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L'imcomptatiblité de la Glande Pinéale et les Ordinateurs

Des études scientifiques révèlent que les cristaux de silicium polluent notre glande

Qu'est ce que le Saut Quantique

La partie spirituelle du cerveau serait la glande pineale est permettrait ce saut quantique par un changement brusque de l'état de manière pratiquement instantanée.

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lundi 18 juillet 2016

Retrouver la Médecine Originelle

Par Ganji Anankea

Nous rêvons tous d’une santé de fer.

Nous avons tous espoir de couler de vieux jours sans passer par la case souffrance de l’inquiétante tumeur, surgie de nul part. Nous avons tous envie de croquer la vie avec vitalité et sérénité. Que la vie serait belle si nous possédions entre nos mains les clés de l’existence et de la santé. Mais où est donc ce Graal ? Et quel est donc le mot de passe pour acquérir longévité, voire immortalité ? Existe-t- il un au-delà à nos existences banales et fragiles ? Où se cache la véritable magie de ce monde, celle qui transmet la santé, la connaissance, le bonheur ultime et vrai?
Le secteur de la santé en France est un des domaines les plus lucratifs qui soit : il représente 11% du PIB du pays* et emploie plus de 2 millions de personnes. L’exploitation de la maladie demeure aujourd’hui un marché extrêmement porteur et lucratif, notamment grâce à l’incroyable développement des nanotechnologies qui permettent de constantes innovations. Tous les secteurs se retrouvent d’ailleurs concernés par cette nouvelle orientation technologique. Les humains que nous sommes ne peuvent qu’être impressionnés et subjugués par l’admirable et omnipotente autorité médicale en France.

L’hexagone a longtemps été un pays de cocagne pour le médicament.

C’est le système qui veut cela. Un patient pouvait dans les années 90 se présenter à la pharmacie avec une vingtaine de médicaments sur ordonnance et obtenir leur remboursement intégral. Comment appelle-t- on une médecine qui assujettit des centaines de milliers de clients à travers, notamment, la commercialisation de centaines de puissants psychotropes et un réseau tentaculaire de points de vente ? Car en ce domaine notre pays se caractérise par la consommation importante de psychotropes, d’antihypertenseurs, de vasodilatateurs et d’antibiotiques. Cela s’explique par l’attitude des prescripteurs et patients à l’égard des médicaments : d’un côté comme de l’autre, on croit au médicament.
Les Français en particulier font preuve d’une forte appétence puisqu’ils sont, avec les Portugais et les Norvégiens, les plus gros consommateurs de psychotropes. Résultat : avec 134 millions de boîtes de benzodiazépine vendues en 2010, la France se range à la deuxième place derrière le Portugal pour les anxiolytiques et la Suède pour les hypnotiques. Ainsi nous pouvons observer l’alliance fort contestable entre le modèle paternaliste qui soumet le patient à l’autorité écrasante du médecin et le consumérisme du malade-usager qui reconnaît largement les prérogatives de la décision médicale.
En pénétrant les couloirs d’un hôpital, tout comme en poussant la porte rassurante d’une pharmacie, nous nous en remettons corps et âme à des experts.
L’hôpital peut fait peur car il est synonyme de chirurgie et de maladies graves, voire fatales, mais la pharmacie, elle, rassure avec sa cohorte d’emballages colorés si prometteurs, ses vendeurs accueillants et professionnels en blouse blanche. Qui serait tenté dans un tel contexte de les comparer à de simples revendeurs de drogue ?
Et pourtant il s’agit bien d’une médecine qui remplace la dépendance aux opiacés par des drogues toutes aussi puissantes mais légales et admises par le système (Subutex, Méthadone, Suboxone). Commercialisé sous forme de cachets, le Subutex est aujourd’hui de plus en plus détourné. Initialement destiné à aider les héroïnomanes à «décrocher», il est paradoxalement devenu une porte d’entrée dans la toxicomanie.
Remplacer l’héroïne par du Subutex est un acte qui en dit long.
Aujourd’hui encore pour guérir le cancer on fait subir au corps de telles agressions qu’il en ressort dévasté.
En effet, la logique d’un traitement de chimiothérapie est très claire: on introduit des molécules chimiques dans le corps qui ne feront hélas pas la différence entre cellules saines et cellules cancéreuses. Cette destruction massive entraîne les terrifiants « effets secondaires » de la chimiothérapie.
À l’image des guerres modernes et de ses frappes chirurgicales, l’arme chimique conventionnelle détruit tout sur son passage. Les malades du cancer demeurent des cibles privilégiées pour l’industrie des produits pharmaceutiques avec les médicaments d’entretien extrêmement onéreux dont ils remplissent parfois leurs placards !
Nous savons tous qu’une simple aspirine peut agir efficacement sur la douleur sur le plan physiologique comme sur le plan psychologique, c’est ce qu’on appelle l’effet Placebo. Celui-ci enclenche le mécanisme de guérison et aide le malade à retrouver plus rapidement la santé.
L’effet placebo chez un patient est plutôt un signe de bon équilibre mental, conviendrait un psychiatre.
Autrement dit, plus l’esprit est vigoureux – l’individu a confiance en lui, en l’autre, en la vie – plus le corps répond. Malgré son évidente efficacité, la médecine conventionnelle s’oppose à ce qu’on puisse en tirer toutes les conclusions. L’effet placebo ne se contrôle pas, il ne se met pas en boîte, il ne se vend pas : il n’intéresse donc pas le corps médical.

Notre corps demeure un mystère pour nous tous.

Nous guérissons certes, mais nous ne comprenons pas pour autant le sens profond de nos maladies, leurs origines et leurs mobiles.
Nous restons indifférents au langage occulte exprimé par les symptômes, notre objectif immédiat étant de nous en débarrasser au plus vite. En somme, notre vie nous échappe et nous préférons nous en remettre à des des techniciens de la santé ; des individus qui nous sont parfaitement étrangers. Guérir sans accéder au sens véritable de sa maladie, retrouver la santé en s’en remettant totalement à un système déshumanisé et corrompu: voilà un processus aberrant qui produit des situations tragiques.
L’obscurantisme existentiel abrutit l’Homme et le rend étranger à lui-même ; nous devenons de simples passagers au volant d’une matière inaccessible. Le pouvoir que nous octroyons au corps médical lui confère ainsi une aura et une autorité dont il abuse bien souvent.
Les maltraitances, les morts suspectes, les contaminations, les prescriptions de médicaments dangereux sont sont hélas monnaie courante. Mais faute d’accès à une science véritable du vivant, nous demeurons à la merci de cette industrie médicale.

La maladie, c’est le mal-à- dit !

