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lundi 29 août 2016

Les techniques méditative soufis

Les techniques méditative soufis


Le soufisme est une ancienne tradition de développement spirituel. Il est très répandu à l’heure actuelle.
Le Soufisme prend son origine à l’intérieur de l’Islam. Des enseignants-cheikhs Soufis disent, cependant, que le Soufisme ne peut pas être limité à une religion particulière, période historique, société ou langue. Ils appellent Soufisme “l’essence pure de toutes les religions” et croient que le Soufisme existe depuis toujours: c’est seulement son aspect extérieur qui change selon l’environnement culturel-historique contemporain.

Les Soufis, qui s’appellent souvent “les gens d’essence vraie”, d’âge en âge apportent au monde leurs enseignements ainsi que leur art qui reflètent leur perception du beau. Le symbolisme Soufi, images et thèmes sont trouvés de manière significative dans le folklore oriental, la littérature et particulièrement dans la poésie. Telle est presque toute la poésie classique Persan-Iranienne qui est reconnue dans le monde entier. Largement connus sont les noms des poètes Soufis: Sanai, Rumi, Hafiz, Jami, Nezami. On peut dire de même, cependant à un degré moindre, au sujet de la littérature, de la poésie et du folklore Arabe et Turque.

Qu’est-ce que le Soufisme?
La racine Soufi signifie “pure”. Il correspond à l’essence des enseignements Soufi et à l’apparence spirituelle de ses meilleurs représentants. Les vrais maîtres du Soufisme, les vrais Soufis* sont en effet purs et hors du dogmatisme et du fanatisme, sont exempts des préjugés confessionnels et nationaux. Une aspiration forte à la pureté morale et impeccable, particulier aux Soufis, a aussi contribué à leur donner un autre nom dans le monde Arabe — Chevaliers de la Pureté (Sahiba-i-Safa) [2].
Grâce à la grande flexibilité et à l’ouverture aux influences extérieures, le Soufisme n’est pas actuellement un système uniforme. Ses différentes tendances, directions, écoles, groupes diffèrent les uns des autres par les aspects méthodologiques qu’ils soulignent, par les méthodes de pratiques qu’ils préfèrent. Parmi les Soufis, il y a des ordres bien connus avec d’anciennes traditions et également 12 confréries (“parental”) principales. En outre, il y a beaucoup d’autres structures dans le Soufisme: de plus petites confréries, des communautés, centres, cercles.

Parlons des principes fondamentaux des enseignements Soufis:
— Le Soufisme tient une croyance selon laquelle l’univers consiste en 7 “plans d’existence” [2]. Ceci concerne la multidimensionnalité de l’espace.
— La dimension la plus subtile, que les Soufis appellent Zat, est la Demeure de Dieu dans l’aspect du Créateur. Le Créateur et la diversité entière de Sa Création (Sifat, en termes Soufis) composent l’Absolu. Le Créateur infiltre la Création entière avec Son Amour.
— L’organisme humain multidimensionnel, qui est semblable en sa structure à la structure multidimensionnelle de l’Absolu, peut indiquer en soi des formes plus subtiles d’états d’être. On réalise ceci en se connaissant et en se perfectionnant soi-même.
Ainsi seulement en reconnaissant sa véritable essence l’homme peut-il réaliser la perception directe de Dieu et l’union avec Lui. Ceci est exprimé très laconiquement dans le hadith de Sunna* qui dit: “Celui qui se connaît lui-même connaît Dieu”. Sur les étapes finales d’une telle connaissance, la conscience humaine individuelle fusionne avec la Conscience Divine. Ce dernier objectif est décrit dans la tradition Soufie comme étant l’état le plus élevé de conscience Baqi bi-Allah (Éternité en Dieu). Les synonymes Hindous et Bouddhistes de ce terme sont Kaivalya, Mahanirvana, Moksha.
La base du Soufisme est l’amour (mahabba, hubb). Les Soufis disent même de leurs enseignements qu’ils sont “l’hymne à l’Amour Divin” et l’appellent tassawuri — vision-d’amour. L’amour est considéré dans le Soufisme comme la puissance qui renforce le sentiment d’être contenu en Dieu. Ce processus résulte en la compréhension qu’il n’y a rien dans ce monde à part Dieu, Qui est l’Amoureux et l’Aimé en même temps.

Un des articles de foi du Soufisme est “Ishq Allah Mabud Allah” (“Dieu est l’Amoureux et l’Aimé”).
Un véritable Soufi aimant se submerge graduellement, s’immerge et se dissout dans le Créateur — dans son Aimé.
Le principe de considérer Dieu en tant qu’Aimé provient de l’expérience directe des Soufis. Les Soufis décrivent ceci de la façon suivante. Quand l’homme traverse une certaine partie du Chemin de l’Amour, Dieu commence à l’aider plus activement en l’amenant en Sa Demeure. Et alors, il commence à sentir plus intensément l’Amour Divin de Dieu.

Voyons comment cet amour, conduisant l’homme à Dieu, se développe selon les vues Jalaluddin Rumi [10].
Cela se produit:
1) par le développement de l’amour émotif et cordial pour tout le beau et l’harmonieux dans le monde;
2) par l’amour-service actif et sacrificiel pour les personnes;
3) et ensuite — en prolongeant cet amour à toutes les manifestations du monde sans distinction entre elles; les Soufis disent: “Si vous faites une distinction entre les choses provenant de Dieu — vous n’êtes pas un homme sur le Chemin spirituel. Si vous pensez qu’un diamant peut vous ennoblir et qu’une pierre peut vous abaisser, alors Dieu n’est pas avec vous” [5];
4) Un tel amour développé pour tous les éléments de la Création est réorienté alors au Créateur — et l’homme commence à voir que, selon Rumi, “l’Aimé est présent dans tout” [4,10].
Évidemment, ce concept de l’amour est identique à celui décrit dans la Bhagavad Gita et le Nouveau Testament: il a les mêmes repères et accents. L’amour vrai est considéré dans le Soufisme comme dans les meilleures écoles spirituelles de l’Hindouisme, du Bouddhisme, du Christianisme — comme seule puissance capable d’amener l’homme à Dieu.

Souvent, les cheiks Soufis vivent dans le monde étant occupés avec des activités de ce monde. Ils peuvent opérer un magasin, un atelier, une forge, peuvent composer de la musique, écrire des livres, etc. Les Soufis croient que l’on n’a pas besoin de vivre en reclus pour aller à Dieu. Ils disent que l’activité en ce monde par elle-même ne vous sépare pas de Dieu si vous n’êtes pas attachés à ses fruits et si vous vous souvenez toujours de Lui. Par conséquent à toutes les étapes de la montée spirituelle, l’homme peut être impliqué dans la vie sociale. D’ailleurs selon le Soufisme, c’est la vie sociale qui fournit à un individu les possibilités afin de se perfectionner. Si chaque situation de la vie est considérée comme éducative, alors on peut vivre côte à côte avec la plus terrible et méprisable des personnes. On peut être soumis à l’influence la plus grossière — et ne pas en souffrir; au contraire, on peut être joyeux et calme et se perfectionner par ces contacts sociaux donnés par Dieu.

Quant aux étudiants-murids, les cheiks Soufis disent que ce n’est pas tous ceux qui veulent devenir Soufis qui peuvent le devenir. Ce n’est pas tout le monde qui peut comprendre les enseignements Soufis. Les Soufis disent qu’on ne peut rien enseigner: on peut seulement montrer à l’homme la voie, mais il doit la marcher lui-même. Par conséquent, si un aspirant n’est pas capable d’employer les enseignements pour son développement spirituel l’éducation est sans signification: les enseignements le traverseront comme l’eau traverse le sable.

