Ces
forces qui nous contrôlent
Par Ganji
Anankea
Rien
de plus fascinant que la nature humaine et rien de plus complexe à
nos yeux.
Nous
nous connaissons si peu. Noyés dans nos nombreuses tâches
quotidiennes, nous restons le plus souvent étrangers à nous-mêmes.
Et pourtant, ne serait-il pas capital de connaître nos rouages, nos
profondeurs? Qu’est-il arrivé à notre véritable nature pour
qu’elle nous soit si inaccessible, si mystérieuse? Comment alors
entrer en contact avec nous-mêmes, ne serait-il pas normal de
pouvoir accéder aux informations personnelles qui font de nous ce
que nous sommes? Pourquoi avance-t-on à l’aveuglette et laissons
les livres, ou d’illustres inconnus dicter nos raisonnements,
influer sur nos opinions et nos convictions? Peut-être devrions-nous
attendre la mort pour en savoir plus ou peut-être suffit-il de
consulter un voyant pour que notre intime destin nous soit révélé?
Etant
moi-même médium depuis mon enfance, j’en ai référé à une
entité supérieure (IURIKAN est une entité céleste) pour accéder
à une vision plus claire de ma personnalité. J’ai alors compris
que nous étions aveugles et que nous passions nos jours et nos nuits
à tenter d’y voir plus clair, alors que la vérité est à portée
de main. Cette vérité nous entoure de toutes parts et demeure
pourtant parfaitement inaccessible. Etrange condition que la nôtre,
n’est-ce pas !? Notre condition terrestre pourrait fort ressembler
à une peine capitale, à une punition, mais je ne vais pas faire
dans le romantisme baroque, je vais plutôt ouvrir le livre interdit
pour piquer notre curiosité innée. En effet, chacun a besoin, un
besoin-réflexe d’entendre la vérité. Nous bondissons, nous
lâchons notre canne d’aveugle dès que prennent forme devant nous
des phrases vibrantes de cette magie qui nous fait tant défaut. Que
ne donnerions-nous pas pour voir enfin apparaître devant nos yeux
endormis un semblant de lumière révélatrice?
Mais
voilà donc le problème, nous nous attendons à de la “lumière”.
Nous tournons toujours la tête en direction des éclairages, des
faisceaux lumineux que certains ont l’habileté d’allumer pour
nous. A l’instar de notre conscience en quête du feu révélateur,
nous sillonnons tout au long de notre vie les arcanes prometteuses
que projette notre perfide mental. Ce dernier passe en effet son
temps à projeter ses propres fantaisies en un univers alambiqué,
vide de sens.
Pendant
ce temps, à l’ombre de cette éternelle illusion, le monde de
l’ici-bas se structure impeccablement selon une logique complexe et
inaccessible à l’esprit humain. Telle une Tour de Babel, une
pyramide du chaos s’est édifiée sans limites au fil des
millénaires. Si nous pénétrions l’immense construction se
dressant au milieu du Grand Néant, nos regards seraient flattés par
l’imposant ouvrage, car ici le grouillement de vies semble
converger vers un seul objectif: la laborieuse et active
glorification du genre humain. Tels des insectes, ces milliards
d’individus vaquent à leurs occupations avec gravité malgré une
évidente absence de conscience. Ce qui les rend d’ailleurs
parfaitement manipulables. Ils tirent leur force et orgueil de cet
activisme obsessionnel sans lequel ils ne pourraient survivre bien
longtemps semble-t-il. Étant coupé de leur identité réelle, ils
s’oublient ou plutôt se rappellent qu’ils existent en servant
une entreprise globale: la ruche humaine. D’autres qu’eux se sont
emparés depuis la nuit des temps de leur libre-arbitre. Ces
individus, bien que d’apparence humaine, abritent bien souvent des
entités démoniaques et/ou reptiliennes, ils sont donc dotés de «
talents », d’attributs, de charisme bien supérieurs à la
normale. Douées d’une telle « supériorité », ces entités
mystérieuses se sont naturellement immiscées entre les Hommes et la
vérité pour mieux les gouverner.