On ne parvient pas toujours à dire avec des mots ce qui agite nos entrailles, le corps s’en charge donc en l’exprimant par des « maux », car le mal ne peut rester éternellement silencieux. Aussi injuste soit-elle, la souffrance a un sens, et cela nul ne devrait l’ignorer.
Tout symptôme, tout trouble ont leur raison d’être et c’est à chacun d’en rechercher la cause. Qu’advient-il du but même de notre vie si nous restons insensibles aux alertes émises par notre propre organisme?
Selon la constitution, le tempérament, le legs transgénérationnel* et la sensibilité de chacun, ces maux vont affecter un organe plus qu’un autre, et de façon plus ou moins grave. Même le cancer, si terrifiant soit-il, peut nous ramener à une réalité inacceptable, « La vie la mort » se fait alors notre guide dans une recherche ultime de vérité et de transcendance (dépassement de l’horreur inspirée par la mort et la dégradation). Certes nous ne pouvons échapper à la maladie ni aux affres de la vieillesse. À nos yeux, les lois universelles nous délivrent un message bien trop âpre à nous séduire. Désabusés, nous demeurons sourds et aveugles à la Science Suprême qui nous observe et nous englobe.
L’Humain a préféré s’en remettre à la superstructure dans laquelle il vit et aux autorités qui la gèrent. Anthropocentriste et nombriliste, l’Homme a omis d’intégrer dans son existence les forces qui gouvernent la vie depuis l’origine des temps.
Pourtant cet univers extraordinaire pourrait à lui seul nous bouleverser à jamais par effet d’identification : nous mettrions alors en route un processus puissant de transformation.
S’identifier est un mécanisme relativement accessible par lequel nous nous redéfinissons peu à peu à l’image de notre modèle. Pour ce faire il nous faut nous rendre totalement disponibles. Ce processus est un peu ce que nous éprouvons à la lecture d’un roman d’aventure captivant, en nous immergeant dans d’extraordinaires et fascinantes intrigues. Soudain, un comte de Monte-Cristo devient notre prolongement. Mais l’opération dont je vous parle est amplement plus enrichissante bien que, ô combien plus délicate.
En biologie moléculaire végétale, les chercheurs scientifiques ont dès les débuts su tirer parti au mieux de cet incroyable mécanisme : les découvertes sont toujours le fruit d’une aventure humaine, intellectuelle, sensorielle et spirituelle. C’est en plongeant dans l’énigme d’une plante que le biologiste parvient à en extraire les merveilles. Ce fameux processus d’identification leur permet ainsi de découvrir enfin la molécule qu’ils pourront synthétiser pour venir en aide à des milliers d’individus.
L’identification est un mécanisme élémentaire d’ouverture de notre conscience, de nos sens et de notre intuition. Faites donc silence pour mieux apprécier toute la richesse qui vous parvient. Se rendre disponible aux mystères de l’existence ce n’est pas comprendre enfin l’énigme de la Vie, c’est se rendre accessible à l’extraordinaire force créatrice qui porte les galaxies. L’idée de se changer en antenne réceptrice ou en panneau solaire peut faire rire, mais c’est un début. On ne devient pas un spécialiste du premier coup. Le but est de se prêter à un jeu qui peut nous nourrir de sa sève universelle. Certes, quelques obstacles de taille vont surgir de ci delà et nous décourager, nous ridiculiser. Peut-être alors préférerons-nous nous rasseoir devant le sécurisant ordinateur, ou encore nous recoucher…
Non, nous ne sommes pas totalement étrangers à cette intelligence apparemment muette. Nous sommes en fait comme le Pygmée qui s’assoit devant un film de science-fiction : dubitatifs et foncièrement imperméables devant l’impressionnant spectacle de Star Trek. Il nous faut donc faire quelques efforts pour passer le cap.
Oui, nous ne manquerons pas de perdre patience, tant le « Tout tout de suite » règne aujourd’hui sur toutes les consciences. L’esprit, conditionné et limité est notre unique ennemi sur ce terrain.
Encore une identification qui nous contrôle notre vie durant: l’identification mentale. En effet, en acceptant de nous laisser définir par le cerveau, qui créé pour nous une identité prototype, nous réduisons considérablement nos chances d’appréhender la Vie. Évoluant à travers cette identité fictive, pure création-projection de notre esprit, nous sommes de ce fait coupés, isolés, privés du contact direct avec la Vie. Or la Vie n’est pas une somme de recettes toutes faites, de formules acquises, de schémas savants. Elle se rencontre par-delà notre boîte crânienne, au contact des éléments vitaux.
Malheureusement l’influence cérébrale est tenace et sa principale qualité est sa force de conviction. Déjouer les techniques de contrôle mental est un tour de force qui fatigue assez vite. Pourquoi se battre contre nous-même ? N’est-ce pas là une attitude des plus absurdes ?
Pourquoi ne pas ouvrir plutôt une bonne encyclopédie ? Tout n’a-t- il pas déjà été dit au sujet de l’univers, de la Vie ?
Mais quand bien même vous sacrifieriez l’une de vos soirées à la lecture d’un bon magazine d’astrophysique que vous n’en seriez pas plus avancé, car cette lecture ne vous « alimenterait »pas directement en énergie intelligente, régénérante et créatrice. Le problème majeur est que l’humain a anthropomorphisé le monde qui l’entoure. En étiquetant à l’infini chaque aspect de son environnement proche et lointain, il limite considérablement son champ de connaissance, il domestique l’univers, le reformate à son image réductrice, le ridiculise. Comprendre l’univers à travers notre conscience est une perte de temps. Nous ne faisons que projeter nos propres limites, fantasmes et conditionnements sur le grand Tout. Nous projetons donc notre propre ignorance sur l’écran infini de l’espace illimité. L’univers ne se « comprend » pas, car notre cerveau est inadapté et fondamentalement limité. La conscience étant le résultat de milliers d’années de civilisation, la fonction première du cerveau est le stockage, la mémoire et l’organisation des informations. Son statut est donc propre à l’histoire de l’humanité, il est impropre à l’entendement de l’espace infini. Pour parvenir à capter les informations, les messages que transmet le grand Tout, nous devons nous immerger dans notre propre matière apparemment impénétrable. Tout un programme n’est-ce pas ? Une utopie me direz-vous. Pas si sûr. C’est une occupation bien peu gratifiante au début, mais qui produit de surprenants et riches résultats lorsque nous nous prêtons au jeu avec sincérité et sérieux.
Nous sommes plus que de simples citoyens salariés, pères de famille ou que sais-je ? Nous sommes une création, une précieuse création, unique et complexe, elle-même capable de créer.
D’où nous vient donc cette incroyable faculté ? La Vie n’est-elle pas elle-même « Création ? Nous sommes donc enfants de cette grandeur originelle qui nous nourrit et nous dépasse.
Mais revenons à ce lien sacré, ce lien oublié de tous qui nous unit à la nature intrinsèque du vivant, revenons à cette incroyable parenté. Ce lien sera notre trait d’union avec l’incommensurable, l’omniscience, l’Infini. La création est renouveau, elle insuffle la,transformation, elle est donc curative. Lorsque j’entre en contact avec cette dimension supérieure, je peux sentir ce souffle nouveau, cette vague intérieure et je comprends alors la nature de cette origine créatrice. Sans cette vibration, nous somme dénaturés, sans vie.
En s’identifiant à l’incommensurable univers, vous ouvrons l’accès à cette intelligence qui peut alors enfin s’exprimer à travers nous. Nous rendons possible l’inconcevable. Ce pont qui nous reliera à la source de toute création, nous qui sommes nous-mêmes création, ce pont-là deviendra notre partenaire afin d’accéder à ce langage unique : le langage du renouveau et de la guérison.
Tout individu épris de la véritable connaissance trouvera donc en ce lien un moyen d’entendre la vérité de son incarnation ici-bas. Il transcendera ses propres limites, son ignorance, ses inquiétudes et renaîtra enrichi d’un sens intuitif exacerbé. Ce lien lui transmettra les clés pour guérir de son ignorance et de la fatalité. Grâce à ce canal vital, il découvrira un monde de communication alternatif, devenant ainsi miroir de l’Infini. Retrouver le Sacré c’est se retrouver soi-même, c’est retrouver notre véritable nature. Le sens même de la Vie.
L’identification n’a rien d’intellectuel, surtout pas. Le mécanisme d’identification ne doit pas être intellectualisé : inutile de tenter d’expliquer cette opération ou de disserter des heures. Cette démarche est sacrée, elle implique donc le silence. Est sacré l’acte de s’en remettre à plus grand que soi, en faisait taire nos vanités et prétentions égotiques. Le silence est un espace que l’on aménage pour accueillir l’indicible grandeur. Il est donc capital de quitter l’empire de l’égo.
Que reste-t- il donc à faire? Simplement se rendre disponible, sans attendre un quelconque miracle, sans plus rien attendre. Cesser les effets de style: le formalisme, le cérémoniel sont ici parfaitement inutiles. Simplement se tourner vers cette sagesse omniprésente et se laisser profondément nourrir. Simplement se laisser pénétrer par le vaste silence… Et sentir enfin sa masse énergétique recevoir les bienfaits tant mérités, transportée par cette intelligence supérieure qui doucement englobe l’être entier.
Le reste vous appartient: ce qui adviendra ne peut être évoqué, il vous est réservé. L’aliment est unique et vous est propre.
Et peut-être même qu’un jour, vous rencontrerez la Source de toute chose.
Ganji Anankea

