Pour la plupart des gens, le déluge est l’une des histoires (historiques ou non) mentionnées dans l’Ancien Testament de la Bible et dans la plupart des textes sacrés. Cet article résume assez bien certaines connaissances et références sur ce sujet universel, mais le manque de mises à jour et d’informations simplement objectives (parfois volontairement ignorées) font qu’il vaut mieux aller chercher la vérité ailleurs.
Si on se réfère à toutes ces recherches et observations concernant l’existence d’un déluge ou d’une inondation gigantesque dans un passé pas si lointain puisque une grande partie des cultures humaines s’en souvient, force est de constater que la probabilité de son existence fait partie de l’une des données légendaires les plus prises en considération.
D’autant plus que de telles traces existent de part le monde. On cite aussi Graham Hancock sur Wikipedia en mentionnant que ses thèses n’ont pas été retenues à l’époque parce qu’il n’y avait pas de traces de tsunami telles que prévisibles selon sa théorie. Or, il y a eu de telles découvertes depuis ce refus, où est la réflexion de la Science Officielle sur ses précédents refus ? Où fait-elle la relation entre les preuves scientifiques refusées dans le passé et les nouvelles preuves allégeant que ces décisions étaient erronées ? Qui s’ en charge ? Faut-il qu’une sommité le fasse remarquer ?…
Contrairement aux idées assénées par certains, des traces de tsunamis gigantesques ou pouvant être considérés comme des déluges ont bien été trouvées un peu partout dans le monde.
Le Sphinx égyptien présente des traces d’érosions par l’eau qui ne correspondent pas à son époque de construction admise (il aurait été préférable d’admettre un réaménagement du sphinx par un pharaon), même le lac Titicaca en haut de ses 4000 mètres a fortement débordé et a été une mer provisoire, l’île de Paques a des traces de forts tsunamis, etc… j’émets même personnellement l’hypothèse que si l’antarctique se retrouve avec une telle couche de glace par endroits, c’est qu’un tsunami l’a submergé provisoirement et que les eaux ont gelé sur place… et on a bien retrouvé au fond des mers des traces de sédiments révélateurs de tels déplacements rapides d’eaux dans le passé, et à des périodes assez rapprochées les unes des autres. Des légendes et des migrations, engloutissements de cités le long des côtes et abandon de villes sont visibles et bien enregistrés.
La toute première référence à cet évènement ne se situe pas du tout dans la Bible, le Talmud ou le Coran mais dans les écrits Sumériens, qui datent de plusieurs milliers d’années avant.
Cette histoire importante pour l’époque (et qui s’est prolongée jusqu’à nos jours !) a été retrouvée, gravée en Akkadien sur une grande plaque et raconte assez précisémment un déluge, ou tsunami. L’un et/ou l’autre car même dans la Bible et autres textes, il est fait mention de tremblements de terre, d’eaux sortants des abymes et du ciel : autrement dit, la traduction fidèle est qu’il y a eut en même temps séismes ou éruptions volcaniques, augmentation des eaux par le bas et par le haut (moussons ou tempêtes/cyclones en même temps)…
C’est un mythe mésopotamien décrit dans le
Poème du Supersage datant du xviie siècle
av. J.-C., dans la légende de
Ziusudra qui pourrait elle aussi dater de la fin du xviie siècle
av. J.-C., puis repris au xiie siècle
av. J.-C.au plus tard dans la version assyro-babylonienne « standard » de l’
Épopée de Gilgamesh, mythe qui raconte comment un Sage appelé
Atra-hasis,
Ziusudra ou
Uta-Napishtim selon les différentes versions du mythe, fut invité par le dieu
Enki/
Ea à construire un navire, dans lequel il pourrait échapper au déluge envoyé par l’assemblée des grands dieux. D’autres versions, d’une ressemblance plus approximative, peuvent se retrouver dans de nombreuses cultures à travers le monde.
Voilà un lien qui mène a une traduction du texte sumérien du déluge (qui n’est pas celle trouvable et très proche par Zacharie Sitchin plus bas) en français et qui démontre les évidentes reprises dans les textes de la Bible et autres bien plus tard, le texte sumérien datant de 3400 à 3200 avant JC…
Mais et l’Arche de Noé alors ?