Depuis
1988, date à laquelle j’ai réussi à m’extirper de la dite
termitière, je n’ai eu de cesse de fuir les ordres silencieux mais
parfaitement perceptibles pour tout esclave zélé, qui lui sont en
permanence transmis dans l’invisible. En effet, les cerveaux
humains sont totalement sous contrôle depuis les origines de
l’histoire à travers le réseau énergétique souvent appelé «
éthérique » ou «astral». Je n’entrerai pas dans les détails
de mon « évasion » tant les raisons d’une telle “folie” m’en
paraissent évidentes : il était pour moi question de dignité et de
survie.
Qu’ai-je
donc vu alors, qu’ai-je donc constaté?
Avec
le regard d’un nouveau-né, j’ai découvert l’humanité telle
qu’elle est en fait : des millions de corps gesticulant
frénétiquement, formant une matière polymorphe, des corps sans
conscience propre, sans lien avec la réalité profonde et immédiate,
totalement coupés des innombrables et précieuses informations que
l’univers transmet à chaque instant à tout être vivant. Une
humanité asservie à des intentions étrangères, accrochée à des
fils, tels de ridicules pantins.
J’ai
vu derrière les masques trompeurs, les véritables visages de ceux
qui gouvernent la masse avec entrain. Ils sont monstrueux et
effrayants. Ils n’ont d’humain que leur nom. L’illusion est
parfaite puisque les apparences rassurantes suffisent à l’Homme,
des apparences auxquelles ils adhèrent naturellement, quitte à se
voiler la face. J’ai vu des créatures volantes hideuses et
agressives surveiller, conduire les hommes et ordonner leur
déchéance. Plus d’une fois, elles ont cherché à me nuire (fort
heureusement je suis protégé). Des monstres impitoyables qui ne
connaissent nullement les limites de l’espace ou du temps.
Dès
leur prime adolescence, ces forces invisibles privent les enfants de
leur identité intime (celle qui ferait d’eux des demi-dieux)
s’emparant de leur jus énergétique propre, de leur aptitude à
s’élever dignement. Je les ai vus proliférant dès lors au cœur
des entrailles de l’individu, s’immisçant toujours plus loin
dans son cerveau, pour enfin infiltrer le corps tout entier. Les
estomacs sont souvent des niches de ces forces étrangères qui y
trouvent asile. Des êtres comme vous et moi deviennent de simples
véhicules, des supports absents à eux-mêmes, transmettant une
parole, une action dont ils ne sont pas responsables. A ce stade
l’individu n’existe plus tout à fait. Si vous voulez mon avis,
un avis certes quelque peu apocalyptique, « l’Homme » est un pur
concept. Juste un concept, une simple fiction. Une idée rassurante
et terriblement simplifiée.
Enclavé
dans son minuscule cerveau d’hominidé, l’Homme ne peut se
dresser contre l’invisible menace. Il peut tout au mieux la sentir
et parfois l’entrevoir. Mais les dés sont déjà jetés depuis
bien longtemps déjà. Son destin est scellé vers sa douzième année
et dès lors, il ne s’appartient plus. L’adolescence est bien
souvent vécue comme une lutte puis comme une mise à mort. Je vous
choquerai peut-être en affirmant que bon nombre des Hommes
connaissent cette inacceptable situation de façon plus ou moins
consciente et l’approuve. Nous parlerons ici d’un consensus
global, à l’échelle planétaire. Ceux qui résistent se
retrouvent aujourd’hui sur ce site, piochant quelques précieuses
informations, cherchant à rompre ces fameux liens dégradants, cette
fatalité avilissante.
Des
entités que l’on pourrait qualifier de démoniaques séjournent
sur notre planète depuis les origines des temps et moult
prestigieuses civilisations se sont succédé depuis, scellant avec
elles des accords douteux. Nous sommes en queue de ce lointain
processus terrestre et en subissons malheureusement pour nous les
fatales conséquences. Je ne rentrerai pas ici dans les détails,
ayant longuement développé le sujet dans mon ouvrage Les Fils de
l’Aurore.