vendredi 5 juin 2015

Le Futur du monde décrit dans le Coran: "Le Messie et le Temps"

Le voyage dans le temps est un des grands thèmes de la science-fiction, au point d’être considéré comme un genre à part entière.
L’idée d’aller revivre le passé ou de découvrir à l’avance le futur est un rêve humain causé par le fait que l’être humain avance dans le temps de manière permanente, mais irréversible (et, à l’état de veille, apparemment de façon linéaire).
Les physiciens et les philosophes, tout autant que les auteurs de science-fiction, s’intéressent au voyage dans le temps, aux effets théoriques des voyages à la vitesse de la lumière et aux paradoxes logiques qui naîtraient d’un voyage dans le temps.

Le Furkane atomique

Le Mahdi (messie) est le sauveur des populations en détresse. Il est annoncé pour établir la justice et gouverner la terre entière où seule la religion d’Allah triomphera. C’est Allah qui a envoyé Son messager avec la guidée et la religion de la vérité ; pour qu’il l’étende à toutes les religions (Coran 9:33).
A la fin des temps, Allah vaincra tous Ses ennemis. Nous vaincrons sûrement Moi et Mes messagers (58:21). Le Mahdi combattra l’Antéchrist, la puissante Amérique et les croyants domineront le monde et vivront enfin dans la paix. Nous voulions favoriser ceux qu’on avait opprimés sur terre, et en faire les Imams, et en faire les héritiers et les établir sur la terre (28:5-6).
Le Mahdi vient à notre époque scientifique pour construire une grande machine.
Elle est décrite à travers le sens caché du Coran. Le Mahdi (messie)  ne vient pas faire des bombes, des guerres, de la politique. Il vient avec la vraie science du Coran. Cette science réunit toutes les sciences, c’est la science de la création.
Le premier verset révélé fait allusion à la création. Lis au nom de ton seigneur qui a créé, qui a créé l’homme d’un caillot de sang (96:1-2). C’est une incitation à créer des êtres vivants. Certains vont dire que seul Allah crée. Ne nous y trompons pas. Allah est unique dans sa façon de créer. Il crée à partir de rien. Quand Allah veut une chose, il Lui suffit de dire : soit ! Pour qu’aussitôt elle soit (3:47). C’est pour cela qu’on dit qu’Allah est le meilleur des créateurs (37:125).
L’homme doit créer à partir de la matière comme la terre ou les minerais, et dans le temps. Mais les mécréants font de la manipulation comme les plantes transgéniques, le clonage et les futures chimères. Ils ne font jamais de la création. Le diable avait dit à Allah qu’il pousserait les gens à détruire la création d’Allah. Je leur commanderai et ils changeront la création d’Allah (4:119). Seuls les bons croyants sont capables de créer.
Dans le Coran, la machine qui crée des êtres vivants s’appelle le Furkane. Elle est décrite à travers le sens caché du Coran.
Or la création d’êtres vivants par l’homme dépend de la machine. Cette machine prophétique est appelée « Forkane » dans le Coran. Les gens qui ne savent pas disent que le Forkane est synonyme des Livres révélés, du discernement entre bien et mal, vrai et faux. Le Coran ne dit pas cela.
Quand Nous avons donné à Moïse le Livre et le Forkane (2 : 53). Le Forkane est bien autre chose que le Livre de Moïse, La Thora.
Il a descendu sur toi le Livre [le Coran] avec vérité en tant que confirmation de ce qui était avant lui. Et Il a descendu la Thora et l’Evangile ; auparavant en tant que guidée pour les gens. Il a aussi descendu le Forkane (3 : 3-4).
Il apparaît évident dès lors que le Forkane n’est ni la Thora, ni l’Evangile, ni le Coran et donc encore moins la faculté de discernement entre bien et mal puisque les Livres sont déjà supposés permettre le discernement.
Forkane signifie « ce qui divise, sépare ». Le Forkane est cette machine qui dissocie des matières tenues pour inséparables et unit ce qui est inconciliable comme l’eau et le feu. Cela est possible par l’action du temps.
Le temps assemble et défait toutes choses. Le Forkane est une machine où le temps tourne mécaniquement : en un jour, l’on peut faire passer cent ans, par exemple. Il agit de façon sélective comme dans l’histoire de cet homme ressuscité après cent ans, qui voit son âne réduit en poussière mais ses aliments restés frais (2 : 259).
L’autre nom du Forkane est le Temps (Zaman) et le Mahdi qui l’apporte, s’appelle le Maître du Temps (Sahib-e-Zaman).
Dans le Coran, Allah l’appelle aussi l’Heure. Il est une figure de style qui exprime le tout par la partie. Comme l’on désigne par exemple un pays par le nom de sa capitale (par exemple, pour dire la France l’on dit « Paris a décidé… »), l’on dit l’Heure pour le Temps.
L’Heure n’est pas la fin du monde, le jour du Jugement Dernier mais la machine qui va changer le cours de l’Histoire.
L’Heure nécessite toute une science pour sa construction. Il y a bel et bien un savoir de l’Heure (43 : 61). Pour atteindre le niveau de science requis, il importe de développer toutes les connaissances humaines et de faire sortir de la terre, tous les trésors ( ce qu’elle contient d’énergie, de minerais…). Il faut qu’une grande civilisation apparaisse qui aura les connaissances scientifiques et les techniques de pointe. Il faut que le temps passe et que l’histoire ait lieu.
Vous ne connaîtrez véritablement ce que le Coran raconte qu’après un temps (38 :88).
La civilisation moderne offre tous les instruments et techniques nécessaires au projet du Mahdi. C’est seulement maintenant que le sens caché du Coran peut être révélé aux hommes. Et bientôt les hommes seront étonnés par la révélation de ce que contenait vraiment le Coran. Nous leur avons apporté un Livre que Nous avons expliqué en toute science, comme guidée et miséricorde pour des gens qui croient.
Qu’attendent-ils sinon son ta’wil [sens caché]. Le jour où son ta’wil viendra, ceux qui l’avaient oubliés auparavant diront : les messagers de notre Seigneur étaient venus avec la vérité (7 :52-53).