La capacité d’un aspirant à comprendre les enseignements est déterminée par le cheik. À cet effet, les cheiks emploient souvent des méthodes provocatrices. Ils mettent les aspirants dans diverses situations, les impliquent dans des entretiens innocents — en vue de déterminer leur niveau de développement. Si les aspirants semblent prometteurs, alors le cheik les observe pendant un certain temps afin de déterminer leurs qualités individuelles et dans quelle mesure ils peuvent comprendre les enseignements. Ensuite, selon le résultat obtenu, à chaque murid est donnée une certaine tâche pour toute la durée des études et périodes d’enseignements.
Après avoir déterminé les attributs spécifiques du développement de l’étudiant le cheik peut l’envoyer vers d’autres ordres, fraternités, centres éducatifs. Le débutant se déplace de cheik en cheik et graduellement comprend et maîtrise le programme. Après une longue et complète étude, le murid revient à son premier cheik. Alors, le cheik donne au murid le “polissage final” et ce qui s’appelle ijaza (permission) de continuer la tradition du cheik et prêcher les enseignements.
La sphère des enseignements Soufi inclut les côtés ésotériques et exotériques. C’est-à-dire, les murids se développent non seulement moralement, intellectuellement, psychoénergétiquement: ils maîtrisent également les méthodes, les secrets du métier ou art de leur cheik. Plus tard ceci les aide dans la vie.
* * *
Le processus de l’enseignement Soufi peut être subdivisé en plusieurs étapes.
L’étape initiale de la pratique spirituelle — charia (loi) concerne l’obéissance stricte à tous les préceptes religieux. L’étude initiale de la charia est une condition obligatoire pour entrer sur le chemin du développement spirituel.
L’étude ésotérique commence à l’étape suivante — tariqa (chemin, voie). La maîtrise du tariqa est liée à la maîtrise d’une série d’étapes-maqams.
Dans l’aspect moral, les maqams impliquent la réévaluation fondamentale de ses valeurs. Ils impliquent trouver ses propres vices et de s’en repentir (tauba), abstention de l’interdit (zuhd), stricte distinction entre le permis et le non-permis (wara), refus des attachements non spirituels et des désirs (faqr). Les murids apprennent la patience (sabr), “en avalant quelque chose d’amer sans montrer de dégoût”.

Le souvenir constant au sujet de la mort, au sujet de son inévitabilité mènent les murids à réévaluer beaucoup de choses. En particulier, les murids développent une attitude prudente par rapport au temps qu’ils ont sur Terre. Les réflexions sur la mort sont des moyens efficaces de combattre des attachements non désirés et des habitudes. Al-Ghazali dit: “Si vous aimez quelque chose du monde et qu’un attachement est né en vous — rappelez-vous la mort” [6].
À l’étape du tariqa, on effectue un travail intellectuel intense. Les cheiks suggèrent constamment à leurs étudiants de nouveaux thèmes de réflexion, parlent avec eux au sujet des principes fondamentaux des enseignements. Les murids deviennent au courant des diverses sources littéraires qui présentent beaucoup de paraboles, d’histoires éducatives, etc.
Pendant que le murid passe par tous les stades de cette étape, lui ou elle développent un désir ardent d’atteindre l’unité avec le Créateur et d’entrer en état de rida. Les Soufis définissent le rida comme “l’attitude imperturbable vers sa prédestination”, qui est l’état de sérénité, de calme en ce qui concerne ce qui arrive.

Ceux qui ont passé avec succès les maqams du tariqa reçoivent la possibilité d’aller plus loin sur le chemin de la marefat — connaissance méditative de Dieu. À cette étape, un “polissage” éthique plus grand de l’étudiant a lieu; l’amour de l’étudiant (dans ses différents aspects), la sagesse et la puissance se perfectionnent. Le Soufi qui a traversé cette étape connaît vraiment la multidimensionnalité de l’espace, “l’illusion” des valeurs de la vie matérielle, reçoit une expérience vivante de communion avec Dieu. En tant qu’arif (celui qui a connu) une telle personne reçoit l’initiation dans les cheiks.
Quelques arifs parviennent à atteindre la quatrième étape — haqiqat (haqq signifie la vérité), à laquelle ils parviennent finalement à la maîtrise du vrai état d’être. Ceci amène l’arif à la fusion entière de la conscience individuelle avec le But de ses aspirations — avec le Créateur.
Le travail spirituel à ces étapes correspond à celui performé à l’étape du bouddhi yoga.
* * *
Une partie intégrale du travail spirituel à toutes les étapes de la montée spirituelle des murids est la pratique psychoénergétique. Cela accélère de manière significative le processus de l’autodéveloppement moral et intellectuel. Parlons plus en détail au sujet des méthodes psychoénergétiques du tariqa.
L’enseignement psychoénergétique dans le Soufisme est fait de façon à ce que tous les étudiants reçoivent des tâches spéciales du cheik selon leurs particularités et capacités individuelles de compréhension. En même temps, le cheik donne une formation psychoénergétique à des groupes d’étudiants.
Aux étapes initiales de la pratique psychoénergétique, le cheik suggère aux murids plusieurs exercices différents pour le développement des capacités de la concentration afin d’arrêter le flot des pensées et réaliser une “pause mentale”; ils travaillent aussi avec des images. Après cela, divers exercices psychophysiques sont employés: mouvements rythmiques sur une musique, Soufi tournoyant, etc.

L’utilisation de l’éventail entier de ces moyens crée un effet remarquable d’épuration, développe les structures énergétiques de l’organisme (l’anahata, en particulier). Certains de ces exercices causent “une harmonisation subtile” du corps, de l’esprit et de la conscience et amènent les participants à un état d’extase que les Soufis appellent hal. Il y a différents genres de hal. Le plus souvent l’étudiant atteint les états suivants: kurb — sentiment de la proximité de Dieu, mahabba — sentiment d’amour ardant pour Dieu, khauf — profond repentir, shauq — désir ardent passionné pour Dieu, etc.
Considérons certaines de ces pratiques.

Les danses des derviches, par exemple, exigent la relaxation absolue du corps et l’atteinte du calme mental complet. Contre un tel fond de relaxation et d’harmonisation méditatif de la conscience au Créateur, de tels mouvements spontanés et harmonieux du corps se produisent. Ils ne sont pas planifiés; ils ne proviennent pas de l’esprit, mais c’est comme s’ils se produisaient spontanément. Habituellement, les danses des derviches sont exécutées avec l’utilisation de musique méditative ou de chants méditatifs. Ceci assure l’harmonisation appropriée de tous les danseurs et apporte tous les participants prêts à l’état de hal.

Une autre technique intéressante est le tournoiement Soufi. Il permet, en particulier, de déplacer la conscience en dehors par le chakra de la tête, ce qui facilite l’entrée en état de hal. Il y a diverses variations de cette technique. Le tournoiement peut être exécuté avec de la musique ou sans elle, avec l’utilisation des mantras, avec la concentration en certaines structures d’énergie de l’organisme. Dans le dernier cas, le tournoiement contribue au développement des chakras. Les règles générales d’exécution de cet exercice sont les suivantes:
1) on ne peut commencer le tournoiement plus tôt que trois heures après un repas de viande;
2) le tournoiement est exécuté dans n’importe quel sens, sur le fond de la pleine relaxation du corps;
3) les yeux sont ouverts et fixés sur une des mains levées ou pas fixés sur rien du tout;
4) le tournoiement est exécuté selon un rythme individuel, en commençant et en terminant l’exercice le plus doucement possible;
5) en cas de chute pendant le tournoiement, on doit s’allonger sur le ventre et relaxer;
6) après l’exécution de l’exercice, il est nécessaire de se détendre;
7) également, on doit être entièrement confiant dans la technique, entièrement “ouvert” en exécutant l’exercice. La durée de l’exercice est individuelle et peut varier de plusieurs minutes à plusieurs heures.
À l’étape “mature” du tariqa, on effectue un travail intensif de développement et de perfectionnement des structures énergétiques de l’organisme. En des termes Hindous, cela concerne, en particulier, les chakras et les nadis (méridiens). Dans ce travail, une considération particulière est mise sur le développement de l’anahata — le chakra responsable de la production des émotions d’amour sincère.
Une des techniques de cette sorte est la méditation par le rire. Les participants s’allongent sur le dos et se détendent complètement. Après l’harmonisation méditative, ils placent une main sur la région de l’anahata, et l’autre main — sur la région du muladhara, pour activer ces chakras. Alors, ils commencent à déplacer à travers l’organisme des vagues de doux rires légers (du muladhara — aux chakras de la tête). La méditation du rire crée un effet d’épuration et contribue au développement des chakras, et du méridien central, si elle est exécutée au niveau nécessaire de subtilité*.
Une autre technique utilisée dans le Soufisme est le zikr. Il y a beaucoup de variations, modifications du zikr — selon les traditions de la fraternité ou de l’ordre, la maîtrise du cheik. Zikr est exécuté de la façon suivante:

Tous les participants se tiennent ou s’asseyent en cercle. Le cheik donne l’harmonisation méditative et ensuite, par son instruction, les participants commencent à exécuter une série d’exercices consécutifs. Ces exercices sont des mouvements rythmiques effectués dans un tempo toujours croissant (par exemple, prosternations, tournoiements, balancements du corps). Avec les mouvements, les participants chantent des prières.

