« Il est important de noter que nous avons déjà reçu des vagues de rayons gamma cosmiques connus sous le nom d’ONDE-X et plein de gens ont senti l’accroissement du potentiel énergétique qui émane du centre galactique et elle continuera crescendo jusqu’au 28 septembre 2015. Il est prouvé que les rayons gamma peuvent instantanément faire évoluer l’ADN de n’importe quelle espèce en quelque chose de plus pur. »
Nature de l’Espace-Temps : Une découverte qui pourrait bouleverser la physique moderne

L’observatoire spatial Integral (ESA), qui est dédié aux
rayons gamma, a fourni des résultats qui montrent que la nature quantique de l’Espace-temps se révèlerait à une échelle beaucoup plus petite que ce que l’on pensait.
La théorie de la relativité générale d’Einstein décrit l’Espace-temps comme étant continu et lisse et alors que la théorie quantique le décrit comme étant discret (constitué d’unités discrètes) et agité. Le but de la gravité quantique est d’unifier ces 2 théories en une théorie du tout.
Selon des calculs, les quanta (les plus petites unités de matière ou d’énergie) de l’Espace-temps auraient une incidence sur la manière dont les rayons gamma se propagent dans l’Espace.
Ils font tourner les rayons lumineux, changeant ainsi la direction dans laquelle ils oscillent, une propriété appelée polarisation.
Les rayons gamma de haute énergie devraient être plus affectés que ceux de plus faible énergie et la différence dans la polarisation peut alors servir à estimer la taille de ces quanta.
Philippe Laurent du CEA Saclay et ses collaborateurs ont utilisé les données de l’instrument IBIS de l’observatoire Integral pour rechercher cette différence de polarisation dans les rayons gamma émis lors de l’un des sursauts gamma les plus puissants jamais observé : le sursaut gamma GRB 041219A qui a été observé le 19 décembre 2004 était si puissant que Integral a pu mesurer précisément la polarisation de ses rayons gamma. Mais aucune différence de polarisation n’a été détectée.
Le sursaut gamma GRB 041219A s’est produit à une distance estimée à 300 millions d’années-lumière (au minimum). En principe, les effets dûs aux quanta devraient s’accumuler en un signal détectable en parcourant cette très grande distance. Le fait que rien n’ait été détecté indique que les quanta doivent être beaucoup plus petits que prévu.
Des théories suggèrent que la nature quantique de l’espace-temps devrait se manifester à l’échelle de Planck (10-35m). Cependant, les observations de Integral qui sont environ 10 000 fois plus précises que les précédentes montrent que la granularité de l’Espace-temps devrait se situer à une échelle de 10-48m ou moins.
« C’est un résultat très important en physique fondamentale et il exclura certaines théories des cordes et théories de gravitation quantique à boucles »a déclaré le Philippe Laurent.
De bien « étranges » rafales de rayons gamma
Certaines salves de rayons gamma présentent des caractéristiques inhabituelles.
Accélérées dans un champ électrique, les particules chargées émettent un rayonnement synchrotron produisant des rayonnements X et gamma – un fait démontré par des expériences de laboratoire.
Les rayons gamma appartiennent à une classe de particules électromagnétiques « théoriques » appelées photons, censées exister à la fois sous forme d’ondes et de particules.
Les photons sont « sans masse », selon la définition de la masse des astrophysiciens, mais se déplaçant avec une vélocité énorme (jusqu’à 299.300 km/s), de soi-disant « effets relativistes » entrent en jeu. Cette vitesse formidable accroît suffisamment leur inertie pour qu’en frappant des atomes, ils arrachent des électrons.
Parmi les trois types de radioactivité naturelle, les rayons gamma sont les plus énergétiques, dotés de forces 1015 fois plus grandes que la lumière visible. Ils ont aussi de courtes longueurs d’onde, inférieures à 0,1 nm dans certains cas.
Comme les rayons gamma sont capables de pénétrer dans l’espace interatomique, les cristaux denses leurs servent de détecteurs.
Les rayons gamma ionisant les particules de la matrice cristalline, par un processus connu sous le nom de diffusion de Compton, celles-ci émettent alors des électrons.