Mais l’Heure, le Forkane n’est pas une fin en soi. Car le but ultime est toujours d’accéder à Allah. O les croyants ! Craignez Allah [taqo-llah] ! et recherchez le moyen d’accéder à Lui (5 :35). Ce moyen d’accès n’est pas la piété et les bonnes actions car cela est déjà compris dans le début du verset : taqo-llah vient de taqwa qui signifient piété et bonnes actions.
Le moyen d’accès n’est autre que l’Esprit d’Allah. Ne désespérez pas en l’Esprit d’Allah, ne désespère en l’Esprit d’Allah que le peuple mécréant (12 :87).
Le verset en arabe dit bien rouh et non rawh . Rouh signifie Esprit.Rawh ne veut rien dire mais on lui fait tout dire : repos, retour vers Allah etc. Ce qui n’a pas de sens. L’Esprit divin, c’est le but du Forkane, de l’Heure.
L’Esprit est aussi appelé la Bête : Nous leur ferons sortir de terre une bête qui leur parlera ; mais les gens ne croyaient pas avec conviction à nos signes (27 :82). Les criminels parlent de la Bête immonde car elle ruinera leurs ambitions et la justice triomphera. Ils ont peur.
La Bête, l’Esprit, visible, en chair et en os, nous rapprochera d’Allah en tant que Allah parle par son intermédiaire aux hommes. O homme ! Tu cours à toute allure vers ton Seigneur, et tu Le rencontreras (84 :6).
Toute l’histoire humaine est dirigée pour faire sortir la Bête, cet Esprit qui nous permettra de parler à Allah comme Moïse le faisait avec l’Arche, et réenchantera le monde pour donner la vie éternelle aux Elus et détruire les germes de toute violence sur terre. Avant de parvenir à la dernière étape de l’Esprit, l’on passe par d’autres phases. La machine, elle-même, nécessite deux , trois ans de construction. En tout il faut 8, 10 ans (bid ‘i-sinin) pour arriver à la Bête. L’œuvre commence avec 3000 travailleurs pour aboutir à 30000.
Avant la Bête, sont les jawahir haya, des êtres vivants qui tiennent dans la paume d’une main, capables de se transformer en des êtres humains, en des animaux et monstres extraordinaires. Leur niveau de pureté est celui d’un homme spirituel parfait. Peu à peu, l’on atteint la dimension angélique avec lesarwah malaqiya (esprits angéliques) au nombre de 4 comme les 4 archanges qui sont les anges les plus proches d’Allah, Jibril, Mikaïl, Israfil et `Azraïl . Une bête plus petite que l’Esprit, sorte d’oiseau éclatant de lumière. C’est ce qui se trouvait dans l’Arche d’alliance.
L’Arche, sorte de temple portatif, était un coffret où se trouvait la Sèqina, un esprit angélique sous forme d’oiseau. Coffret déposé dans la tente, le Tabernacle où se rendait Moïse pour parler à Allah. Le peuple de Moïse ne parvint qu’à ce seul esprit d’ange. Enfin, c’est la Bête, l’Esprit qui vaincra. C’est l’étape que Moïse voulait atteindre.
Je n’arrêterai pas avant d’atteindre le confluent des deux mers, ou bien il me faudra marcher des âges durant (18 :60). Il a donné libre cours aux deux mers, pour qu’elles se rencontrent ; mais il y a entre les deux une barrière qu’elles ne dépassent pas (55 :19-20).
Le jour viendra où le Mahdi lèvera la barrière et là, au contact des deux mers de matières élaborées, dans un grand « fracas » (80 :33), surgit la Bête.
Le plan général est en la sourate 18, la « Grotte », qui donne une vue aérienne de toute l’œuvre. Le Prophète (P) recommande de la lire contre l’Antéchrist qui prétend que la science n’est pas dans l’Islam.
Le Mahdi ne vient pas faire des bombes, des guerres, de la politique. Il vient avec la vraie science du Coran. Cette science réunit toutes les sciences, c’est la science de la création.
Le premier verset révélé fait allusion à la création. Lis au nom de ton seigneur qui a créé, qui a créé l’homme d’un caillot de sang (96:1-2). C’est une incitation à créer des êtres vivants. Certains vont dire que seul Allah crée. Ne nous y trompons pas. Allah est unique dans sa façon de créer. Il crée à partir de rien. Quand Allah veut une chose, il Lui suffit de dire : soit ! Pour qu’aussitôt elle soit (3:47). C’est pour cela qu’on dit qu’Allah est le meilleur des créateurs (37:125).
L’homme doit créer à partir de la matière comme la terre ou les minerais, et dans le temps. Mais les mécréants font de la manipulation comme les plantes transgéniques, le clonage et les futures chimères. Ils ne font jamais de la création. Le diable avait dit à Allah qu’il pousserait les gens à détruire la création d’Allah. Je leur commanderai et ils changeront la création d’Allah (4:119). Seuls les bons croyants sont capables de créer.
Dans le Coran, la machine qui crée des êtres vivants s’appelle le Furkane.
Le Furkane n’est pas le Coran comme le montre ce verset. Allah a descendu sur toi le Livre [Le Coran] avec vérité en tant que confirmation de ce qui était avant lui. Et Il a descendu la Thora et l’Evangile auparavant en tant que guidée pour les gens Il a aussi descendu le Furkane (3:3-4).
Le Furkane n’est donc ni la Thora, ni l’Evangile, ni le Coran. Furkane veut dire «ce qui sépare, divise».
Cette machine sépare les matières inséparables et unit ce qui est inconciliable. Dedans le temps tourne mécaniquement. Si on met une pierre dedans, on peut faire passer plus de cent ans dessus en un jour, la pierre est alors réduite en poudre grâce aux rayons d’atomes d’uranium.
Par la Bête, les croyants régneront sur le monde.
L’humanité vivra dans la paix et le bonheur. Le désert fleurira et les aveugles verront. Le loup gardera le troupeau de moutons. L’enfant jouera avec le serpent. Les hommes seront frères. C’est tout cela que raconte le Coran. Vous ne connaîtrez vraiment ce que le Coran raconte qu’après un temps (38:88).
L’Heure est proche (54:1).
Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source:http://la-source-des-sagesses.blogspot.fr/

dimanche 22 février 2015

Kundalini ou Le serpent dans la création de la l'Homme



L’amour de l’Ego pour lui-même, n’est-il pas le miroir inversé de l’amour Divin pour sa création ?