Vous
pourrez lire bien des histoires de ce type dans mes récits que j’ai
intitulés “Chroniques reptiliennes”. Mais avant d’être initié
à ces peuplades terrestres peu connues (les Reptiliens), j’ai
d’abord chaviré plus d’une fois face à d’autres entités aux
apparences humaines rassurantes mais en fait terriblement trompeuses
et tout aussi malveillantes. Mes premières années de fuite ont été
marquées par ces “charmantes” surprises d’un autre type, d’un
autre monde. Ce monde, je le sais aujourd’hui, est un monde
parallèle dont les créatures se matérialisent dans notre dimension
pour mieux la contrôler.
Depuis
que je me suis extirpé de la ruche, j’ai dû faire face à des
situations tout à fait extraordinaires que certains nomment avec un
certain enthousiasme “les synchronicités” : la plupart des
individus charismatiques que j’ai alors rencontrés ont essayé de
me corrompre et de dévitaliser mon escapade. Je ne devais pas mettre
en danger l’édifice monumental, on devait vite me récupérer et
tous les moyens étaient bons : propositions professionnelles plus
qu’alléchantes, harcèlement sexuel (si j’ose dire)… On m’a
d’abord gentiment fait comprendre que je me compliquais trop
la vie, que tout était plus facile, qu’il suffisait de se laisser
porter, se laisser emmener par le courant. Les “pions” étaient
toujours placés aux bons endroits, comme sur un échiquier, et je me
retrouvais face à eux comme par enchantement. J’étais une pièce
rebelle qu’il fallait paralyser dans un jus gélatineux où se
mêlaient chaque fois le plaisir sexuel aux plaisirs douteux de ce
monde. Si je me laissais entrainer par la jouissance, la vanité,
l’ambition, j’étais perdu.
Fort
heureusement je n’ai jamais fléchi. Chaque fois mes yeux m’ont
fait voir la vérité (parfois un peu tard quand même) que des
masques a priori sympathiques dissimulaient tant bien que mal. Ces
“agents” d’un genre très spécial étaient placés partout. Où
que j’aille (j’ai visité les quatre coins du monde), je me
retrouvais nez à nez avec l’un d’eux! On ne peut oublier leur
regard si particulier, si pénétrant. Avec un peu d’attention vous
pourrez peut-être démasquer l’un d’entre eux. Aucun mal
d’ailleurs, ils sont partout et fort nombreux.
Cet
autre monde existe bel et bien et il nous surveille constamment. Vous
qui me lisez, qui prétendez courir après la liberté, la
connaissance, sans le savoir vous êtes énergétiquement ligotés.
Comment cela est possible? Ces êtres qui nous dominent et nous
surveillent sont totalement inaccessibles à nos sens, comment alors
puis-je en être si sûr? Comment ai-je pu les voir? Ma médiumnité.
Ma médiumnité est la clé de ma résistance. Si je n’avais pas
cette double vue, en lisant un texte comme celui-ci, bien qu’intrigué
je resterais assez perplexe, définitivement enlisé dans le doute.
Qu’est-ce
que le doute? Une fonction paralysante insérée dans notre cerveau
pour nous empêcher de nous éveiller à la grandeur sacrée et
libératrice de la Vie (telle est sa véritable nature). Un simple
code inoculé dans notre conscience (totalement programmée et
programmable) par ces êtres infâmes. La plupart d’entre nous sont
totalement absents à eux-mêmes, d’autres vivent leur vie à
demi-conscients, mais aucun n’est réellement éveillé. La peur
nous tétanise et nous bride. La peur! Encore une “belle invention”
de ces impitoyables geôliers.