Dans certains ordres, ils attachent une grande importance à la musique, au chant dans la classe de méditation. Ils croient que la musique — la nourriture de l’âme (ghiza-i-ruh) — est un moyen très puissant contribuant au progrès spirituel. Ils emploient grandement la musique qui incite le corps à se mouvoir spontanément (tarab), qui facilite l’entrée dans des états méditatifs profonds (saut), etc. Dans certains ordres et fraternités, ils écoutent quotidiennement de la musique, ont des classes collectives avec des chants, des vers mystiques (sama), des danses et de la musique extatique, etc.
L’efficacité de ces techniques consiste, en particulier, au fait que les méditations sont exécutées non seulement dans des positions immobiles du corps, mais également dans les mouvements.
Grâce à l’utilisation complexe de différentes méthodes, on peut activer plusieurs “centres” de l’organisme: émotionnels, ceux en mouvement et intellectuels.* Coordonné, le travail harmonieux de ces centres rend possible un changement rapide de l’état psychoénergétique de l’étudiant.
Indépendamment des méthodes ordinaires, dans le Soufisme il y a des techniques “accélérées” du développement spirituel. Au moyen de ces techniques secrètes, les murids peuvent faire un avancement très rapide. Ces techniques sont données seulement à ceux qui possèdent une très haute prédisposition psychoénergétique.

La tradition de méditation Soufie est très riche et très variée. Elle a accumulé une vaste expérience de travail avec le corps, l’esprit et la conscience. Les Soufis ont développé les manières afin de connaître la Wajd (Samadhi, en termes Hindous), les techniques pour accomplir la “cristallisation” correcte de la conscience dans les plus hautes dimensions spatiales, et méthodes afin de maîtriser Fana-fi-Allah (Nirvâna dans le Créateur).

Dans le Soufisme il y a plusieurs choses originales. Cependant, on peut y voir une similitude remarquable aux traditions spirituelles d’autres écoles et directions — la similitude des buts, les manières de leurs réalisations, et même les méthodes. Ceci indique une chose importante: que le Soufisme, l’Hésychasme, le Taôisme, le mysticisme Bouddhiste, le yoga Hindou classique, la façon de l’école mexicaine de Juan Matus, et certaines autres directions sont basés sur les mêmes lois du développement spirituel. C’est seulement la réalisation de ces lois qui peuvent être différentes dans différentes conditions culturelles et historiques. Et il y aura toujours des gens qui — indépendamment de leurs traditions spirituelles — auront du succès sur la voie Soufie.

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mardi 27 octobre 2015

Abraham, l âme des multitudes, "Va vers toi"

Abraham, l âme des multitudes, "Va vers toi", va pour toi-même!

Voici une étude du texte biblique qui nous amène en entrant dans son intériorité, le sens caché du merveilleux voyage d'Abraham.
Au tout debut du chapitre, le nom d'Abraham était Abram.

"YKVK(un des noms de Dieu), dit à Abram: "Lekh lekha", Va pour toi, va vers toi, de ta terre et de ton enfantement et de la maison de ton père, vers la terre que je te montrerai" (Gen 12,1)
"Va pour toi", voilà la réponse à ta question.
Abram signifie en hébreux "Av-Ram, père-des multitudes" ou père d'en Haut. Donc, Abraham est le messager de la transcendance.

Nous allons donc étudiez ce passage à différents niveaux.
- Au premier degré, ce texte nous apprend qu'Abram entend la voix de YKVK et obéit à son injonction de partir.
"Térah" son père, fabriquait des idoles. On le sait par Josué. Abram fuit donc l’idolâtrie, la religion aliénante de ceux qui ne sont non-libres, soumis aux dieux, fidèles a leurs peurs et attachés aux apparences du monde. 
En fait, Dieu le libère de sa tribu, de ses coutumes et de ses croyances. 
- Au deuxième degré, YKVK, ne dit pas: "Viens vers moi", comme on pourrait s'y attendre de la part d'un Dieu qui entendrait lutter contre l’idolâtrie et le polythéisme. YKVK ne tente pas de remplacer l’aliénation aux multiples dieux  par une aliénation au Dieu Unique. Il dit "Va vers toi", Va pour toi", parce qu'il s'agit de tout autre chose!
 "Va-t'en pour toi", pour te connaitre toi-même, pour rencontrer les hauteurs dont tu es le père. Abram  s'appelle père des Hauteurs.

On dira alors qu’après notre éveil, cela devient notre deuxième naissance, bien après être venu au monde, nous nous donnons naissance à nous mêmes en acceptant notre liberté.
Quitte tes habitudes et tes désirs anciens, tes conditionnements, tes attaches, tes liens et ta prison quotidienne. YKVK, pousse chacun d'entre nous à se libérer. Laisse tes anciennes références, tes dieux, tes idées toutes faites; laisse absolument tout. Tout est possible dans cette seconde vie grâce à ce nouveau départ. Par pour te trouver, te re-trouver car il n'y a qu'ailleurs que nous sommes neufs (on dirait aujourd'hui, donne toi la possibilité de faire "un saut Quantique"

"YKVK" s'occupe toujours de avant tout de t'émanciper. Même lorsqu'il tonne des commandements, c'est pour te libérer. Certains ne s'en occupent pas, quelques'uns se libèrent en une seconde (la techouvah), d'autres y consacrent leur vie. "Va pour toi", que le vertige de la liberté te fasse moins peur que les certitudes des contraintes, dépasse ton conditionnement social, le bien et le mal, vers la transcendance des contraires.

- Au troisième degré, dans le Talmud, il se trouve une question que traitèrent les écoles de Rav Hillel et Rav Chamai: "Est il préférable de ne pas naître?
 Ou la vie, pour le vivant est une bénédictions?" (TB ER 13b), sujet traité pendant plus de 2 années.
Nous n'allons pas entré ici dans le sujet, mais voyons les implications des deux réponses possibles.
. Si tu prétends qu'il eut mieux valu n'avoir jamais été, alors tu dois être prêt à renier tout ce que tu es, tout ce que tu as fait jusqu'à maintenant, tout ce que tu es devenu.
Il y a une invitation à bien peser la portée de cette décision. Ton chemin spirituel, consiste dans ce cas là à expliquer à Dieu comment cesser de créer le monde et la vie. Cela commencerait par nous même et devrons découvrir par nous même comment dé-naître de notre vivant. Il nous faudrait nous demander ce que signifient Etre et n’Etre pas, et plus encore, ce que suppose n'avoir jamais été.
. Si nous pensons, c'est une bénédictions d'avoir été crée, tu dois préciser pourquoi?
 et dans cet exercice nous vas découvrir quelque chose...de notre propre désir d’Être.
La tradition juive nous transmet ce commentaire laconique: " il aurait mieux valu pour l'homme ne pas avoir été créé, mais puisqu'il l'a été, il lui appartient d'examiner sa conduite"
Donc pour répondre à une forme de la question existentielle: "Pourquoi la vie ou est il préférable de ne pas naître", les rabbins renvoient chacun à lui même "il lui appartient d'examiner sa conduite"

Examiner sa conduite, c'est s'interroger sur le sens de sa vie, de ses actes, puis observer leurs motivations, chercher en soi, à la racine de tout acte, la pulsion qui en déclenche l'idée, le besoin, la nécessité,....le Désir.