ELEVER LE SERPENT INTERIEUR

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La Vision Kabbalistique du Serpent de la Genèse
par Rabbi Yakob Funès

Le Serpent de la Genèse en une vision unifiante. Une autre manière de dire ce que nous avons déjà dit au sujet de l’utilisation des symboles au sein de Torah.
Au travers de l’histoire, le serpent reste le symbole le moins bien connus des éléments bibliques, souvent associé au mal et aux forces de la tentation et de la chute. Mais, si nous regardons le serpent avec des yeux de kabbalistes et non de simples croyants, alors les enseignements qu’il recèle sont nombreux et l’histoire du Jardin d’Eden prend une coloration bien différente.
De la chute nous trouvons alors une transformation spirituelle et un développement possible de l’homme dans la liberté de la Création.
Dans la tradition des maîtres hassidim, un des principes afin d’obtenir une compréhension plus pénétrante et plus grande de la Torah est d’utiliser celle-ci comme un manuel qui par l’alchimie de la psychologie intime de l’âme peut être compris plus aisément.
Chaque personne, lieu, événement, objet représentent un élément organique de la psyché humaine et divine.
Par ce mode de connaissance, le serpent du Jardin peut être symboliquement un représentant des instincts primitifs qui se cachent en chacun de nous. En fait, les sages nous disent « le serpent était à l’origine destiné à être un grand serviteur de l’homme » (Sanhédrin 59b).
Nos sages, de mémoire bénie, nous donnent ici une vision étonnante qui développe plus avant notre compréhension du serpent. Ils disent que le serpent avait à l’origine des jambes et qu’il fut maudit (Zohar I 171a).
Symboliquement, cela signifie que la condition première au sein de tout un chacun est de pouvoir se mouvoir et de grimper, de s’élever afin d’atteindre des sommets dans l’illumination et la compréhension du divin. Cela signifie aussi que nous sommes capables intrinsèquement de remplir notre vie, de faire vivre le royaume de Dieu en nous et autour de nous.
A ce niveau, la bénédiction spirituelle ultime est possible. Mais lorsque le serpent est maudit par Dieu afin de « ramper sur son ventre et de manger la poussière de la terre » (Genèse 3, 14), la condition première change drastiquement et nous sommes alors enfermés dans les formes inférieures de la passion.
Afin de comprendre ce changement profond, nous devons à nouveau nous tourner vers les maîtres de la tradition kabbalistique. La Kabbale (Zohar II, 23b et Midrash Rabba baMidbar 14, 12) enseigne en effet qu’il existe quatre niveaux de compréhension le Pardes et que pour faire un être humain intégral, l’on doit avoir quatre niveaux ou quatre éléments de la nature : l’élément physique (terre), la nature émotionnelle (eau), l’abilité intellectuelle (air) et la dimension spirituelle (feu).
En ôtant les jambes au serpent et en le forçant à ramper sur le sol, l’élément ou la pulsion physique est confiné, selon nos maîtres bénis, à la dimension terrestre et physique.
Le résultat de cette malédiction est que notre énergie première qui est de réaliser le potentiel transformatif spirituel est à présent dans un état de confinement terrestre, au sein des énergies les plus basses du corps qui sont associées à la sexualité, aux passions physiques et aux désirs terrestres.
C’est la raison pour laquelle nombre de traditions dans le monde ont compris que ce stade inférieur est la source de nos obstacles à atteindre des niveaux de spiritualité supérieurs. Comme résultat, le serpent a été condamné comme maléfique.

Délivrer le Serpent intérieur.

Heureusement, la vision conventionnelle qui appelle à la suppression de l’énergie sexuelle ou serpentesque doit être réexaminée sous les feux de la pensée kabbalistique.
La Torah nous donne une vision très puissante de ce que peut être notre énergie primale si nous pouvons la faire s’élever à nouveau et la canaliser dans la bonne direction.
Relisons en ce sens la rencontre de Moïse et de Dieu sous la forme du Buisson Ardent, il lui est commandé de laisser tomber son bâton sur le sol et de l’élever à nouveau (Shemoth 4, 3-4).
C’est là le symbole du Tikkun ou de la réparation du bris des vases qui est nécessaire à l’évolution spirituelle véritable.
En son état de chute, la Torah nous dit que le bâton était un serpent qui faisait peur à Moïse, mais qu’une fois élevé il devint le bâton de Dieu par lequel Moïse réalisa ses miracles (Zohar I, 27a).
Cela nous enseigne donc que lorsque nos besoins primaires sont réprimés, nous sommes sans contrôle sur eux, tandis que si nous élevons cette énergie primaire, les mêmes passions sont élevées et transformée et Dieu opère ses miracles au travers de nous (Keter Shem Tov 69).
L’idée est simple voire simpliste : en canalisant nos passions vers le haut, vers les pshères spirituelles nous pouvons transformer un potentiel destructeur en une chose sainte et bonne. Cependant, nos sages, de mémoire bénie, nous mettent en garde que mal dirigée nos passions mènent à l’irresponsabilité et peuvent se révéler dangereuses.
Les passions doivent donc être guidées par l’élément de l’air (intellect) avant de pouvoir se transformer et se réaliser en feu (spiritualité) par l’utilisation du modèle kabbalistique des quatre éléments.

La passion comme moyen de transformation.