Selon les sumériens, Noé et Atrahasis, c’est la même chose, on l’a vu. Les plus rationalistes englobent le tout, Sumer, Bible, Torah et Coran (et autres) dans un grand conte qui provient de la mémoire humaine d’une grande catastrophe justifiée par la « colère de dieux » ou « Dieu » à l’époque par les dirigeants survivants.
Mais on sait aussi que toutes ces histoires, même si elles ont pu être réaménagées pour les besoins de dirigeants locaux (tout comme l’Histoire a toujours été écrite par des vainqueurs ou manipulateurs, les histoires modernes le sont par les Etats et les médias de nos jours…), sont basées sur de vrais faits historiques. Les meilleurs preuves de ça sont que de réels artefacts archéologiques, des noms des sommités égyptiennes et lieux cités dans la Bible, Thora et Coran, Sumériens, ont bien été découverts. Mais jusqu’où va l’Histoire et où commence les mythes ou les manipulations … ?
Retrouver l’Arche de « Noé ou d’Atrahasis » ou encore l’Arche d’Alliance, même le Graal peut-être, augmenterait évidemment la part de réalité dans ces témoignages écrits… Retrouver autre chose que des copies de copies d’originaux des vrais Textes serait bien aussi, quel que soit la religion d’ailleurs car quand on regarde l’histoire de la bible par exemple, force est de constater que les Massorètes sont les collecteurs et à l’origine de l’Ancien Testament, plusieurs siècles après les évènements.
La Massore (c’est-à-dire tradition) est la collecte de tous les renseignements concernant les textes sacrés, longtemps conservés par la tradition orale. Les Massorètes, docteurs juifs dont l’activité s’étend du cinquième au dixième siècle après Jésus-Christ (à Tibériade et à Babylone), ont fixé ce texte, en même temps qu’ils nous ont transmis cette tradition par écrit et l’ont enrichie. Les choses qui se sont passées plusieurs milliers d’années du côté de Sumer s’y retrouvent bien ici classifié de manifestation divine, et il est a supposer que l’Ancien Testament est bien une collection des traditions et témoignages jugés comme « d’origine divine » de tous les peuples antiques de l’époque.
Les légendes disent que l’Arche se serait échouée, à la redescente des eaux, sur une haute montagne, identifiée par certains spécialistes comme étant le Mont Ararat, à la limite entre la Turquie et l’Arménie.
Le mont Djoudi serait plutôt sa dernière demeure selon le Coran. Quoiqu’il en soit, les cinq livres du Pentateuque — la Genèse, l’Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome — furent à priori rédigés ensemble au ve siècle
av. J.-C. à partir de quatre sources indépendantes. On estime que le récit de l’arche, pour sa part, trouve son origine dans deux d’entre-elles, le document sacerdotal (P) et le document jahviste (J).
La source jahviste est la plus ancienne des deux : elle fut vraisemblablement rédigée au royaume de Juda, à partir de textes et de traditions encore plus lointaines, et aurait vu le jour peu après la séparation des deux royaumes de Juda et d’Israël, vers l’an 920 av. J.-C.
Le récit jahviste est de facture plus simple que la version sacerdotale : Dieu envoie les eaux pendant quarante jours. Noé, sa famille et les animaux sont sauvés (sept couples de chaque animal pur, ou peut-être simplement sept animaux purs, le texte hébreu étant ambigu sur ce point). Noé construit ensuite un autel et procède à des sacrifices, puis Dieu s’engage à ne plus tuer ainsi tout être vivant. Le document jahviste ne fait cependant aucune mention d’une alliance passée entre Dieu et Noé.
Le texte sacerdotal semble avoir été élaboré à une époque comprise entre la chute du royaume d’Israël au nord, en -722, et celle du royaume de Juda au sud en -586. Les éléments du document sacerdotal sont beaucoup plus détaillés que ceux de la version jahviste, avec par exemple les instructions pour la construction de l’arche et une chronologie précise. Surtout, il donne au récit sa véritable dimension théologique en ajoutant le passage sur l’alliance entre Dieu et Noé au chapitre 9 et en faisant la toute première mention dans la Bible du rituel sacrificiel juif, ces deux éléments constituant la contrepartie logique du serment de Dieu de ne plus détruire la terre. C’est également à la source sacerdotale que l’on doit le corbeau (le texte jahviste contenant pour sa part la colombe), l’arc-en-ciel, ainsi que l’évocation des « sources du grand abîme et [des] écluses du ciel », le document jahviste se contentant de dire qu’il a plu.