Une réponse personnelle et universelle se révèle dans cette introspection: je veux vivre.
La racine du moindre de mes actes , quelque soit les formes de lesquelles ils s'expriment, ce sont toujours le désir d’être et le désir de vivre, apercevoir cet réponse , et même assumer être le créateur de sa propre pulsion voilà un chemin possible pour son progrés spirituel.

"Va vers toi", Abraham va découvrir ce qu'il n'aurait pas vu s'il n'était pas allé vers lui-même: au delà du désir, bons ou mauvais, il a contemplé le désir tout court, ni bon ni mauvais voir au delà, le désir d’être..."Adam, le père de l'humanité, affirme que les mesures de l'intérieur et de l'extérieur de sa tombe sont identiques, cad que les parois n'ont pas d'épaisseur. Il nous indique qu'entre ce monde -ci et l'autre , la frontière est sans mesure, sans importance. La vie et la non vie ont quelque chose de commun (voir l'article la lumière à partir de rien) 
Ce quelque chose , c'est le désir d’être ou le non désir d’être. Va vers toi même pour le savoir par toi-même.
Dans le Zohar, il est dit: "les justes se mettent à l’écoute de leur voix" alors que les injustes sont privés de leur lumière, leur lumière est dispersée vers l'extérieur, dans l'extériorité. Ils vivent dans des désirs sans percevoir leurs racines.
Le juste, lui écoute sa voix au plus profond de lui même "Va vers toi-même" Lorsque nous quittons tout qui est alors notre guide ? Ou sont nos repères, le lieu de la connaissance, la sagesse? interroge Job (job 28.13). En toi, nulle par ailleurs, déplace ton intention vers l'intérieur du monde , au plus profond de toi, et dévoile alors ton désir d’Être.  

- Au quatrième degrés, le niveau secret, tout va être élucider. Abraham, représente l’Âme de l’âme enseigne un maître. 
Le propre de l'homme est d'oublier d'ou il vient.
Le rôle de Dieu est de le lui demander sans cesse: d'ou viens tu? Ou vas tu ? (Gen 3.9). Mais l'ennui, c'est que l'homme lui retourne la question, Qui suis je? D’Où viens-je ? Ou vais je?
"Va vers toi-même!", tu viens de toi même et tu vas vers toi même.
Certains désirent avoir des enfants, ils veulent les voir installé et heureux, d'autres veulent réussir leurs carrières, devenir riche, célèbre, travailler.....
Mais quelle est la racine de ces désirs? 
Va vers toi même, mets toi à l'écoute de ta voix, du lieu ou tu te trouves , "Ici et Maintenant"
Abram et Abraham, c'est chacun de nous . Avant qu'Abraham ou Abram, l’Âme de l’âme était avec l’Être YKVK. L’Âme de ton âme aussi car c’était la même car à ce niveau tout est UN.
Au niveau métaphysique, "...de ta terre" c'est ton lieu originel, "...de ta maison" c'est la présence et"... de ton père" c'est le saint, "... vers la terre que je te montrerai..." c'est ce monde ci, si tu accepte de naître, de t'éveiller car (tu possédes le libre arbitre).
"le lieu originel", le maitre désigne l’Âme de ton âme, le désir Initial.
"la présence du saint", c'est l'ame, le souffle de vies (Rouah ou les sentiments) qui pénètre le corps au moment de la création du corps.
"ce monde", représente le corps

"Va pour toi", l’Âme de ton âme au sein de l'UN désire l’être, la vie, le monde, et pour répondre à ces aspirations, elle doit se séparer de sa source qui est l’être absolu. YKVK, lui accorde ce désir.
Le Désir qui a frémi au sein de l'Un le ״י״, et qui a eu la création des mondes, pour conséquence,est le meme que celui de l’Âme de ton âme. L'enfantement de tous les enfantements, c'est le départ.
Tu es le fils de ton père et de ta mère, et le petit fils de quatre grands-parents, mais nos parents ne nous apportent que le corps de chair nécessaire pour vivre dans ce monde. Fondamentalement, tu es ton propre père.
Mais une fois, dans ce monde, YKVK s'adresse à l’Âme de l'âme qui a désiré s'en aller dans ce monde-ci "Va vers toi-même" Maintenant, que tu es né, observe le désir d’être qui ta fait naître est le sage voit alors ce qu'il prenait pour un exil est en fait fait un Exode!
L'exil est un départ involontaire, un séjour force, un acte sans désir, l'Exode est une Libération, une aventure, un départ désiré, un commencement...

de l'En Haut à l'En Bas et de l'En Bas à l'En  Haut:

- de Haut en Bas, YKVK, accorde à l’Âme de l’âme qui désire être, son désir d’Être.
- de Bas en Haut, YKVK, enjoint à l'homme "va vers toi même", ainsi si il entend l'appel, son âme se connectera à la source.

Malheureusement, l'homme a tendance à oublier sa source, ainsi l’Âme de l'âme ne s'éveille en l'homme que par la sagesse ou par la crainte ( cad par la voie de la dualité de l'arbre de la connaissance)
 Le but est d'éveiller en soi , de façon à ce que Tout soit en soi. Un vouloir unifié, un désir assumé, une union du Divin et de l'humain... "la voie du milieu,  l'arbre de Vie" 

.par la sagesse ou par la crainte, nous ne parlons pas d'une peur, nous parlons d'une crainte amoureuse comme l'amoureux qui craint de perdre de vue sa bien aimée....


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mardi 6 octobre 2015

La voix soufie






La voie soufie : La philosophie religieuse de l’amour, de l’harmonie et de la beauté