Le Yetzer haRa – le mauvais penchant – n’est rien de plus que l’énergie réprimée qui doit être transformée et sublimée dans son expression en une énergie spirituelle.
Le Baal Shem Tov, maître de mémoire bénie et que l’huile coule sur ses descendants, soyons dignes d’exprimer sa pensée, explique ainsi que deux lettres hébraïques – Resh et Ayin – épellent le mot « mal » – ra – qui inversé donne le mot « er » qui signifie « être éveillé ».
Le yetzer haEr serait alors l’inclinaison à l’éveil qui repose en chacun de nous. Comme le serpent dont les yeux restent toujours ouverts, il y a une part en nous qui doit toujours rester en éveil et être sans cesse stimulée.
Par conséquent, lorsque l’on ne participe pas sous une forme ou une autre à la spiritualisation ou à l’expression spirituelle de notre intimité. Nous devons chercher une stimulation extérieure par l’étude, la danse, les chants, l’art.
La Kabbale nous enseigne que la sexualité et la spiritualité sont une énergie UNE.
Sous sa forme inférieure, elle se manifeste comme un instinct primaire et se manifeste par le stupre. Dans sa forme élevée elle se manifeste comme un amour intense et illimité de l’amour divin, une passion pour la vie et l’éclosion de la beauté de l’être intérieur. En sa forme élevée de joie et de bonheur, elle nous permet d’atteindre les sphères prophétiques de l’inspiration divine (Likkutei Moharan I, 24).
Nos sages, de mémoire bénie, disent que lorsque deux mots hébreux ont une même valeur numérique, ils sont en fait de même essence, mais à un niveau plus subtil et plus occulté. Peut-être est-ce pour cela que les mots hébreux Mashiach (messie) et Na’hash (serpent) ont la même valeur numérique de 358. En surface, ils semblent représenter deux forces opposées, en essence ils sont liés.
La tradition nous explique que lorsque l’ère messianique arrivera, nos instincts primaires seront « enlevés » et que tout sera transformé en bon. Cela signifie que ces instincts seront élevés et ne seront plus réprimés mais que la pulsion intime retournera à sa passion originelle de trouver sa réalisation dans la vie spirituelle de l’amour du Dieu vivant (Tikkunei Zohar 21 43a).
La vie est une célébration qui doit être vécue et si l’on nie sa propre nature et ses désirs, alors on nie sa nature divine et humaine, on nie la gloire intrinsèque de notre essence divine.
L’individu spirituel a besoin d’éléments positifs pour se transformer, il utilise ses désirs terrestres afin de les sublimer en des expressions créatrices et divines. Il élève le serpent afin de reprendre la route du royaume divin qui est en nous et autour de nous.

La Définition Kabbalistique du Serpent Na’hash

Par Elias Gewurz

Le mot, selon la tradition secrète, désigne un sentiment intérieur profond attachant une entité à sa propre existence individuelle, en lui donnant le désir ardent de la préserver et de l’accroître.
Na’hash, le serpent au sein de l’homme, est l’égoïsme radical qui pousse un être individuel à faire de lui-même le centre de tout l’univers. Moïse définit ce sentiment comme la passion réductrice d’une nature élémentaire qui est la source secrète avec laquelle le Créateur a animé toutes choses dans la nature ; nous la connaissons par le nom de l’instinct naturel.
Na’hash ne doit pas être compris comme un être séparé, mais plutôt comme un mouvement central donné à la matière, une source occultée agissant dans la profondeur des choses.
L’égoïsme de l’homme, ces passions aveugles qui nous sont communes aux premières étapes de notre évolution sont les rejetons de ce serpent – Na’hash. Ce mot signifie un instinct égocentrique déraisonnable dans toutes les langues orientales, il signifie une ardeur intérieure, un feu interne, agité par un violent mouvement et cherchant à s’étendre.
Le chaldéen dérive de lui toutes les idées de peur, de peine, d’anxiété et de mal et de passions douloureuses. En arabe, syriaque et éthiopien, il signifie une affliction tourmenteuse.

La Leçon de Na’hash.

Toute émotion amoureuse est expansive, toute émotion de haine est restrictive. L’Espoir et la Foi appartiennent à la nature de l’Amour et ils agrandissent l’âme, tandis que la Peur et le Doute et le Désespoir appartiennent à la nature de la Haine et contractent l’âme, nous rendant mal à l’aise et malheureux.
Le Serpent est contraction, petitesse et inversion ; tandis que les hommes se battent et se querellent les uns avec les autres, ils ressemblent plus ou moins au vieux Serpent, chacun tirant la couverture à soi, anxieux de sa préservation.
La Libération de la langueur du Serpent ne peut être obtenue qu’en sortant des voies du Serpent et en apprenant à obéir à la Loi de l’Amour, dont le premier édit est le sacrifice de soi.
Mysteries of the Qabalah, par Elias Gewurz, [1922], pages 22-23. Traduction française par Spartakus FreeMann, février 2009 e.v.

Le Serpent d’Airain

Par Spartakus FreeMann

Nombres XXI 6-9 : « Alors l’Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple et il mourut beaucoup de gens d’Israël.
L’Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu et le regarda, conservera la vie.
Moïse fit un serpent d’airain et la plaça sur une perche ».
Comme les mots hébreux pour serpent et airain sont les même lorsque l’on enlève les points massorétiques (N H Sh), certains y ont vu une interprétation que ces serpents étaient les Séraphins dont Isaïe a dit qu’ils avaient 6 ailes.
« Avec la tête d’un faucon [le serpent] est de nature divine et un symbole du Soleil.
C’est pourquoi une secte gnostique [les ophites] l’a choisi comme leur divinité tutélaire et c’est pourquoi le serpent d’airain fut élevé par Moïse dans le désert afin que les Israélites le regardent et vivent » (Pike, M&D, p. 278, « Lecture du 18ème degré »).
On peut rapprocher la nature des Séraphins, qui se tiennent le plus près de Dieu, de na’hash seraph, na’hash ne’hoshet, serpent brûlant. SARAPH, Shin Resh Phe, est la racine du verbe brûler.
Le séraphin reçoit le feu divin et le transmet aux hiérarchies angéliques inférieures qui elles-mêmes le distribuent à l’Homme.
Seuls les serpents pervertis apportent la mort, tandis que le serpent d’airain apporte la Vie éternelle, posé comme il l’est sur le bâton, tel le Christ sur la croix.
Ceci est renforcé par le fait que l’airain est une transmutation du bois (selon Isaïe 60, 17) et qu’ainsi le Christ identifie-t-il le bois de la croix et lui-même au na’hash ne’hoshet pour que « tout homme qui croit en Lui ait la vie éternelle… »
Tout comme le Serpent est lié à la Connaissance, à la sagesse et à la magie, le cuivre ou l’airain est-il connecté depuis des temps immémoriaux par toutes les écoles mystiques à la planète Vénus qui contrôle et dirige le manas humain supérieur – le manas étant tout autant le sauveur que le tentateur de l’humanité, car c’est en l’esprit qu’ils naissent.
Avec Vénus, nous revenons aux rituels naasènes de la hiérogamie sacrée de l’homme et de la femme. Il est d’ailleurs intéressant de noter ici que les rituels naasènes actuels se déroulent toujours avec la présence d’objets sacrés en airain marquant par là l’attachement de leur courant à la Femme symbolisée par Vénus, Déesse de l’Amour.
Pour finir, nous retrouvons encore le symbole du Serpent d’Airain dans la Franc-Maçonnerie au sein des Degrés du Rite Écossais Ancien et Accepté. En effet, le 25ème degré est celui dit du « Chevalier du Serpent d’Airain ».
Ce degré est dit avoir pour origine un Ordre hospitalier fondé lors des Croisades par un certain John Raph . Or, voici le mot de passe du grade est INRI et mot du grade est IOHAN RAPH . Or, Raph en hébreu signifie soigner, guérir et le référant au serpent d’airain est alors ici très clair. Avec IOHAN nous touchons aux mythes et symboles Johannites.
Lors des cérémonies de ce grade, l’effigie du Serpent crucifié sur le Tau est placée à l’Est du Temple. Pour finir, notons que le bijou du grade est un Tau surmonté par un cercle – la Croix Ansée – sur lequel un serpent est accroché.
Sur la croix elle-même sont gravés les mots KhaLaTI (Il a souffert), et sur la partie supérieure de la croix, le mot NeKhuShTaN (Serpent d’Airain).

