, en particulier la recherche d’éventuelles grottes et souterrains…
En tout cas nous avons très bien dormis, la température estivale et l’air pur du lieu n’y étant pas pour rien. Si la vérité est peut-être encore ailleurs, c’est en revanche un jeu de piste passionnant à mettre en corrélation bien sur avec les autres lieux mystérieux de la région, Rennes le Château, le pic de Bugarach, le mythique trésor des templiers…
Nous espérons vous avoir donné envie d’explorer le coin, et avoir apporté une pierre à l’édifice de la recherche ésotérique et mystique dans la région…
A ce propos de disparition, il ne faut pas oublier qu’il y a des bateaux, et des avions qui disparaissent, idem pour les dinosaures d’ailleurs, ainsi que des milliers de personnes à travers le monde chaque année, et que même des civilisations entières ont disparues mystérieusement dans le passé, sans laisser aucunes traces, comme envolées !
De là à nier tout cela, je veux bien, mais à un moment donné il faudra bien se pencher sérieusement sur la question, car rester dans le déni ne peut pas durer éternellement, et n’explique rien de ces mystères…
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