(La pensée Soufie. No59-60. 1979)
J’ai toujours trouvé admirables les gens qui lorsqu’un ami leur demande : « Mais qu’est donc ce Soufisme auquel tu t’intéresses? », sont capables de répondre du tac au tac et de donner du Soufisme une définition lapidaire et qui, soit cependant compréhensible pour tout un chacun.
Inayat Khan, un jour qu’on l’interrogeait sur ce point, répondit : « Vous pourrez dire que c’est la philosophie religieuse de l’amour, de l’harmonie et de la beauté”.
C’est une définition à la fois très belle, très large et très vraie. Mais comme la plupart des définitions, elle est un peu abstraite et risque de laisser notre interlocuteur dans le vague si nous ne sommes pas capables de la lui expliquer davantage ; pour la lui expliquer, peut-être faudrait-il commencer par bien la comprendre nous-mêmes ; et le mieux pour la comprendre au fond serait peut-être d’en faire une réalité.
Or les gens qui, parmi les Soufis se rattachant à Inayat Khan, ont, fût-ce à un degré mineur, découvert en eux-mêmes le principe d’amour, qui ont appliqué la loi d’harmonie dans leur existence quotidienne et grâce à cela ont fait de leur vie une œuvre de beauté, ne sont pas légion. Eux seuls pourtant peuvent justifier une telle définition devant le monde extérieur.
Pour nous, qui n’en sommes pas encore là, nous pouvons expliquer que tel est l’idéal que nous cherchons à vivre. Et nous pouvons indiquer que nous trouvons une aide dans l’œuvre d’Inayat Khan, dans l’esprit qui se dégage de cette œuvre et aussi dans l’amitié qui nous lie à certains de ses disciples. C’est en quoi nous pouvons affirmer aux autres : je suis bien Soufi, ou plus justement et modestement peut-être : je suis bien un aspirant au Soufisme.
On trouvera dans le présent numéro de quoi mieux comprendre l’importance que le Soufi donne à l’amour, ce qu’il entend par l’harmonie et de quelle beauté il s’agit.
Mais peut-être faudrait-il aussi expliquer plus clairement ces deux mots : « philosophie religieuse », deux mots piège qui risquent bien d’être une source de méprise.
Pour la plupart des gens en effet, la philosophie est une étude que l’on fait dans des livres assez difficiles à lire, ou en suivant une formation universitaire « ad-hoc ». Pour les spécialistes, c’est une activité de l’esprit qui se détache des objets ordinaires pour ne s’occuper que des idées, et non des choses que ces idées représentent. C’est ainsi par exemple qu’un philosophe pourra concevoir et énoncer sur la morale, les idées les plus sublimes sans pour cela les appliquer dans sa vie ; qu’il pourra, s’occupant de spiritualité montrer une compréhension remarquable sans pour autant devenir spirituel ; et faire les études les plus pénétrantes sur la psychologie sans pour cela tâcher d’agir sur son propre esprit. Mais ce n’est pas une telle philosophie que l’on a en vue dans le Soufisme.
Quant à ce que l’on entend par « religion », le piège est pire encore on peut lui donner tant de sens différents, depuis la sainteté la plus authentique jusqu’à. la plus effroyable des inquisitions !
C’est pourquoi il, est nécessaire de préciser le sens du terme « philosophie religieuse » que nous avons évoqué plus haut.
La philosophie dont il est question en Soufisme est éveil à la vie de l’Esprit.
Et c’est d’abord l’éveil à l’idée qu’au-delà de notre petite personnalité limitée, de notre « moi je », du personnage enclos dans son identité civile que nous croyons être, s’étend tout un domaine de conscience qui est beaucoup plus vaste, plus heureux, plus libre et plus durable et que ce domaine, il est possible pour nous de l’atteindre. Mais cette philosophie est encore « religieuse » dans le sens où ce n’est pas notre « moi-je », notre égo qui décide de cet éveil, de l’évolution de notre personnalité qui en est la conséquence, ni de ses modalités. Notre ego, notre « moi-je » ne peut qu’acquiescer à une volonté plus profonde qui s’est levée en nous et se soumettre à une autorité plus haute. Autorité qu’il peut reconnaître en un Dieu extérieur, ou bien dans la voix d’un Guide intérieur, ou bien encore sous forme humaine, comme son Maître spirituel. Une telle soumission peut sembler bizarre ou peu naturelle à un esprit peu averti. Pourquoi cette privation de liberté ? Mais où est la liberté ?
Quand nous sommes enchaînés à toutes les petites préférences et toutes les petites répulsions de notre « moi-je » pouvons-nous prétendre que nous sommes libres? En outre, il ne faudrait pas voir cette soumission comme obligatoire, forcée, ni même comme délibérée. C’est bien au contraire une attitude qui naît spontanément, une attitude faite d’amour, de respect, de dévotion, une attitude qui provient du fait que nous avons touché du doigt notre propre impuissance et réalisé la bonté supérieure et la vraie puissance de l’un de ces trois aspects du Divin : le Dieu extérieur, le guide intérieur et le Maitre humain.
Que l’on ne se méprenne pas. Ce qui précède n’est nullement l’exposé d’un nouveau Credo d’une nouvelle Foi. Encore moins une sorte de « programme à suivre » pour arriver à l’état de Soufi ; et bien moins encore une propagande pour un certain mouvement. C’est la description du processus naturel par où passent toutes les âmes lorsqu’elles s’éveillent à la vie intérieure. Le Soufisme (ou toute autre discipline) ne peut offrir qu’une méthode pour cette fin.
Dans ce cas, puisque le Soufisme est une méthode, comment la définir?
On demandait un jour à Inayat Khan en quoi la méthode soufie se différentiait par exemple de la voie chrétienne ou bouddhiste ou védantique. Il répondit en substance qu’il n’y avait pas de différence fondamentale puisque le but final est le même, mais que si l’on voulait trouver une différence on pouvait le trouver en ceci : tandis que les trois précédentes mettent plutôt l’accent sur l’ascétisme le renoncement extérieur au monde et la vie érémitique ou monacale, le Soufisme (sans exclure aucune voie) cherche plutôt à ne pas séparer la vie extérieure et active dans le monde, avec tout ce qu’elle implique, de la vie intérieure et se sert de la première pour mieux vivre la seconde, mais en ayant spécialement égard à l’harmonie.
Le terrain d’évolution de l’être humain normal est l’existence elle-même avec ses luttes ses victoires apparentes et ses défaites illusoires ; avec ses espoirs et ses désirs (qu’il faut apprendre à tenir en main) ses craintes (qu’il faut affronter pour les dépasser), ses moments d’abattement (qu’il faut apprendre à surmonter) et ainsi de suite. Sur ce terrain chaque situation nouvelle se présente à nous comme un défi ou mieux comme un examen qu’il s’agit de réussir. Si nous ne réussissons pas du premier coup, notre destiné nous le fera recommencer sous une autre forme dans des circonstances et un environnement qui pourront être différents mais analogues. Lorsque l’examen est enfin passé, ce succès nous permet d’accéder un peu plus haut, où nous attend une nouvelle perspective d’évolution.
Par conséquent, la première ambition du Soufisme est de nous aider à mieux comprendre la nature des situations dans lesquelles nous sommes placés et la manière de réussir nos examens successifs avec le plus d’aisance. Comment s’acquiert cette aisance ? Elle s’acquiert par l’exercice de l’harmonie. Comme en musique, il faut apprendre à reconnaitre à quel ton et à quel rythme appartient ce que nous rencontrons, que ce soit situation ou personne. Par exemple telle situation, telle personne, est-elle dans notre propre ton ? Pouvons-nous l’affronter d’égal à égal ? Est-elle accordée à un ton supérieur ou bien est-elle inférieure à nous ? Notre comportement, notre attitude devront être différents dans ces trois cas. Et quel est le rythme de cette situation, de cette personne ? Est-ce un rythme lent, égal, constructif qu’il ne faut pas contrarier, un rythme cohérent d’activité soutenue auquel nous devrons répondre, ou un rythme chaotique, destructif ? Il est évident que notre réponse à chacune de ces situations ne peut être identique.
La seconde ambition du Soufisme est de nous aider à mieux nous connaitre nous-mêmes, à toucher en nous la vie intérieure. Par vie intérieure, on entend non seulement la vie mentale et la vie des sentiments, comment voir les pensées vivre, se développer, d’où elles viennent, dans quelles directions elles vont et leur influence sur notre destinée, mais aussi comment en saisir les mobiles. Il s’agit encore de prendre contact avec ce qui est au-delà des pensées et des sentiments, domaine qui n’est pas si limité que nous le sommes, qui n’est pas si personnel et grâce auquel nous pouvons nous sentir unis à nos semblables, à ceux qui sont plus haut ou plus bas, à la vie autour de nous, aux choses mêmes. Mais il s’agit surtout de développer en nous ce qui est beau, comme la sympathie, la modestie, le respect, la pureté des motifs et aussi ce qui est fort, comme le courage, la patience, l’endurance. Pour tout ce qui touche ainsi à la vie intérieure, les pratiques spirituelles transmises par la tradition sont une grande aide.
Mais on ne peut pas très bien expliquer en quoi consiste cet entraînement ésotérique, car c’est chose beaucoup plus délicate qu’on ne l’imagine généralement, en fait, beaucoup trop délicate pour qu’on puisse en écrire quoi que ce soit. D’abord c’est un domaine trop intime, ensuite c’est un domaine trop individuel : chacun y a son chemin qui lui est particulier. De sorte que les expériences que l’on y fait ne sont pas forcément interchangeables d’une personne à l’autre. Cependant il y a une voie qui a toujours été considérée avec une particulière faveur par les Soufis et c’est celle de la dévotion.
Quoi qu’il en soit, c’est dans les deux directions que l’on a tenté d’indiquer plus haut que le Soufisme cherche à nous venir en aide : dans notre existence de tous les jours par son enseignement extérieur et dans notre vie intérieure par son entraînement spirituel.
Pensées du GAYAN de HAZRAT INAYAT
Le désir caché du Créateur est le secret de la création tout entière. (Chala 16)
La beauté est l’objet que chaque âme recherche (Chala 18)
Une personnalité attrayante est aussi précieuse que l’or et aussi délicieuse que le parfum. (Chala 20)
La vie est la chose principale que nous ayons à considérer, et la vie véritable est la vie intérieure, la réalisation de Dieu. (Chala 23)
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vendredi 22 mai 2015

La Paix de l Homme et la Femme, base du grand secret, l'Amour


Voilà une série de cours du Rav Yosseph Haï chlita de Bne Brak, qui reçoit tous les jours inlassablement pour dispenser ces connaissances aux personnes désireuses de maintenir la paix dans leurs ménages "Le Chalom Bait".
Ce grand homme donne pour donner sans attendre de retour de cette façon il s'associe au Divin, mais aussi à l'Etre Divin qu'y est en nous.