La Lettre Thet et le Serpent… Et d’autres choses.

Par Na’hash

À Shin, ce Frère ennemi, INLE, l’Autre Serpent, Nos Têtes, réunies sur le Caducée, reposent sur ’Hesed et Geburah…
Thet forme le mot THYT : Thet Yod Tav, le Serpent de valeur 419.
Idéogramme très ancien qui désigne un Serpent qui se mord la queue ou encore, un bouclier.
« La neuvième lettre de l’alephbeth, en même temps qu’elle exprime la perfection de la Création, la réintégration quasi totale des énergies au divin, symbolise aussi la protection – nouvelle barrière – devant le divin. » A. de Souzenelle
« Que le bouclier soit confondu avec le serpent est là le profond mystère du serpent…
Cet animal symbolise la montée de l’énergie. Il rampe d’abord, puis est appelé à se redresser (avec la croix rédemptrice) et à monter le long de la colonne vertébrale, pour arriver à la tête où ayant achevé son cycle, le langage symbolique dit du serpent qu’il se mord la queue.»
Moise et le serpent d’airain, Sébastien Bourdon, 1653.moise serpent
Ici, nous rejoignons le symbole de la Kundalini. Telle une ligne à haute tension, la Kundalini canalise l’énergie provenant de l’union de deux principes conjoints : Shiva, le principe masculin et Shakti, le principe féminin.
La Kundalini est souvent représentée sous la forme d’une serpente lovée au bas de la colonne vertébrale, elle se déroule à l’intérieur du corps. L’élévation de la Kundalini permet d’atteindre à la Conscience Supérieure et donc à un état de plus grande perfection.
Si donc, le Thet est le symbole d’une perfection atteinte, il introduit aussi inexorablement la nécessité d’une destruction pour atteindre à une plus grande perfection encore.
Le dessin du serpent dont la tête rejoint la queue n’est donc jamais fermé, car, si la perfection absolue était atteinte, ce serait aussi la mort absolue. Car, la perfection absolue n’est qu’en dieu.
De par sa place dans l’alephbeth cette lettre rappelle la ’Ho’khmah, l’intelligence conceptuelle et contemplative. ’Ho’khmah est la neuvième Sephira à partir de Malkuth (la terre) et à partir de Kether c’est Yesod (la lune).
Et c’est en Yesod que se condensent toutes les valeurs des autres Sephiroth avant de descendre vers Malkuth.
Cette lettre symbolise la Bonté – car elle est l’initiale de TOV – et aussi la pauvreté. Ce double caractère se retrouve dans les mots TOUME’AH, impureté, et de TAHARAH, pureté.
« Yesod est la contrepartie spirituelle de Malkuth, tout comme la Lune est la contrepartie spirituelle de la Terre…
L’influence du cycle de la lune sur la terre et ses habitants ayant déjà été maintes fois prouvées, il est inutile de s’étendre plus sur la relation qu’il existe entre les deux planètes.
En observant la Lune, il est aisé de se rendre compte qu’elle n’émet pas de lumière propre. Comme tout le monde le sait, elle reflète l’éclat du Soleil (Tiphereth placée juste au-dessus de Yesod dans le schéma classique de l’Arbre) durant les heures sombres de la nuit.
Le Serpent pourrait donc être une réflexion du Messie [d’ailleurs, la valeur de Messie et de Na’ash est de 358, identité jusqu’en la réalité arithmétique]. Celui-ci brille en plein jour, mais c’est par l’intermédiaire de Yesod / du Serpent qu’il brille dans l’obscurité. » Krysaeus
Selon la Genèse III, 15 : « Une inimitié je placerai entre toi et Isha, dit Dieu au serpent, entre ta semence et sa semence. Celle-ci te blessera en tant que toi-tête, et toi tu blesseras Isha en tant que elle-talon ».
Nous devrions comprendre ceci comme une malédiction lancée par Dieu sur le Serpent à cause de son intervention dans le plan divin concernant la soumission de l’homme au sein du jardin de l’Eden. Mais regardons l’image donnée par Isha et le Serpent : la femme le blesse à la tête, ailleurs dans la Bible il est écrit qu’elle l’écrasera, tandis que le Serpent lui mordra les pieds.
La tête du serpent est aux pieds tandis que les pieds d’Isha sont sur la tête du serpent. Belle représentation du symbole de l’Ouroboros, ce Serpent qui se mord la queue ou parfois représenté sous la forme de deux serpents se mordant mutuellement la queue.
Nous voulons voir ici le lien qui unit la femme au serpent dans le cycle cosmique de vie-mort. Mais nous retrouvons aussi le symbole de la lettre Thet, ce serpent se mordant la queue, et qui symbolise donc les énergies accomplies. Sa valeur est 9, symbole de perfection et préside comme nous l’avons vu au mot Tov, bon.
L’union de la femme et du serpent serait donc un signe du bon et de la perfection. Mais nous retrouvons aussi une loi universelle de l’incarnation qui est d’épouser la terre pour être épousé au ciel…
Le serpent serait un ange jaloux de l’amour de Dieu pour l’Homme. Si nous acceptons le postulat que les anges ne peuvent être doué du libre arbitre, nous ne pouvons que nous interroger sur l’acte « libre » de cet ange.
Selon un certain courant occulte, le serpent serait non un ange rebelle, car la rébellion signifierait aussi possession du libre-arbitre, mais un agent de Dieu dont la mission aurait été de libérer l’Homme, de lui montrer le chemin sur l’Arbre de la Vie.
Le Serpent connu Eve, selon cette source cette connaissance fut sexuelle, et il lui posa la question de savoir où était l’interdit de manger des fruits de l’Arbre : « vraiment, est-ce qu’Élohim t’a dit de ne pas manger de tout arbre du jardin ? »…
Le questionnement introduit la réflexion qui fait naître un monde de possibles.
De cette union de la femme et du serpent, qui devrait selon le principe d’omniscience de Dieu être connue de Dieu et donc stoppé, il s’en suit une prise de conscience de la femme qui décide d’initier son époux.
Le résultat du passage de l’interdit et de la prise de liberté de l’Homme a pour conséquence la Mort. Mais cette mort est également le début du cycle de transformation de l’humanité-enfant au sein du Paradis vers l’Humanité-adulte, réalisée par elle-même.
Ainsi, la pseudo-chute d’Adam du fait d’Eve participe à un plan connu et prévisible de transmutation de la Création, de l’Homme et de Dieu lui-même. Cette transmutation qui aurait été impossible sous tutelle et sans liberté.
La mort ainsi acquise par la transgression devient un élément de la mise en marche du cycle cosmique vie-mort et donc de la possibilité de changement.
