Les
extraordinaires découvertes de Masaru Emoto
Par
le Passeur.
A
travers les écrits de cette époque où tout nous est restitué,
nous parlons souvent de notre pouvoir créateur. Peut-être certains
ont-ils besoin de comprendre mieux ce que cela signifie très
concrètement. Un homme nous en a délivré la preuve incontestable
et pourtant je me rends compte que bien peu de gens ont entendu
parler des extraordinaires travaux du Dr. Masaru Emoto.
Titulaire
d’un Doctorat de l’Université de Yokohama en MédecineAlternative (eh oui, au Japon ça existe), Masaru Emoto a pu mettre
au point avec son équipe une méthode d’observation des cristaux
d’eau gelés par la photographie. Il y travaille depuis presque 20
ans et parcourt à présent le monde pour partager les enseignements
de ses découvertes, avec une attention pédagogique particulière
pour les enfants. Ce qu’il a pu mettre sous l’œil d’un
objectif offre à tous un aperçu concret de ce qui nous était déjà
transmis par les anciens peuples de la Terre et ceux dits
‘primitifs’, et qui est également redécouvert à travers les
avancées de la physique quantique : la pensée est puissamment
créatrice, instantanément.
Masaru
Emoto
C’est
au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l’eau
que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l’eau
peut s’exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des
échantillons d’eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à
-20° durant trois heures. A la suite de quoi des gouttelettes de
glace se sont formées à la surface, sur la couronne desquelles
apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie
est alors prise à vitesse rapide.
Tout
de suite, l’équipe d’Emoto a découvert que les cristaux étaient
très différents selon la provenance de l’eau. Les eaux pures et
vives formant de beaux cristaux harmonieux là où les eaux
stagnantes, ou pire les eaux usées, ne formaient pas de cristaux ou
encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.
L’étude
de la riche panoplie des cristaux d’eau présents dans l’eau
naturelle – richesse inexistante dans l’eau du robinet en raison
de la présence de chlore – a donné l’idée à un chercheur de
l’équipe de mettre de la musique pour voir ce qui se passerait. Ce
fut le début d’une autre dimension de l’aventure qui a permis de
découvrir la grande sensibilité de l’eau à l’énergie émise
par la pensée, la parole, l’image, la musique… Par la vibration
qu’ils émettent, même de simples mots écrits sur un papier comme
‘haine’ ou ‘amour’ présentés à de l’eau modifie avec une
signature spécifique la forme de ses cristaux. Comme le dit M.Emoto,
« ces cristaux sont remplis de leçons à tirer concernant la
façon dont nous devrions – et devons – vivre ».
La
découverte est d’une telle simplicité que mieux vaut tout
simplement en regarder les images plus que de longs discours :
Créé
avec les mots "tu me rends malade'
Créé
avec l'intention d'amour et de gratitude
Créé
avec de la musique heavy metal
Créé
avec de la musique de Mozart
Arrivé
là, un constat s’impose. Un être humain débute sa vie à l’état
de fœtus composé de… 99% d’eau. A la naissance il est constitué
d’encore 90% d’eau et arrivé à l’âge adulte, c’est
toujours un être liquide à hauteur de 70%. S’il vit très vieux
il se sera densifié jusqu’à 50% d’eau dans son corps.
Douteriez-vous encore que notre matrice de vie sur cette Terre,
elle-même composée en surface de 71% d’océans ,
soit autre chose que l’eau ?
A
la lumière des travaux de M. Emoto, imaginez un peu le récepteur
que votre corps représente pour les pensées et paroles d’autrui
ou les vôtres. Imaginez ce que provoque sur votre santé physique et
psychique l’audition de musiques de basse vibration ou l’absorption
passive d’images violentes et dégradantes. Le conditionnement
débute là. Et quiconque a cette connaissance et le pouvoir d’agir
sur le collectif peut à loisir en user pour le conduire là où il
veut qu’il en soit. Ne doutez pas que les marionnettistes du monde
ont cette connaissance et qu’ils en usent abondamment.