Elève du Rav Haim ben Yossef Coulani zatsal, kabbaliste yéménite ainsi que du Rav Grosner zal et Rav Moche Klein du Beth din de Bne brak.
Ces cours nous montrent comment l'Âme humaine fonctionne dans le couple de l'homme et la femme. 

Comment remédier aux mauvaises habitudes, fonctionnements,  afin de la sublimer par cette Union qui est la clé de la source de bénédiction car le véritable Amour nous emmène au plus haut niveau de l homme et de l humanité.

 car comme vous le dira ce grand homme seule votre Imagination est la Porte vers la spiritualitée, celle-ci vous permet d'Etre de voir, de ressentir de votre Vivant.
Ceci peut être prouvée aussi bien dans vos actions de tous les jours que par des expériences types scientifique, ,par des actions de tous les jours ou  scientifiquement ceci pour les esprits trop rationnel.
J'y crois, je l'imagine donc je Suis, je serais (si mon imagination me le permet alors tout est possible!) nous appellerons cela dans les termes scientifiques actuels "le Saut Quantique" car si nous changeons notre pensée, notre intention, nos sentiments du coeur alors tout est possible, tout devient possible pour nous.( voir aussi article sur les multi-univers et notre monde holographique).


Il faut avoir la Force de faire le changement, pas le changement en devenant religieux même si celui ci est un niveau très élevé car on ne peut pas dire à l'Etre humain comment Vivre comment faire car  dans ce cas, ils deviennent des esclaves et non libre de leurs Choix"

Ceci est une invitation à un des voyages au cœur des lumières que je vous propose... qui nous révèle que Tout est UN.


                                                                         Cours 1

Cours 2

Cours 3



Quelques autres vidéos sur sa chaine: youtube: https://www.youtube.com/channel/UCKU1dFq807Wjnp75ItK0lDg


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Les phrases de sagesse amour


"Le coeur est l'organe du désir" Roland Barthes
"Aucun de nous n'est complet en lui seul" Virginia Woolf
"Aime la vie et la vie t'aimeras. Aime les gens et les gens t'aimeront" Arthur Rubinstein"
" L'homme a ce choix: laisser entrer la lumière ou garder les volets fermées" Henry Miller
"Qu'est-ce que l'amour ? Le sentiment d'unité renforcé par les brisures."Didier Van Cauwelaert
'Etre soi veut dire s'aimer, s'accepter, se respecter tel qu'on est." Moussa Nabati
"le visage de mon prochain est une altérité qui ouvre l'au-delà" Emmanuel Levinas
"'amour n'est pas une manière d'être, mais de devenir." Francesco Alberoni
"le cœur est l'unique vérité, l'esprit n'est qu'une étape." Ramana Maharshi
"la cause principale de la guérison est l’amour." Paracelse
"La connaissance, c'est l'expérience que fait l'homme de l'unité qui unit tous les hommes. Maître Eckhart 
"L’homme n’est jamais aussi proche des dieux que lorsqu’il fait du bien à son prochainCicéron 
"La haine tue toujours, l'amour ne meurt jamaisGandhi
"L'amour fait songer, vivre et croire. Victor Hugo 
"Il n'y a pas de meilleur amour que l'amour sans objet.Rûmi
" arbres croissent en feuillage ; que notre âme croisse en amour ! Victor Hugo
C'est par le désir que progresse l'amourRûzbehan
On n’aime que ce qu’on ne possède pas en entier. Ma


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jeudi 26 février 2015

L écoute de l' Intuition

L’esprit et la matière par la science

Ce que la science entend par “esprit” est en fait la pensée, la conscience qui émerge des multiples interactions engendrées par l’activité cérébrale. En ce sens, l’esprit n’est qu’une conséquence des échanges chimiques effectués par les synapses de chaque neurone. La science en conclut donc que les pensées sont créées par le cerveau, et qu’en toute logique, la matière influence l’esprit, mais jamais l’inverse. Dans ce type de raisonnement, on ne peut bien évidemment pas imaginer que l’esprit et le corps puissent être séparés l’un de l’autre, et puissent exister indépendamment.
De plus, la production de conscience et d’intelligence est, selon la version officielle, une combinaison de challenges face à la sélection naturelle et d’une grande partie d’heureux hasards pour le reste. Le substrat cérébral se serait donc structuré au fil du temps, par auto-organisation.
Cette théorie est tout à fait envisageable, étant donné que les ingénieurs spécialisés en IA (Intelligence Artificielle) sont presque capables de simuler l’auto-structuration d’un programme informatique, connecté en permanence sur son environnement proche, par une caméra et un micro. Par contre, aucune théorie n’explique comment la conscience se crée, et même si on arrive à mettre au point des systèmes d’IA, peut-on pour autant parler de conscience ? Comment expliquer la créativité, les éclairs de génie, aptitude artistique, l’amour inconditionnel, la religion etc…
N’oublions pas que l’auto-organisation structurelle n’est valable que pour une petite partie des fonctions de l’être humain, et probablement pour les plus simples et les plus mécaniques. Notre conscience est infiniment plus complexe qu’un programme informatique, même si notre ADN y ressemble étrangement.

Mais finalement, qu’est ce que la conscience ?

(Voir article : Hod )

Définition de la conscience

Se rendre compte que l’on existe est une prise de conscience, ainsi que le fait de se représenter dans son propre environnement. D’une façon générale, c’est interagir avec son environnement par l’intermédiaire d’une représentation de celui-ci.
En d’autres termes, c’est la faculté d’interpréter les signaux qui nous entourent afin d’agir sur notre environnement dans le but de survivre. Il ne faut pas confondre conscience et intelligence. La moindre prise de décision exprime une conscience.
On parle toujours de la conscience humaine, mais la conscience peut s’exprimer à plusieurs niveaux. Chez les animaux par exemple, du plus petit au plus gros, leur conscience est bien présente et parfaitement développée.
Une fourmi a une conscience limitée, mais elle forme avec l’ensemble de la fourmilière une conscience collective surprenante, qui permet de s’adapter aux agressions de son environnement, et de répondre a des problèmes précis, ce qu’une fourmi n’est pas capable de faire seule.
Par extension, on peut parfaitement dire que la fourmilière a une conscience, de même qu’une famille, une ville, un pays, ainsi que notre planète.
N’oublions pas non plus qu’une plante est un organisme vivant, et au même titre que la fourmi, pourquoi ne pas envisager qu’à son niveau, elle participe à la conscience d’une prairie, d’une forêt, d’une montagne, puis finalement du monde végétal, qui, associé à la conscience de l’humanité, forme la conscience de l’écosystème de notre Terre.
Dans ce cas, difficile d’imaginer que la conscience n’est uniquement que le résultat des activités d’un cerveau complexe.
En fait, il existe vraisemblablement une infinité de consciences imbriquées les unes dans les autres, qui s’influencent mutuellement à tous les niveaux, formant une sorte de structure fractale de consciences collectives et interconnectées.
En fait, il faut bien se rendre compte que les consciences ne sont que l’infime partie visible de l’iceberg, le reste faisant partie du monde colossal et mystérieux de l’inconscient.