Tout comme la source jahviste, l’auteur du texte sacerdotal a dû avoir accès à des textes et à des traditions plus anciennes, aujourd’hui perdues. La colère de Dieu face à la corruption des hommes, sa décision de se livrer à une terrible vengeance et ses regrets ultérieurs sont autant de thèmes typiques de l’auteur ou des auteurs jahvistes, qui traitent Dieu comme une entité humaine apparaissant en personne dans le récit biblique. Le document sacerdotal, à l’inverse, tend à présenter un Dieu distant et inaccessible, si ce n’est par l’entremise des prêtres
aaronites. On devine donc immédiatement et dès les débuts la volonté d’une partie importante des prêtres de récupérer à leur propre usage le pouvoir exclusif de ces connaissances…
Les histoires rapportant des déluges et la survie d’une poignée d’élus sont très répandues dans toutes les mythologies du monde, avec des exemples dans presque chaque société. L’homologue de Noé dans la mythologie grecque, ainsi, est Deucalion. Dans certains textes sanskrits, un terrible déluge est censé n’avoir laissé qu’un seul survivant, un saint nommé Manu, sauvé par Vishnu sous la forme d’un poisson. L’histoire de Yima (Jamshid), dans la tradition zoroastrienne, propose un récit très similaire, si ce n’est que l’élément menaçant toute vie est la glace, et non l’eau.
Dans la mythologie chinoise, il est dit que Nuwa créa l’Homme à partir d’argile, et qu’il combla les trous du ciel avec des pierres colorées suite à un grand déluge provoqué par Gonggong, le dieu de l’eau. Des légendes de déluges ont aussi pu être mises en évidence dans les mythologies de nombreuses peuplades sans système d’écriture, parfois très loin de la Mésopotamie et du continent eurasiatique : ainsi des légendes de la tribu amérindienne des Ojibwés. Les fondamentalistes bibliques en tirent la conclusion que l’arche de Noé a constitué un épisode historique réel. Mais les ethnologues et les mythologistes conseillent de prendre avec précaution les légendes telles que celles des Ojibwés, qui ont pu naître ou être fortement adaptées au contact du christianisme, dans un désir de conjuguer harmonieusement anciennes et nouvelles croyances. De plus, toutes ces légendes ont pour source le besoin commun d’expliquer les catastrophes naturelles, face auxquelles les sociétés anciennes étaient toutes impuissantes.
Depuis l’époque d’Eusèbe de Césarée jusqu’à nos jours, la recherche des restes matériels de l’arche de Noé a constitué une véritable obsession pour de nombreux chrétiens.
Au ive siècle, on doit apparemment à un commentateur arménien dénommé
Fauste de Byzance d’avoir appliqué pour la première fois le nom d’« Ararat » à une montagne précise, plutôt qu’à une région. L’auteur affirme que l’arche est encore visible au sommet de ce relief, et raconte comment un ange apporta une sainte relique tirée du navire à un évêque, lequel fut ensuite incapable de réaliser l’ascension. La tradition veut que l’empereur byzantin Héraclius ait fait le voyage au viie siècle. Quant aux pèlerins moins fortunés, ils devaient affronter les zones désertiques, les terrains accidentés, les étendues enneigées, les glaciers et les blizzards, sans compter les brigands, les guerres et, plus tard, la méfiance des autorités ottomanes.
En 1876,
James Bryce, historien, homme politique, diplomate, explorateur et professeur de droit civil à l’université d’Oxford, grimpa au-delà de l’altitude où peuvent pousser les arbres et trouva une poutre en bois travaillée à la main, d’une longueur de 1,30 m et d’une épaisseur de 12 cm. Il l’identifia comme une pièce de l’arche. En 1883, le British Prophetic Messenger et d’autres journaux indiquèrent qu’une expédition turque enquêtant sur les avalanches avait pu apercevoir l’arche.
En 1949, un pilote de la DIA américaine survolant le Mont Ararat prend une photographie montrant un objet étrange au sommet.