Pourquoi
tant de gens meurent-ils du cancer ? Pourquoi certains
s’enferment-ils chez eux ? Pourquoi cette uniformisation des
cultures et de la pensée ? Pourquoi ces guerres interminables, ces
étranges modifications climatiques? Pourquoi la langue de bois
va-t-elle bon train ?
Au-delà
des causes apparentes, vous rencontrez La Ruche! Le contrôle est
absolu, inimaginable, pyramidal, multidimensionnel. Nous venons au
monde au cœur d’un consortium totalitaire de forces occultes
omnipotentes, hermétiques, qui « cultivent » l’Homme avec une
manifeste et absolue souveraineté. Leur pourvoir est sans limite,
nous parlons ici de forces agissant directement sur la matière, la
psyché et les éléments naturels. Il va s’en dire que toute forme
d’opposition est définitivement vouée à l’échec, et que le
libre-arbitre est pure illusion.
En
effet, cette ruche est une mécanique minutieuse et parfaitement
paramétrée selon les nombreux besoins des acteurs-victimes (les
Hommes) et les besoins insatiables en énergie humaine de leurs
puissants bourreaux. Nous sommes pour ainsi dire pris en tenaille au
cœur d’un chassé-croisé complexe et inextricable, où ces forces
fondamentalement malveillantes nous abrutissent depuis notre plus
jeune âge, nous prive de toute objectivité, toute lucidité, nous
conditionne au travail, et parfois, nous inocule quelque maladie pour
se débarrasser d’un corps devenu impropre à son exploitation.
Quelle exploitation, mais de quoi s’agit-il donc?
De
notre propre énergie vitale!
Les
abeilles savent-elles que leur précieuse substance se vend sous
forme de pots dans les rayons de nos supermarchés? Et nous, que
savons-nous aujourd’hui de cette “hyper-réalité parallèle”
qui nous gouverne et nous pompe notre énergie intime?
Vous
vous croyez indemnes, libres, intègres…
Peut-être
l’êtes-vous en effet. Il suffit pour cela de vous en persuader.
Quelques mises à jour seront effectuées dans l’heure et vous
penserez aussitôt être parfaitement clairs et équilibrés. Tout
est possible. Nous sommes les êtres les plus manipulables et les
plus auto-suggestionnables qui soient.
Derrière
le voile des apparences, j’ai entraperçu le principe même de ce
monde : l’anéantissement complet de toute intelligence et de
capacité individuelle de réflexion, quand nous devrions chacun
pouvoir développer au cours de notre vie terrestre ces mêmes
capacités et y être encouragés. Cette destruction voulue de
l’intelligence personnelle se fait au profit de la création d’un
esprit unique à l’échelle planétaire, une pensée commune et
uniforme, fidèle reflet de cette force invisible qui nous manipule
(la globalisation, la mondialisation, « le nouvel ordre mondial »
n’en sont finalement que la matérialisation toute logique). Tel
est le plan infernal que j’ai mis à jour ces dernières années et
qui va bon train. Vous pouvez du reste vous en rendre compte à
travers les évènements de l’actualité.
Alors,
si vous souhaitez vous extraire de cette gangue et y voir clair vous
aussi, un premier pas s’impose : la remise en cause de l’incroyable
système inscrit en nous en lettres de feu. Il vous faudra trouver
des outils efficaces pour vous épurer, vous laver intérieurement et
énergétiquement (car les Forces polluent nos corps physique,
mental, spirituel et énergétique, bloquant ainsi nos capacités).
Il vous faudra vous extraire du cerveau limitatif et élargir votre
champ de conscience. Pour ce faire un seul sport possible :
s’arracher coûte que coûte au “rôle” abrutissant et
atrophiant que la Ruche nous a attribué. L’athlète combattif que
vous deviendrez alors se passera peu à peu de tout ce qui peut le
rassurer et donc le paralyser, et découvrira que se sortir de la
mélasse est un Art sacré… Le sens même de la Vie est inscrit
dans cet acte : s’incarner pour renaître enfin au-delà de cette
réalité corrompue.
Ganji Anankea
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