Une définition de l’inconscient

L’inconscient représente tout ce qui se passe en dehors de la sphère de perception de la conscience.
Avant qu’une idée émerge dans notre tête, avant que notre mental prenne en compte une information, son germe prend vie et se forme dans l’inconscient. Une fois l’information suffisamment concrète, l’inconscient va la formater pour qu’elle soit facilement exploitable dans la conscience, puis la faire émerger dans notre esprit.
Pendant longtemps et encore maintenant, l’inconscient a souvent été synonyme de chaos mental, l’inverse de la conscience. Nous allons voir qu’en fait, l’inconscient est beaucoup plus efficace que le conscient.
On peut facilement comparer la conscience à une interface informatique. L’ordinateur ne présente à l’écran uniquement ce qui est nécessaire à l’utilisateur. Cela ne veut pas dire qu’il ne se passe rien d’autre dans la mémoire, bien au contraire. Le logiciel (comparable à l’inconscient) calcule, compare, évalue, agrège et classe des milliers d’opérations à la seconde, sans que l’utilisateur ne s’en rende compte. Imaginer un instant que tout ceci soit visible en temps réel sur votre écran ! Le résultat serait incompréhensible, en d’autres termes, la conscience ne pourrait émerger. Cela supposerait dans ce cas que la conscience est initiée par l’inconscient.
Cela rejoint d’ailleurs parfaitement les travaux de Freud sur la Psychanalyse. Notre inconscient joue un rôle énorme sur nos comportements et nos décisions quotidiennes.

Le rôle de l’inconscient collectif et de l’inconscient personnel

Grâce aux travaux de Freud, la compréhension de l’inconscient personnel a permis d’expliquer la plupart des comportements jugés irrationnels, faisant faire à la science un extraordinaire bon en avant.
La science n’a pas pour autant lâché le fait que tout se passe dans le cerveau, et effectivement rien n’envisage le contraire.
Cependant, Carl Jung et le physicien Wolfgang Pauli vont venir bouleverser cette théorie pour le moins matérialiste et réductionniste.
Jung va introduire le fait qu’il existe un inconscient collectif, commun à tout le monde et à toutes les espèces, en communication permanente avec l’inconscient personnel de chacun. L’inconscient collectif s’exprimerait par l’intermédiaire de nos intuitions ou nos rêves, en utilisant le langage des symboles et des archétypes. Cette théorie met en avant le caractère non-local de l’inconscient, c’est à dire en dehors du cerveau.
De plus, c’est le premier à décrire des phénomènes de Synchronicité et de cohérence dans certains évènements n’ayant aucun lien causal, phénomènes considérés comme de pures coïncidences par science.
Quant à Pauli, il est le père des théories sur la mécanique quantique.
Cette théorie reconnue et prouvée scientifiquement montre entre autre, que la causalité peut être bouleversée, et que la communication instantanée, plus vite que la vitesse de la lumière, sans tenir compte des paramètres de l’espace et du temps, est possible.
Ceci permettrait d’envisager le fait que la conscience, l’inconscient personnel et l’inconscient collectif sont non-locaux et non matérialisés dans le cerveau, et qu’il pourrait exister un réseau de communication universelle entre ces différentes sphères de consciences et d’inconscient.
En ce sens, le cerveau pourrait être un organe capable de capter ce réseau, et de s’en servir pour concentrer et faire émerger la conscience individuelle.

Notre guide intérieur, le révélateur de notre intuition (le Soi)

Nous savons que la conscience ne peut traiter qu’un nombre limité et formaté d’informations, tout simplement parce qu’elle passe par notre système mental que représente le cerveau. Imaginer le nombre d’informations existant dans l’inconscient personnel, sachant qu’il pourrait avoir accès à l’inconscient collectif de toute la planète, ou de tout l’univers (présent, passé et futur), puisqu’il n’y aurait pas de notion d’espace-temps. Heureusement que notre conscience joue ce rôle d’interface et de filtre.
La conscience est donc un réceptacle qui récupère les résultats traités par le cerveau. Mais de temps à autres, le cerveau n’a pas le temps de tout traiter, et remonte certaines informations, sans les travailler. C’est ce qui se passe très souvent dans nos rêves, là où notre cerveau n’intervient pas.
Elles sont considérées en général comme incohérentes par notre conscience, mais curieusement, quand on sait interpréter les symboles et les archétypes, un début de sens se dessine.
Ces informations qui émergent spontanément, sans passer par le mental, directement vers notre conscience, sont à la base des phénomènes d’intuition.
Quand nous nous définissons en temps qu’être conscient, nous ne décrivons que notre esprit conscient (le Moi en psychologie). Or, nous sommes plus que le Moi, il existe un Soi qui englobe le Moi, et qui navigue dans l’inconscient personnel et collectif.
Il est notre guide intérieur, le révélateur de notre intuition et de notre créativité.

Notre époque rend notre mental obsolète

À notre époque, tout s’accélère. Le nombre d’informations à prendre en compte augmente constamment, et les relations structurelles avec les systèmes qui composent notre société sont de plus en plus complexes. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter !
Au quotidien, nous n’avons plus le temps pour rien. Nous sommes sans cesse obligés de courir pour rattraper le temps, notre cerveau n’a plus les moyens d’évaluer correctement toutes les informations que notre société produit. Et ce n’est que le commencement.
Dans un an, probablement, le volume des informations de nos systèmes auront doublé, et peut être même triplé.
À moins de créer des extensions virtuelles à nos cerveaux par des systèmes d’intelligences artificielles, nous sommes obligés d’admettre que notre mental est devenu obsolète face à l’évolution de nos technologies de l’information.
Le cerveau n’a que deux solutions, s’il ne veut pas retomber dans l’ignorance et le chaos, et ainsi faire régresser du même coup, l’ensemble de la conscience.
La première solution a de quoi nous faire peur, elle est déjà en marche.
Elle vise à nous faire devenir des êtres mécanisés, faisant toujours les mêmes choses dans des processus maîtrisés qui ne demandent aucune créativité, appauvrissant les sentiments et les relations humaines, et nous déracinant de notre environnement naturel.
Et pourtant, la démarche est logique, c’est notre cerveau qui s’auto-mécanise.
Il est largement plus simple de procéder toujours de la même façon, plutôt que de réinventer de nouveaux horizons qui nous obligeraient à réévaluer des volumes considérables d’informations.
En d’autres termes, on pourrait dire que notre cerveau est en train de figer son évolution par forfait, dans un état d’hypnose mentale, alors que le besoin en créativité devrait au contraire augmenter d’une façon exponentielle, pour affronter les situations de plus en plus préoccupantes.
Les fondements de la science, qui sont les fondations de notre société, sont à l’origine de cette situation.
La science n’admet pas qu’il existe une force plus efficace que le cerveau, sans fleureter avec les religions. Pourtant cette force existe en nous tous, c’est l’intuition !
Elle est la solution car elle ne passe pas par le mental, elle le court-circuite.
Quand vous étiez à l’école, n’avez-vous jamais entendu l’un de vos professeurs vous dire: “La première impression est toujours la meilleure, fiez-vous à votre première idée”.
Et oui, car après, le mental s’emmêle !
Quand vous êtes dans une situation d’urgence, là où nous n’avons pas le temps de réfléchir, (lors d’un accident de voiture par exemple), il se trouve que spontanément nous faisons les gestes qui vont nous sauver la vie, sans nous en rendre compte et sans paniquer, nous avons le bon réflexe. Une fois que tout est fini, que le mental reprend ses esprits, c’est là que nous commençons à perdre les pédales.