L’anomalie est située à l’extrémité nord-ouest du plateau occidental du mont Ararat, à 4 724 mètres d’altitude et à environ 2 kilomètres du sommet, qui culmine à 5 137 mètres.
L’objet semble être localisé au bord de ce qui apparaît aux analystes comme une pente descendante très abrupte. L’anomalie fut repérée pour la première fois au cours d’une mission aérienne de reconnaissance de l’US Air Force, en 1949 – le mont Ararat se situait en effet sur la frontière entre la Turquie et l’Union soviétique, et avait donc un important intérêt stratégique pendant la guerre froide.
Le film fut classé secret, bien qu’à un niveau de confidentialité assez peu élevé, et d’autres photographies furent prises en 1956, 1973, 1976, 1990 et 1992, par des avions ou des satellites. Six clichés de 1949 furent déclassifiés en 1995 en vertu du Freedom of Information Act, et transmis au Center for Strategic and International Studies de Washington D.C., une institution spécialisée dans l’étude des renseignements obtenus par satellite.
En 1980, L’ancien astronaute James Irwin mena deux expéditions à Ararat, fut même kidnappé une fois, mais comme beaucoup ne découvrit aucune preuve tangible de l’existence de l’arche. « J’ai fait tout ce qui m’était possible », a-t-il déclaré, » mais l’arche continue à nous échapper « dira-t-il en abandonnant (des pressions nombreuses).
Au début des années 1950, l’officier turc de renseignement IlhanDurupinar découvre une formation rocheuse étrange en forme parfaite de bateau, près de Doğubeyazıt et à 25 kilomètres au sud du mont Ararat.
Au mois de mai 1948, de fortes pluies combinées à trois séismes avaient dévoilé la formation en la débarrassant de sa boue. Après l’observation faite par Ilhan Durupınar, le gouvernement turc fut informé de cette découverte. Une délégation d’archéologues, qu’accompagnait George E. Vandeman, Ilhan Durupınar et le Dr. Brandenberger examina le site en septembre 1960. Après deux jours passés à creuser et à dynamiter à l’intérieur de la formation à l’allure de bateau, l’équipe fut déçue de ne retrouver que de la terre et des rocs, et un communiqué officiel indiqua que le site était uniquement le fruit d’un caprice de la nature, sans intervention humaine.
Le site est resté ignoré jusqu’en 1979, lorsqu’il fut redécouvert et aménagé par l’explorateur et archéologue amateur
Ron Wyatt grâce au séisme de 1979 qui révèle une paroi aux formes interessantes (voir photo). Ce dernier passa les années 1980 à essayer d’intéresser d’autres personnes au site, y compris l’ancien astronaute James Irwin et le créationniste John Morris, aucun des deux n’ayant semble-t-il été convaincu.
En 1985, Wyatt fut rejoint par David Fasold et le géophysicien John Baumgardner pour une expédition, relatée dans The Ark of Noah, un ouvrage de Fasold. Le site, par rapport au mont Ararat, présente l’avantage d’être aisément accessible. Sans être une attraction touristique majeure, il reçoit un flot continu de visiteurs.
Fasold interpréta les artefacts comme des ancres, des poids en pierre employés pour stabiliser l’Arche en mer agitée, en raison du fait qu’ils possèdent tous un trou chanfrein à une extrémité comme pour leur attacher une corde, et parce que l’existence de telles pierres était suggérée par sa lecture de l’Épopée de Gilgamesh, le récit mythique babylonien du Déluge.
Les ancres de pierre étaient un équipement des navires anciens. Elles ont été trouvées dans le Nil et ailleurs en Méditerranée et, à l’instar des pierres trouvées par Wyatt et Fasold, elles sont lourdes et plates avec un trou à une extrémité pour y attacher un cordage.
Une étude géologique des échantillons des pierres, publiée par le géologue Lorence Collins et co-écrite avec David Fasold, a suggéré qu’elles sont formées de roche locale et donc peu susceptibles d’avoir été transportées sur le site depuis la Mésopotamie, lieu d’origine supposé de l’Arche, mais il n’est pas impossible non plus que l’Arche ait fait du sur place.
Les méthodes ont été utilisées comme la décomposition de l’interface radar du sous-sol, carottage, détection de métaux. Analyses :
Laboratory analysis was performed on artifact labeled « deck timber ». Galbraith Labs in Knoxville, Tennessee tested samples taken from within the « formation’ and from without. All of the laboratory procedures were videotaped, including the taking the sample from the specimen, and the actual execution of the analyses.