Le serpent Na’hash devient également pourvoyeur de la vie lorsqu’il est sous sa forme de Na’hash Ne’hosheth, ou serpent d’airain qui, dressé au sommet d’un bâton, guérit et donne la vie. Na’hash, Nun ’Heth Shin, est accomplit avec l’adjonction de la lettre Tav dans le mot Ne’hosheth, Airain.
Sous cette forme, le Serpent est identifié au Messie sur la croix « pour que tout homme qui croit en lui ait la vie éternelle ». Ainsi, encore l’on signifie qu’en la mort apparente, au travers du cycle, la vie est donnée.
Et Thet se lit alors comme le Bouclier, Thet, qui protège le Yod menant à la fin, la contraction signifiée par le Tav. Ici, nous arrivons à la symbolique du Tsimtsoum, que nous ne développerons pas dans le cadre de cet article, mais qui y prend toute sa valeur.
Le Thet est ainsi le cycle par lequel l’Homme achèvera son évolution. Nous arrivons ainsi à l’essence du Serpent qui est double, féminin et masculin, terre et eau, lune et soleil, vie et mort, bien et mal… Sauf que ces contradictions apparentes se voient sublimées en Yesod… Tout en Un.
La Lame XIII du Tarot de Crowley représente la Mort : « L’Univers est Changement ; tout Changement est l’effet d’un Acte d’Amour ; tout acte d’Amour contient de la Joie Pure. Meurs chaque jour.
La Mort est le sommet d’une courbe du Serpent « Vie » ; regarde tous les opposés comme compléments nécessaires et réjouis-t’en. » Cette Lame symbolise la transformation, le changement, le développement volontaire ou involontaire de conditions existantes. Sur cette lame, apparaît le Serpent accompagné du poisson et du scorpion ainsi que de l’aigle. L’Aigle étant dans cette optique le Gardien de la Porte des Dieux…
Quant au fruit, il nous est décrit comme « bon à manger, désirable pour les yeux et réconfortant pour réussir » (Gen, III, 6).
Ainsi, il rappelle:
  • 1- que l’Homme est appelé à jouir de la Connaissance
  • 2- que l’Homme est appelé à acquérir la Connaissance
  • 3- qu’il est appelé à la toute-puissance sur la Création que lui confère la Connaissance. Mais jouir de la Connaissance n’est pas avoir la Connaissance, et avoir la Connaissance ce n’est être Connaissant.
Le véritable travail pour l’Homme commence donc avec le serpent qui offre la jouissance de la Connaissance à Eve. Ainsi, l’Homme doit passer d’un état passif, jouir de la Connaissance à un état actif, Connaître en passant par la prise de possession de la Connaissance.
Nous retrouvons ici aussi cette poussée vers le changement, dur labeur qui exige de se changer soi-même. Le but serait d’atteindre à la divinité de l’Homme, qui ayant cueilli les fruits de l’Arbre de la Connaissance doit en transmuter la substance afin de s’en approprier les principes avant que d’accéder à l’Immortalité que conférera l’état de Connaissant.
Et voici ce que nous dit un ancien texte :
« Apprend à manger à l’arbre de la Science et savoure le fruit de l’Arbre de Vie. Cherche les dieux en toi-même et si tu les reconnais et découvres le lieu de leur demeure, tu as gravi la marche supérieure de l’échelle des douze degrés.
Ainsi sera éveillé l’amour « divin » qui ne demeure pas dans les hallucinations de l’homme mais dans son « coeur » ; et cet amour divin donne naissance à la force libératrice qui nous permettra la contemplation de la lumière éternelle et qui détruira toutes les erreurs. »
Pour conclure sur le Serpent, il est, en l’homme, « le plus sage des hayyat hassadeh (vivants des champs). Ainsi, le serpent est la plus sage barrière du champ de conscience de l’homme, car, dans la profondeur, le serpent se fait aussi barrière divine car son nom, Na’hash est construit autour de la lettre’Heth, barrière [’Heth est aussi la huitième lettre de l’alephbeth, et ce 8 couché représente le Grand Serpent Originel, l’Ouroboros, ou couché, le caducée d’Hermès, symbole de son rôle de messager divin !].
Le Serpent dans cette question posée qui débute l’Oeuvre, devient aussi celui qui ne permet à l’Homme de continuer son chemin vers la perfection que s’il est capable de partir à l’assaut d’Issah, et de réaliser ici-bas les Épousailles futures Célestielles.
Na’hash est donc aussi le gardien de la toute-puissance qui devra être alors livrée à l’Homme.
Na’hash, Nun ’Heth Shin, est celui qui « conduit (Nun ’Heth He) au Shin » qui l’oblige à conquérir son noyau.
Sous le nom de Satan, Shin Thet Nun, le serpent symbolise, par le Thet qui remplace le Yod du Shin, la dernière barrière pour vérifier l’Homme avant sa reconquête du Yod, de valeur numérique 10, où le 1 symbolise l’Homme et le 0 la Femme. La reconquête du Yod est donc la Hiérogamie divine.
Il y a aussi identité numérique, 358 [qui est une suite de Fibonacci et donc nous donne le Nombre d’Or, Clé Universelle du beau et du bon, Tov], et donc aussi la Guematria du Na’hash et Masiah (Messie), Mem Shin Yod ’Heth.
Le Serpent conduit au Shin, comme nous venons de le voir ; il constitue aussi une barrière, ’Heth, et travaille avec Yod He Vau He sur l’homme qui se fait poisson, Nun.
Lorsqu’il est redressé, le serpent devient « aigle », neser Nun Shin Resh, gardien de la dernière porte, lumière, ner Nun Resh, du Shin.
Avec l’aigle, nous dépassons toutes les contradictions apparentes du monde, nous sommes au-dessus de toute dualité qui se caractérise dans les luttes des frères ennemis.
Ces frères – frère en hébreu se dit ’ah, Aleph ’Heth – ennemis ne sont autres que l’Homme et Dieu, le Serpent et Dieu, l’Homme et l’Homme.
Et la dualité dépassée nous revenons à l’Unité, echad, Aleph ’Heth Daleth, lorsque le frère, ’ah, aura passé la porte, Daleth ».
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les coups de coeur

Maître

de Sagesse

Auteur Un-connu

Si tu te contentes de boire l'eau de mon puits, demain tu mourras de soif, soit parce que j'ai fermé la porte, soit parce que je suis en voyage.

Si tu veux étancher ta soif, creuse ton terrain et tu trouveras la source car elle est en toi.

Creuse ton puits, ainsi tu auras toujours de l’eau partout où tu iras.

Le puits est en toi,

la source est en toi.

Cherche et tu trouveras le trésor qui t’enrichira.

N’oublie jamais que celui qui compte sur la richesse d’autrui est semblable à celui qui fait un beau rêve dans lequel il reçoit beaucoup d’argent, et qui constate au réveil que sa poche est vide. Le bien des autres est pour nous comme la fortune d’un rêve.

Cherche en toi et tu trouveras.


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