Être à l’écoute de son intuition

Observons ce qui se passe au quotidien. Notre conscience est-elle véritablement créative ? Toute la journée notre mental est perturbé par des milliers de distractions en tout genre, communication, bruits, changement de priorité, sentiments, émotions, agressions, souvenirs … Et d’autant plus à notre époque, et encore plus dans l’avenir.
Non seulement l’environnement ambiant n’est pas propice à la construction, mais en plus, le cerveau a tendance à fonctionner sans aucune logique structurée, uniquement par tâtonnement. Dans certains cas même, il se contredit en fonction des intérêts du moment. Il passe constamment du coq à l’âne, sauf quand il fait de la répétition, autrement dit ; quand il fait un travail sans âme.
Paradoxalement, c’est l’intuition qui est à l’origine de toutes les grandes découvertes qui ont révolutionné nos vies.
Le mathématicien Henri Poincaré avait mis en évidence ce phénomène de découverte scientifique spontanée qui explique le processus de création dans l’inconscient, pendant la phase qu’il nommait “incubation“. Puis, quand le mental était au repos, la solution de génie émergeait spontanément, il la nommait phase “d’illumination“.
Ce travail inconscient, et à fortiori intelligent, se manifeste très souvent par un flash ou dans les rêves, quand le chercheur a travaillé sur le sujet pendant plusieurs jours sans succès.
Tous les inventeurs connaissent parfaitement ce processus, pour l’avoir tous vécu.
Henri Poincaré a découvert dans un flash, une classe nouvelle de fonction mathématique complexe. Kékulé a découvert la structure de l’atome de Benzène dans un rêve …
Bien sûr, ce n’est pas le genre de chose que l’on va raconter à tout le monde, crédibilité scientifique oblige.
Sommes-nous toujours persuadés que le génie vient de la conscience ? Il semblerait que non !
Le vrai génie c’est notre guide intérieur qui nous insuffle l’intuition.
Alors apprenons à l’écouter ! Il représente probablement notre unique chance pour atteindre la prochaine évolution de notre conscience planétaire.
OLIVIER FARGIN


les coups de coeur

Maître

de Sagesse

Auteur Un-connu

Si tu te contentes de boire l'eau de mon puits, demain tu mourras de soif, soit parce que j'ai fermé la porte, soit parce que je suis en voyage.

Si tu veux étancher ta soif, creuse ton terrain et tu trouveras la source car elle est en toi.

Creuse ton puits, ainsi tu auras toujours de l’eau partout où tu iras.

Le puits est en toi,

la source est en toi.

Cherche et tu trouveras le trésor qui t’enrichira.

N’oublie jamais que celui qui compte sur la richesse d’autrui est semblable à celui qui fait un beau rêve dans lequel il reçoit beaucoup d’argent, et qui constate au réveil que sa poche est vide. Le bien des autres est pour nous comme la fortune d’un rêve.

Cherche en toi et tu trouveras.


CRÉER DE LA LUMIÈRE À PARTIR DE RIEN

A sa manière, Raymond Devos avait eu l’intuition de la nature ambiguë du vide, en expliquant dans un sketch que « rien … ce n’est pas rien. La preuve c’est qu’on peut le soustraire. Exemple : Rien moins rien = moins que rien ! Si l’on peut trouver moins que rien c’est que rien vaut déjà quelque chose ! On peut acheter quelque chose avec rien ! En le multipliant. Une fois rien … c’est rien. Deux fois rien… c’est pas beaucoup ! Mais trois fois...


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LE POINT ZERO ET CHAMP AKASHIQUE

Le champs de Cohérence akashique Les mystiques et les sages nous informent depuis longtemps qu’il existe un champ cosmique reliant tout à tout au plus profond de la réalité, un champ qui conserve et transmet l’information, connu sous le nom de «champ akashique». De récentes découvertes en physique quantique indiquent: celui-ci est réel et il a son équivalent dans le champ du point zéro qui sous-tend l’espace comme


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LES CHAMPS DE TORSION PRODUIT PAR LA CONSCIENCE EST LA CLÉ DE LA « THÉORIE DU TOUT »

Les champs de torsion, la clé de la « Théorie du Tout » incluant la conscience On attribue généralement la première recherche concernant la découverte du « champ de torsion » appellée aussi « 5ème force ou élement », au russe le Pr Mychkine dans les années 1800. C’est un collègue d’Einstein, le Dr Eli Cartan qui a le premier appelé cette force champ de « torsion »

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LA LUMIÈRE D APRÈS L'ARBRE SÉPHIROTIQUE

D’après la tradition Kabbalistique, la lumière est née dans Ain Soph Aur (Lumière illimitée), qui lui-même est né dans Ain Soph (L’infini), qui lui-même est né dans Ain (Vide absolu). Cette lumière illimitée se manifeste comme une étincelle...


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LA MEDECINE LUMIERE -1

La Médecine Lumière Commençons par quelques définitions: Qu'est ce qu'est la médecine: La médecine de type occidentale est la science et la pratique étudiant l'organisation du corps humain (physique, qq fois psychologique), son fonctionnement normal, et cherchant à le restaurer la santé par le traitement,.


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LE LIVRE DE NOE OU LA MEDECINE INDIENNE

Originaire de l'Inde, la médecine Indienne, ou médecine orientale, est un système médical complet et cohérent, tout comme le sont la médecine occidentale ou la Médecine traditionnelle chinoise, par exemple. Il est considéré comme le plus ancien système médical de l'histoire humaine. La tradition indienne fait remonter ses débuts à 5 000 ans, même 10 000 ans. Toutefois, les écrits sur lesquels repose ce savoir médical..

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LA TRADITION PRIMORDIALE -2

Tradition Primordiale et Torah de Sion : Aux source de la Kabbale Originelle. Mission d’un Peuple Élu pour la réaliser Les premières questions que nous poserons dans cet exposé, sont les suivantes: Y a-t-il véritablement une Mission d’Israël parmi les Nations ? La réponse est catégoriquement: Oui! Et elle ait été préfigurée par le Patriarche Abraham, ancêtre du peuple d’Israël, et des Juifs, à qui Dieu promis la Terre d’Israël en Héritage...
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L ÂME HUMAINE, SELON LA PHYSIQUE QUANTIQUE

Boris Iskakov est né le 14 novembre 1934 à Magnitogorsk. En 1957, il a achevé ses études à l’Institut de techniques physiques de Moscou. Auteur de la théorie des réactions en chaîne dans l’économie, il a consacré une série d’ouvrages à l’application des méthodes mathématiques en agriculture. Docteur en économie, Boris Iskakov étudie depuis quelques années les méthodes statistiques et quantiques servant à modéliser les processus qui s’opèrent...
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LE CORPS RÉCEPTEUR DE VIBRATION ELECTROMAGNÉTIQUE

La médecine occidentale est une médecine symptomatique, qui s’intéresse plus aux conséquences qu’aux causes. L’approche réductionniste de la médecine occidentale Les médecins aujourd’hui sont éduqués pour répondre de façon chimique à une extraordinaire diversité de symptômes, dont la plupart procèdent de mécanismes ...




LE TEMPS QUANTIQUE DANS LA KABBALE 2

Lumière Sans Fin (Ohr Ein Sof) et Récipient Primordial : la Vraie Réalité La réalité du 1% Toute cette réalité où, souvent, vous avez l’ impression de marcher sur une route qui ne conduit vers nulle part, où vous faites l’expérience de l’exil intérieur, de la relativité de tout, du manque de points de référence absolus, la Kabbale l’appelle la réalité du 1%. C’est une réalité où justement existent le temps, l’espace, le mouvement, ce qui...

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LUNE DE SANG, LA FIN ET LE DÉBUT DE NOUVEAU TEMPS

Lune de sang Le livre de la Genèse dit que DIEU utilise le soleil, la lune et les étoiles pour des signes et les saisons. De tels exemples peuvent être trouvés dans la Bible, d ailleurs le calendriers juifs et basé à la fois sur le calendrier solaire et lunaire. Or il va apparaitre ces années des Eclipses 2014 et 2015, pendant les fêtes juives appelées les Tetrades, au cours desquelles, à chaque fois, il s’est passé un évènement...

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À la différence de l’espace, le temps est une dimension incontrôlable. Qu’on le veuille ou non, la flèche du temps semble dirigée invariablement vers le futur. « Nous ne nous baignons jamais deux fois dans le même fleuve », précisait Héraclite. Plus de deux millénaires se sont cependant écoulés depuis cette affirmation du philosophe grec. Aujourd’hui, à l’heure de la science atomique et de la conquête spatiale, notre regard sur le cosmos...