Results of « inside » « outside » analysis:
The sample outside the formation showed a 1.88% carbon content; but the one from inside yielded a 4.95% carbon content, an amount that was consistent with the presence of prior living matter, such as decayed or petrified wood. It also showed a surprisingly high iron content.
Note:
Petrified wood is commonly known to contain organic carbon; but it is not known to be found in natural minerals. Compounds of carbon can be analyzed to determine whether they are composed of matter that was non-organic (non-living), or organic (living). Therefore, the one test to determine if an object was organic (once living), or not is to determine its organic carbon content.
Procedure:
Gail Hutchens, Vice President of Galbraith, suggested that they run an analysis for total carbon content. This would include both inorganic and organic. Then, they would test for inorganic Then, the two tests would be compared. By subtracting the amount of inorganic from the total amount, the amount of organic carbon would be determined.
Results of organic carbon testing:
The result was that it contained .71% total carbon. Inorganic carbon totalled .0081%. It contained .7019% ORGANIC CARBON- almost 100 times more organic than inorganic !
Excavation d’une partie de la paroi externe en 1990
En 1991, l’empreinte assez nette d’un rivet est détachée de la roche, d’autres sont trouvées complètement incrustées dans la roche :
Des sommités turques et internationales se réintéressent à l’affaire et une autorisation de fouille totale est donnée par le gouvernement mais dès août 1991, la situation politique régionale dégénère (un hasard ?) et Ron Wyatt, Richard Rives, l’américain Marvin Wilson et l’australien Dr. Allen Roberts sont pris en otages dans les montagnes pendant 21 jours et sont obligés de partir. En février 1992, les
analyses sur les pierres ayant des empreintes métalliques sont publiées :
» Richard Rives, having become acquainted with an international corporation which specialized in metallurgy, made arrangements for the « rivet » to be analyzed in their laboratory.
Careful analyses was performed on the specimen. Samples were analyzed from what appeared to be the washer around the head of the rivet, and from an area 1 cm. away
from the washer.
Results
The 4 analyses they ran showed that location 1 yielded a 1.88% and 1.97% carbon content while location 2 yielded a .14% and .13% amount.
The scientists involved in the analysis made the following notation in their report:
» It is interesting to note that location 1 (presumably fossilized timber members) was found to contain much higher carbon (1.9%) than location 2 (presumably fossilized metal). »
Note:
When an object undergoes the process of fossilization, as its material decays it is replaced by material in the surrounding soil or water. The analysis revealed exactly what would be expected to be found in a fossilized metal washer and rivet (non-living matter) attached to a piece of fossilized wood (once living matter).
Note:
The discovery of titanium in the « Rivet » is of special interest. The advantage of titanium as a metal is its tremendous strength, its light weight and its resistance to corrosion.
All of the analyses performed on the « Rivet » found it to contain Iron, Aluminum, Manganese, Vanadium and Chromium. These elements are known today to be the major alloying agents added to titanium. »
Mais les troubles, ainsi que la récupération des lieux par les autorités locales et finalement plusieurs déclarations font que l’affaire se termine là.
Le géologue Salih Bayraktutan a visité le « site de l’Arche de Noé » à plusieurs reprises et a rejeté les affirmations de Ron Wyatt selon lesquelles il y avait là-bas des traces de bois pétrifié.
Une étude géologique détaillée a d’ailleurs amené plusieurs spécialistes à conclure que « l’Arche » est un phénomène naturel qui se produit également ailleurs… Ron Wyatt décède en 1999 et, bien qu’une équipe de proches montent une association et obtient un droit de fouilles et au moins une bourse prouvée en 2005 par la WAR, le site est banalisé mais conserve un bon nombre de visites touristiques annuelles de nos jours.
Le film réunissant toutes les découvertes ou indications révélées par Ron Wyatt : Noah’s Ark, the Biblical Exodus, the Red Sea Crossing, the ancient cities of Sodom and Gomorrah and Ark of the Covenant.