Ne
doutez pas non plus que vous avez tout pouvoir de contrer ce type
d’agression et reconditionner votre être. Le succès de la pensée
positive peut s’expliquer ainsi. Si au lieu de vous plaindre en
vous-même de toutes sortes de maux, de vous trouver moche ou
malheureux devant la glace le matin, de vous exposer des heures
durant à des programmes de télévision avilissants, de noyer votre
mal être dans des musiques hypnotiques et destructurantes, des jeux
vidéos hypnotiques et violents, de l’alcool ou des drogues, si au
lieu de tout cela vous renversez la vapeur en pratiquant la pensée
positive, même si cela vous paraît artificiel au début, les
résultats s’en feront très rapidement sentir.
On
en revient toujours à la trinité abordée dans « l’Eveil
en soi » :
changer la nature du regard que l’on porte sur le monde, change
aussitôt la nature du sentiment né de ce nouveau regard et de la
pensée qui le suit. Peut-être peut-on ajouter à la lumière des
travaux de Masaru Emoto que l’eau est le vecteur de cette
métamorphose par sa capacité à mémoriser, reproduire et à
transporter de manière permanente l’information à travers le
corps.
Nous
sommes des êtres essentiellement liquides et hautement récepteurs
de toutes les énergies qui nous atteignent. Si celles-ci sont de
nature à nous apporter le bien-être et l’évolution, alors tout
va bien. Mais dans le cas contraire, et pour ce que j’entends et je
vois c’est le cas le plus exprimé, nous pouvons à tout moment
décider de changer radicalement notre manière de vivre. Certains
pensent que vivre sans télévision, dans un lieu où la nature est
présente et entourés d’êtres paisibles et créatifs qui
correspondent ce que l’on souhaite pour soi, revient à se couper
du monde. C’est exactement le contraire. Se couper du monde, c’est
justement vivre conditionné par une société que l’on n’a pas
choisie mais que l’on a laissée se renforcer et nous envahir
chaque jour un peu plus. Là, nous sommes si loin de tout que nous
sommes même loin de nous.
A
l’inverse, se relier au monde, c’est d’abord reprendre le
pouvoir sur soi et ne plus se laisser mener par le bout du nez, puis
exprimer en soi la volonté d’une ère où disparaîtront les
chaînes que l’on nous a posées et celles que nous imaginons
porter. Se relier au monde, c’est s’engager sur la voie lucide
qui crée une autre réalité.
Ne
serait-ce que le temps de lire ces lignes, prêtez-vous au jeu de
voir la société comme une structure mouvante dans sa globalité,
avec des points stagnants, en permanence mise au point dans le
moindre de ses rouages afin de guider l’ensemble des pièces à
travers des tendances vers des objectifs ciblés. Ces objectifs ne
sont pas pour autant les vôtres, mais vous allez pourtant y répondre
par habitude, avec un sentiment de fatalité, d’inéluctable. Si
l’on donnait la parole à chaque pièce de la structure, à chaque
individu, l’écrasante majorité exprimerait de la souffrance à
endosser le lourd manteau que la structure leur a déposé sur le
dos. Masaru Emoto dirait que « l’eau du corps est sale ».
La
structure, la société, use et abuse de tous les moyens pour diriger
votre pensée et vous amener où elle le souhaite dans l’intérêt
d’une poignée d’êtres dénués de toute empathie. Vous êtes
libre, absolument et totalement libre, de choisir de vivre dans les
« eaux sales » qu’elle a créées en vous ou de décider
la grande épuration intérieure et le nouveau souffle de vie qu’elle
vous offrira. De plus en plus ont fait ce choix, et la masse critique
au-delà de laquelle l’humanité va basculer, est atteinte.
Laissons
pour finir la parole à Masaru Emoto : « Ce que vous savez
possible du fond du cœur est réellement possible. Nous le rendons
possible par notre volonté. Ce que nous concevons dans notre esprit
devient notre monde. ce n’est qu’une des innombrables choses que
l’eau m’a enseignée. »
Fraternellement,
© Le
Passeur –
1er
Juillet 2011 – http://www.urantia-gaia.info > Cet
article est autorisé à la copie à
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