Ce sont ces électrons qui sont détectés, pas les rayons gamma eux-mêmes.
Selon un récent
communiqué de presse, les astronomes surveillant le satellite Swift ont reçu une
alerte d’éclatement (burst alert), indiquant qu’une rafale de rayons gamma (GRB, gamma ray burst) venait de se produire. Les astrophysiciens décrivent les GRB comme le rayonnement à haute fréquence issue de fusion d’étoiles à neutrons ou de puissantes explosions de supernovae. Or, des chercheurs de l’université de Leicester ont trouvé que ce GRB se comportait « autrement que prévu ».
Tel que l’a écrit le Dr Klaas Wiersema du Département de physique et d’astronomie : « Nous pensons que cette détection signifie que la plupart des théories actuelles sur la façon dont les électrons sont accélérés dans les rémanences, doivent être réexaminées. »
Dans la vision conventionnelle, la méthode principale pour accélérer les électrons est l’onde de choc se propageant vers l’extérieur des supernovae. En d’autres termes, des forces cinétiques transmises aux électrons « les repoussent » à grande vitesse. Leur vitesse étant acquise, les GRB sont dits rayonner durant quelque temps dans de nombreuses longueurs d’onde lumineuses, y compris visibles et ultraviolettes.
Le Dr Klaas Wiersema a mesuré la polarisation de la lumière du GRB 121024A à l’aide du Très Grand Télescope de l’Observatoire Européen Austral. Ils ont eu la « surprise » de constater que la lumière de la rémanence du GRB était polarisée circulairement.
Quand des ondes lumineuses se déplacent sur deux plans, dont la phase diffère de 90°, elles sont polarisées circulairement.
La lumière « naturelle » n’étant pas polarisée, la conclusion était inattendue. L’équipe de l’université de Leicester en a conclu que la théorie actuelle de l’accélération des électrons doit être fausse.
L’intensité d’un GRB est considérée dépendre de sa distance. Les premières salves gamma ont été constatées dans des galaxies à grand redshift, dénotant des distances de pas moins de 12 milliards d’années-lumière. S’ils étaient réellement aussi éloignés, leurs énergies surclasseraient les possibilités des supernovae.
Comme cela a déjà
été rapporté, une entité cosmique hypothétique connue sous le nom d’hypernova, a été imaginée pour tenter de préserver la théorie redshift=distance [dont dépendent les théories de l’Univers en expansion et du Big Bang, ndt].
Toutefois, comme le postulent les spécialistes en cosmos de l’Univers électrique, l’autre explication de l’intensité des GRB est que le redshift n’est pas réellement un indicateur de distance, les rafales gamma se produisant dans le voisinage galactique proche, de sorte qu’elles ne sont pas incroyablement puissantes, et ne proviennent pas des confins d’un imaginaire continuum espace-temps en expansion. Si les émissions gamma sont situées à proximité, ce sont des décharges de plasma moins énergiques, sous forme d’explosion de doubles couches capable de projeter des rafales gamma selon des modes pouvant être explorés par des expériences de laboratoire. Plutôt que compter sur des fantômes mathématiques du style hypernova, pourquoi ne pas élaborer des théories naturelles, testables, et travailler dessus avec de véritables modèles physiques ?
Comme cela a
été relevé par le passé, Hannes Alfvén pensait que les « doubles couches explosives » devraient être considérées comme une nouvelle classe d’objet céleste. Dans les filaments de plasma, les zones comprimées par striction longitudinale électromagnétique produisent des plasmoides qui se développent en étoiles et galaxies.
L’électricité est à l’origine de la naissance des étoiles, et quand la densité de courant devient trop forte, les doubles couches des circuits électriques relâchent de manière catastrophique leur excédant d’énergie, ce qui se manifeste sous forme de rafales gamma, rayons X ou flamboiement de lumière ultraviolette.
À mon avis en 1908, un photographe par sa présence, affectai la Polarisation de la lumière. Ce que lui a permis de faire des photos Inconcevables, telles que l'image (11h).
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