C’est en 2006 qu’apparaissent de nouvelles photos satellites qui semblent montrer un autre objet, à un autre endroit. Il s’agit d’une photo du satellite QuickBird de DigitalGlobe prise en 2003 et révélée seulement :
Image Satellite de l’« anomalie de l’Ararat » prise par le satellite QuickBird de
DigitalGlobe en 2003 et rendue aujourd’hui publique pour la première fois.
( Crédit photographique: DigitalGlobe)
L’anomalie, située au coin N.O. du Mont Ararat en Turquie Orientale, a été sous investigation depuis des années par des chasseurs de l’arche, mais elle est restée inexplorée, à cause du gouvernement de Turquie qui n’accorde aucune autorisation d’expédition scientifique en vue d’explorer le site.
Mais le détail révélé par la nouvelle photo du satellite DigitalGlobe’s Quick Bird a mis de nouveau en émoi l’homme à la barre à la recherche de la preuve.
« J’ai retrouvé mon optimisme…de même que mon envie de continuer à inciter la communauté intellectuelle à ne plus considérer comme confidentiel le type d’imagerie le plus définitif » dit Porcher Taylor, professeur associé d’études paralégales à l’Université de Richmond – Space.com
Depuis plus de trois décennies, Taylor a été un analyste de sécurité nationale et a aussi été directeur associé pendant cinq ans au Centre pour les Etudes Stratégiques et Internationales à Washington, D.C.
« J’appelle cela mon projet d’archéologie satellite », dit Taylor. Space.com relate que le projet a réuni les ressources photographiques de QuickBird avec celles de GeoEyes’s Ikonos spacecraft, Canada’s Radarsat 1, de même que les images aériennes qui ne sont plus considérées comme confidentielles et les images satellite photographiées par les
services secrets U.S.
Alors qu’il est tout à fait possible que l’objet de son intérêt puisse être une simple crête de roc, de neige et de glace, Taylor dit qu’il y a aussi une chance que cela puisse être un objet fait de main d’homme.
« Je n’avais pas d’idée préconçue, ni de programme sur ce que je cherchais, lorsque j’ai commencé cela en 1993 » dit-il. « Je soutiens que si ce sont les restes de quelque chose fait de main d’homme, et potentiellement nautique, alors ce serait quelque chose qui pourrait avoir des proportions bibliques ».
L’anomalie reste installée confortablement dans la glace à une altitude de 4663 m, et Taylor dit que d’après les photos le rapport de la longueur à la largeur pourrait bien être de 6 : 1 comme cela est indiqué dans le Livre de la Genèse.
L’U.S.Air Force a pris les premières photographies du site du Mt Ararat en 1949. Les images révélaient soit-disant ce qui semblait être une structure couverte de glace, mais elles ont été gardées pendant des années dans un dossier confidentiel étiqueté « Anomalie de l’Ararat ». La nouvelle image fut réellement prise en 2003, mais n’avait jamais été révélée au public jusqu’à ce jour. A priori, cet endroit n’a jamais été atteint ou décrit.
http://www.armenweb.org/espaces/louise/reportages/noe/index.html
En 2010, d’autres photos, d’un autre endroit à priori, sont diffusées alors qu’une équipe d’explorateurs évangéliques chinois et turcs revendique la découverte de l’Arche, certains à 99.9 %…
Après la diffusion d’un film, cette équipe d’évangélistes rencontre un rapide succès et beaucoup de monde y croit… jusqu’à ce que des spécialistes contestent l’apparence du bois bien trop jeune, et même des toiles d’araignées visibles, impossibles à une telle altitude… dès la fin de l’année 2010 voit la dénonciation par plusieurs personnes
témoins d’un faux monté grâce à l’apport d’un vieux navire trouvé dans la Mer Noire… dommage, certains c’étaient mis à y croire…
A ce jour il ne reste donc toujours que cette formation rocheuse visitée chaque année par des touristes mais sans preuves réelles d’un rapport avec l’Arche de Noé, et ces images satellites qui montrent un objet et un endroit toujours interdit d’alpinisme par les autorités turques.
Un documentaire intéressant faisant le point sur les recherches et possibilités. Pour beaucoup, l’Arche aurait été retrouvée mais la gestion de la chose laissée à un état qui ne préfère sûrement pas bousculer les choses. :
A suivre, probablement
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9luge
Yves Herbo SFH 02-2013
SOURCE : http://www.2012un-nouveau-paradigme.com
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